Les épreuves du brevet d'enseignement moyen (BEM) débuteront aujourd'hui pour se poursuivre jusqu'à mardi. Mais d'ores et déjà un dispositif sécuritaire est mis en place devant les établissements qui serviront de centres d'examen pour les 566.221 candidats au total, dont 51,58% de filles. Les épreuves du brevet d'enseignement moyen (BEM) débuteront aujourd'hui pour se poursuivre jusqu'à mardi. Mais d'ores et déjà un dispositif sécuritaire est mis en place devant les établissements qui serviront de centres d'examen pour les 566.221 candidats au total, dont 51,58% de filles. A cet effet, le ministère de l'Education nationale s'est engagé à assurer un bon déroulement des examens, à travers des mesures strictes consistant à permettre aux élèves de passer l'épreuve dans la sérénité et le respect de l'éthique. La ministre avait affirmé que "toutes les mesures étaient prises pour garantir la crédibilité des examens scolaires nationaux, avec la contribution des secteurs concernés et les responsables locaux", précisant que ces mesures prévoient notamment la sécurisation des examens dans le but d'assurer leur crédibilité et de garantir l'égalité des chances entre les élèves. Parmi ces mesures, figurent notamment l'interdiction de l'usage de téléphones mobiles et autres moyens de communication électroniques dans les salles d'examen. Mais malgré les assurances de Benghabrit, l'opinion en général et les parents en particulier retiennent leur souffle devant le risque de voir à nouveau se reproduire le scénario de la fraude. Pour l'examen de fin de cycle primaire, ex sixième, qui s'est déroulé la semaine dernière, un quart d'heure après le début de l'examen, les épreuves se baladaient déjà sur les réseaux sociaux. Heureusement qu'il n'y a pas eu d'impact, mais force est de voir que le dispositif de sécurisation était pris en défaut. Au plan pédagogique, il faut rappeler que les élèves qui auront obtenu une moyenne égale ou supérieure à 10/20 accèderont automatiquement en classe de première année secondaire sur la base de la moyenne décrochée à l`examen national et celle de l`évaluation continue de l`année. Pour les candidats dont la moyenne est inférieure à 10/20, il sera fait appel aux notes du contrôle continu durant l'année scolaire pour décider de leur passage au secondaire, de leur redoublement, voire de leur exclusion. A cet effet, le ministère de l'Education nationale s'est engagé à assurer un bon déroulement des examens, à travers des mesures strictes consistant à permettre aux élèves de passer l'épreuve dans la sérénité et le respect de l'éthique. La ministre avait affirmé que "toutes les mesures étaient prises pour garantir la crédibilité des examens scolaires nationaux, avec la contribution des secteurs concernés et les responsables locaux", précisant que ces mesures prévoient notamment la sécurisation des examens dans le but d'assurer leur crédibilité et de garantir l'égalité des chances entre les élèves. Parmi ces mesures, figurent notamment l'interdiction de l'usage de téléphones mobiles et autres moyens de communication électroniques dans les salles d'examen. Mais malgré les assurances de Benghabrit, l'opinion en général et les parents en particulier retiennent leur souffle devant le risque de voir à nouveau se reproduire le scénario de la fraude. Pour l'examen de fin de cycle primaire, ex sixième, qui s'est déroulé la semaine dernière, un quart d'heure après le début de l'examen, les épreuves se baladaient déjà sur les réseaux sociaux. Heureusement qu'il n'y a pas eu d'impact, mais force est de voir que le dispositif de sécurisation était pris en défaut. Au plan pédagogique, il faut rappeler que les élèves qui auront obtenu une moyenne égale ou supérieure à 10/20 accèderont automatiquement en classe de première année secondaire sur la base de la moyenne décrochée à l`examen national et celle de l`évaluation continue de l`année. Pour les candidats dont la moyenne est inférieure à 10/20, il sera fait appel aux notes du contrôle continu durant l'année scolaire pour décider de leur passage au secondaire, de leur redoublement, voire de leur exclusion.