Le président français, Emmanuel Macron, effectuera bientôt une visite en Algérie. La date de ce qui sera la première visite de Macron en Algérie en sa qualité de président de la République française, est encore inconnue. Le président français, Emmanuel Macron, effectuera bientôt une visite en Algérie. La date de ce qui sera la première visite de Macron en Algérie en sa qualité de président de la République française, est encore inconnue. Comme est aussi inconnue la nature de cette visite. En effet, le communiqué de la présidence française, qui en a fait l'annonce avanthier jeudi, n'a donné aucune précision. Le président français, a indiqué à son homologue algérien qu'il se rendrait "officiellement en Algérie dans les toutes prochaines semaines", a annoncé l'Elysée dans son communiqué. C'était lors d'une communication téléphonique que Macron a eu avec le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qu'il lui a fait part de sa volonté d'effectuer une visite à Alger. Le communiqué de l'Elysée a indiqué que lors de cet entretien le président français a "souligné son attachement et sa volonté de construire un rapport d'amitié et de confiance avec l'Algérie, partenaire stratégique pour la France". La même source a aussi indiqué que les deux présidents ont également fait le point sur le dossier libyen et le dossier sahélo-saharien et rappelé l'importance de leur coopération dans la lutte contre le terrorisme. C'est dire que les entretiens qu'auront les deux chefs d'Etat sur le volet des relations bilatérales en vue de les renforcer encore davantage et sur celui des questions régionales et de la lutte contre le terrorisme. L'on sait que les deux dossiers du Sahel et de la Libye préoccupent au plus haut point les deux pays, mais sont aussi sources de divergences tant Paris et Alger n'arrivent pas à accorder leurs violons sur ces deux questions. D'ailleurs c'est à partir du Mali, le 19 mai plus précisément, où il a effectué sa toute première visite à l'étranger après son élection à la plus haute marche du pouvoir en France qu'Emmanuelle Macron a pris pour la première fois son téléphone pour appeler le président Bouteflika. C'était le premier contact officiel entre les deux présidents. "Pour que tout ce qui est inscrit dans les accords d'Alger soit appliqué et pour que la responsabilité de tous et de toutes soit prise (...). On ne peut pas manifester quelque faiblesse que ce soit à l'égard de groupements terroristes, quelles que soient les raisons politiques domestiques", avait alors indiqué Macron à son homologue algérien. On s'attend donc à une grande explication ente les deux présidents sur le dossier malien, mais rien n'indique qu'ils vont trouver un terrain d'entente sur ce qui doit être fait pour régler la question malienne. Ce d'autant que la France, qui s' y emploie d'ailleurs au niveau de l'Onu et de son Conseil de sécurité, ambitionne de chapeauter une force militaire africaine au Mali pour contrer les groupes terroristes. Une perspective qui n'agrée nullement l'Algérie. Ce sera la deuxième visite de Macron en Algérie en l'espace de quelques mois puisqu'il a effectué sa première visite au mois de février dernier alors qu'il était candidat à l'élection présidentielle. Il n'a pas, alors, rencontré le président Bouteflika, mais il a eu des entretiens avec le Premier ministre de l'époque, Abdelmalek Sellal. Il a prôné le développement des relations entre les deux pays mettant l'accent sur sa volonté de "porter une vision ouverte, dynamique et d'avenir (pour) donner plus de densité au partenariat entre l'Algérie et la France". Il a aussi refusé d'être celui qui glorifie le colonialisme. Comme est aussi inconnue la nature de cette visite. En effet, le communiqué de la présidence française, qui en a fait l'annonce avanthier jeudi, n'a donné aucune précision. Le président français, a indiqué à son homologue algérien qu'il se rendrait "officiellement en Algérie dans les toutes prochaines semaines", a annoncé l'Elysée dans son communiqué. C'était lors d'une communication téléphonique que Macron a eu avec le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qu'il lui a fait part de sa volonté d'effectuer une visite à Alger. Le communiqué de l'Elysée a indiqué que lors de cet entretien le président français a "souligné son attachement et sa volonté de construire un rapport d'amitié et de confiance avec l'Algérie, partenaire stratégique pour la France". La même source a aussi indiqué que les deux présidents ont également fait le point sur le dossier libyen et le dossier sahélo-saharien et rappelé l'importance de leur coopération dans la lutte contre le terrorisme. C'est dire que les entretiens qu'auront les deux chefs d'Etat sur le volet des relations bilatérales en vue de les renforcer encore davantage et sur celui des questions régionales et de la lutte contre le terrorisme. L'on sait que les deux dossiers du Sahel et de la Libye préoccupent au plus haut point les deux pays, mais sont aussi sources de divergences tant Paris et Alger n'arrivent pas à accorder leurs violons sur ces deux questions. D'ailleurs c'est à partir du Mali, le 19 mai plus précisément, où il a effectué sa toute première visite à l'étranger après son élection à la plus haute marche du pouvoir en France qu'Emmanuelle Macron a pris pour la première fois son téléphone pour appeler le président Bouteflika. C'était le premier contact officiel entre les deux présidents. "Pour que tout ce qui est inscrit dans les accords d'Alger soit appliqué et pour que la responsabilité de tous et de toutes soit prise (...). On ne peut pas manifester quelque faiblesse que ce soit à l'égard de groupements terroristes, quelles que soient les raisons politiques domestiques", avait alors indiqué Macron à son homologue algérien. On s'attend donc à une grande explication ente les deux présidents sur le dossier malien, mais rien n'indique qu'ils vont trouver un terrain d'entente sur ce qui doit être fait pour régler la question malienne. Ce d'autant que la France, qui s' y emploie d'ailleurs au niveau de l'Onu et de son Conseil de sécurité, ambitionne de chapeauter une force militaire africaine au Mali pour contrer les groupes terroristes. Une perspective qui n'agrée nullement l'Algérie. Ce sera la deuxième visite de Macron en Algérie en l'espace de quelques mois puisqu'il a effectué sa première visite au mois de février dernier alors qu'il était candidat à l'élection présidentielle. Il n'a pas, alors, rencontré le président Bouteflika, mais il a eu des entretiens avec le Premier ministre de l'époque, Abdelmalek Sellal. Il a prôné le développement des relations entre les deux pays mettant l'accent sur sa volonté de "porter une vision ouverte, dynamique et d'avenir (pour) donner plus de densité au partenariat entre l'Algérie et la France". Il a aussi refusé d'être celui qui glorifie le colonialisme.