Les forces de l'Armée nationale populaire (ANP) mènent une vaste opération de ratissage à Larbaâ, dans la wilaya de Blida, et toutes les régions environnantes. Les forces de l'Armée nationale populaire (ANP) mènent une vaste opération de ratissage à Larbaâ, dans la wilaya de Blida, et toutes les régions environnantes. Deux terroristes ont été abattus, hier, par les éléments de l'Armée Nationale Populaire (ANP) dans la région de Bougara (24 km au Nord-Ouest de Blida) objet d'une opération de ratissage lancée depuis l'attaque terroriste du mercredi soir contre une patrouille de la gendarmerie à hauteur de la zone de Oued Djemâa dans la commune de Larbaa. Une patrouille de la Gendarmerie Nationale à été la cible de coups de feu, le mercredi 31 mai 2017 aux environs de (22h00), tirés par un groupe terroriste dans la zone de Oued Djemâa, commune de Larbâa, wilaya de Blida/1°RM, causant la blessure légère de quatre éléments de la patrouille. Les mesures sécuritaires nécessaires ont été prises par les forces de l'Armée Nationale Populaire, en procédant au bouclage et ratissage immédiat de cette zone à la recherche des criminels. La revue El-Djeïch, dans son édition de ce mois d'avril, où il est fait état du bilan des opérations menées par les troupes de l'ANP à travers le territoire national durant le trimestre qui vient de s'écouler. Ainsi, ce sont 35 terroristes qui ont été éliminés et 18 autres arrêtés, selon le décompte établi par les services du ministère de la Défense qui a également recensé 59 interpellations de personnes pour appartenance à réseau de soutien. Un bilan dans la lignée de celui des deux dernières années lors desquelles les éléments de l'ANP ont porté une multitude de coups ayant défrayé la chronique, pour ne pas dire frappé les esprits comme cela a été le cas lors de l'opération menée sur la partie Est du littoral de la wilaya de Tizi-Ouzou, lorsque les éléments de l'ANP ont délogé des bois sur les hauteurs d'Azeffoun tout un groupe terroriste constitué de 9 individus, dont certains carrément en guenilles, en toute fin du mois de février, parmi lesquels un certain B. Mohamed, plus connu sous le surnom d'Ishak, qui s'est avéré un vétéran des GIA de triste mémoire et recherché depuis 1994. C'est également en février dernier, mois très prolifique pour les troupes antiterroristes de l'armée, que des 14 membres donnés pour être de Jund Al-Khilafah, la branche algérienne de Daesh, ont été éliminés après une opération menée au sud de Bouira, en plein coeur de la forêt de Tamelaht qui s'étend sur une quarantaine de kilomètres et dont le prolongement va jusqu'à la wilaya de Bordj- Bou-Arréridj. Une de ces opérations de qualité, pour reprendre le jargon des rédacteurs des communiqués du ministère de la Défense nationale, qui illustrent le mieux le saut qualitatif accompli par les services de renseignement de l'armée qui allaient, quelques semaines plus tard, dans la soirée du 25 mars dernier, montrer toute leur efficacité en localisant le nouveau chef de la branche algérienne de Daesh algérien, l'émir Abou Hammam, Nouredine Laouira de son vrai nom, dans son fief constantinois après plusieurs mois d'une inlassable traque menée par des centaines d'hommes de l'ANP entre Constantine, Jijel et Skikda, trois parmi la dizaine de wilayas du nord du pays où la question sécuritaire reste posée plus qu'ailleurs et, donc, où se concentre particulièrement la lutte antiterroriste. Ceci, sans parler évidemment du plan mis au point au Sud et ayant requis la mobilisation de plusieurs milliers d'hommes aux frontières avec des pays voisins où la situation sécuritaire augure encore toutes les incertitudes, là où ont été d'ailleurs enregistrées les plus importantes opérations menées par l'ANP pour la recherche de caches d'armes. La récupération d'armes, l'autre volet du bilan dont il a été d'ailleurs fait état dans l'éditorial du dernier numéro d'El-Djeïch. Durant les trois premiers mois de cette année, selon le relevé établi par l'éditorialiste de la revue de l'ANP, 272 pièces d'armes de différents types et 15 897 munitions de divers calibres ont été récupérées. On rappellera juste ces deux découvertes faites en l'espace de deux jours, les 10 et 11 février, la première dans la région d'Adrar, dans une zone limitrophe avec la Libye, lorsqu'une patrouille de l'ANP est tombée sur une cache dans le désert où étaient dissimulés un canon SPG-9, deux mitrailleurs de calibre 14.5 mm, une mitrailleuse 12.7 mm, une mitrailleuse PKT, deux fusils à jumelles de calibre 7.62x54 mm, trois mitrailleurs RPK, deux kalachnikov, un fusil semi-automatique de type SKS, deux fusils à répétition, un fusil de type MAS- 36, sept obus D30, quinze obus de mortier calibre 60 mm, dix-huit roquettes SPG-9 de calibre 73 mm, trois roquettes RPG-7, dix grenades F1, et pour couronner le tout, deux systèmes de missiles russes Grad BM. Le lendemain de cette effarante découverte, un autre détachement de l'ANP, chargé de la protection des frontières entre l'Algérie et le Niger, dans la région de In Guezzam, a mis au jour une cache où était dissimulé un lot d'armes de guerre composé d'un lanceroquettes RPG-2, deux mitrailleuses lourdes de type Diktariov, neuf pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, un fusil à répétition, sept chargeurs pour kalachnikov et une importante quantité de munitions de différents calibres entre balles et roquettes. Il est à rappeler que le dernier attentat terroriste remonte à avril dernier. Un attentat à l'explosif qui a été déjoué grâce à la vigilance de policiers en faction. Il faut mentionner que depuis des années, la commune de Larbaâ n'a pas enregistré d'attaques terroristes. Cet accrochage avec les gendarmes sonne ainsi l'alerte dans l'ensemble des corps de sécurité. Car, bien que le terrorisme ait été vaincu depuis des années, il reste encore des poches qui peuvent toujours commettre, à tout moment, des attentats ou des attaques et faire des victimes. Le MDN rassure sur les mesures sécuritaires nécessaires qui ont été prises par les forces de l'ANP. Deux terroristes ont été abattus, hier, par les éléments de l'Armée Nationale Populaire (ANP) dans la région de Bougara (24 km au Nord-Ouest de Blida) objet d'une opération de ratissage lancée depuis l'attaque terroriste du mercredi soir contre une patrouille de la gendarmerie à hauteur de la zone de Oued Djemâa dans la commune de Larbaa. Une patrouille de la Gendarmerie Nationale à été la cible de coups de feu, le mercredi 31 mai 2017 aux environs de (22h00), tirés par un groupe terroriste dans la zone de Oued Djemâa, commune de Larbâa, wilaya de Blida/1°RM, causant la blessure légère de quatre éléments de la patrouille. Les mesures sécuritaires nécessaires ont été prises par les forces de l'Armée Nationale Populaire, en procédant au bouclage et ratissage immédiat de cette zone à la recherche des criminels. La revue El-Djeïch, dans son édition de ce mois d'avril, où il est fait état du bilan des opérations menées par les troupes de l'ANP à travers le territoire national durant le trimestre qui vient de s'écouler. Ainsi, ce sont 35 terroristes qui ont été éliminés et 18 autres arrêtés, selon le décompte établi par les services du ministère de la Défense qui a également recensé 59 interpellations de personnes pour appartenance à réseau de soutien. Un bilan dans la lignée de celui des deux dernières années lors desquelles les éléments de l'ANP ont porté une multitude de coups ayant défrayé la chronique, pour ne pas dire frappé les esprits comme cela a été le cas lors de l'opération menée sur la partie Est du littoral de la wilaya de Tizi-Ouzou, lorsque les éléments de l'ANP ont délogé des bois sur les hauteurs d'Azeffoun tout un groupe terroriste constitué de 9 individus, dont certains carrément en guenilles, en toute fin du mois de février, parmi lesquels un certain B. Mohamed, plus connu sous le surnom d'Ishak, qui s'est avéré un vétéran des GIA de triste mémoire et recherché depuis 1994. C'est également en février dernier, mois très prolifique pour les troupes antiterroristes de l'armée, que des 14 membres donnés pour être de Jund Al-Khilafah, la branche algérienne de Daesh, ont été éliminés après une opération menée au sud de Bouira, en plein coeur de la forêt de Tamelaht qui s'étend sur une quarantaine de kilomètres et dont le prolongement va jusqu'à la wilaya de Bordj- Bou-Arréridj. Une de ces opérations de qualité, pour reprendre le jargon des rédacteurs des communiqués du ministère de la Défense nationale, qui illustrent le mieux le saut qualitatif accompli par les services de renseignement de l'armée qui allaient, quelques semaines plus tard, dans la soirée du 25 mars dernier, montrer toute leur efficacité en localisant le nouveau chef de la branche algérienne de Daesh algérien, l'émir Abou Hammam, Nouredine Laouira de son vrai nom, dans son fief constantinois après plusieurs mois d'une inlassable traque menée par des centaines d'hommes de l'ANP entre Constantine, Jijel et Skikda, trois parmi la dizaine de wilayas du nord du pays où la question sécuritaire reste posée plus qu'ailleurs et, donc, où se concentre particulièrement la lutte antiterroriste. Ceci, sans parler évidemment du plan mis au point au Sud et ayant requis la mobilisation de plusieurs milliers d'hommes aux frontières avec des pays voisins où la situation sécuritaire augure encore toutes les incertitudes, là où ont été d'ailleurs enregistrées les plus importantes opérations menées par l'ANP pour la recherche de caches d'armes. La récupération d'armes, l'autre volet du bilan dont il a été d'ailleurs fait état dans l'éditorial du dernier numéro d'El-Djeïch. Durant les trois premiers mois de cette année, selon le relevé établi par l'éditorialiste de la revue de l'ANP, 272 pièces d'armes de différents types et 15 897 munitions de divers calibres ont été récupérées. On rappellera juste ces deux découvertes faites en l'espace de deux jours, les 10 et 11 février, la première dans la région d'Adrar, dans une zone limitrophe avec la Libye, lorsqu'une patrouille de l'ANP est tombée sur une cache dans le désert où étaient dissimulés un canon SPG-9, deux mitrailleurs de calibre 14.5 mm, une mitrailleuse 12.7 mm, une mitrailleuse PKT, deux fusils à jumelles de calibre 7.62x54 mm, trois mitrailleurs RPK, deux kalachnikov, un fusil semi-automatique de type SKS, deux fusils à répétition, un fusil de type MAS- 36, sept obus D30, quinze obus de mortier calibre 60 mm, dix-huit roquettes SPG-9 de calibre 73 mm, trois roquettes RPG-7, dix grenades F1, et pour couronner le tout, deux systèmes de missiles russes Grad BM. Le lendemain de cette effarante découverte, un autre détachement de l'ANP, chargé de la protection des frontières entre l'Algérie et le Niger, dans la région de In Guezzam, a mis au jour une cache où était dissimulé un lot d'armes de guerre composé d'un lanceroquettes RPG-2, deux mitrailleuses lourdes de type Diktariov, neuf pistolets mitrailleurs de type kalachnikov, un fusil à répétition, sept chargeurs pour kalachnikov et une importante quantité de munitions de différents calibres entre balles et roquettes. Il est à rappeler que le dernier attentat terroriste remonte à avril dernier. Un attentat à l'explosif qui a été déjoué grâce à la vigilance de policiers en faction. Il faut mentionner que depuis des années, la commune de Larbaâ n'a pas enregistré d'attaques terroristes. Cet accrochage avec les gendarmes sonne ainsi l'alerte dans l'ensemble des corps de sécurité. Car, bien que le terrorisme ait été vaincu depuis des années, il reste encore des poches qui peuvent toujours commettre, à tout moment, des attentats ou des attaques et faire des victimes. Le MDN rassure sur les mesures sécuritaires nécessaires qui ont été prises par les forces de l'ANP.