On retrouve les universités algériennes parmi lesdernières à l'échellemondiale, avec notamment les écoles normales supérieures de Mostaganem, de Béchar et l'université de Chlef qui occupent respectivement les 27.634, 27.714 et 27.764es places sur les 28.000 universités classées par le site américain. On retrouve les universités algériennes parmi lesdernières à l'échellemondiale, avec notamment les écoles normales supérieures de Mostaganem, de Béchar et l'université de Chlef qui occupent respectivement les 27.634, 27.714 et 27.764es places sur les 28.000 universités classées par le site américain. Les classements internationaux ne cessent d'accabler l'université algérienne d'une année à une autre. Même au plan africain, les universités algériennes sont très mal classées, selon un récent classement effectué par un site américain spécialisé dans le classement des universités dans le monde Webometrics. A l'échelle mondiale, les deux meilleures universités algériennes, les mieux classées sur les 113 universités algériennes notées, sont l'université Djilali-Liabès de Sidi Bel-Abbès et l'université des sciences et technologies (USTHB) Houari-Boumediene d'Alger, qui occupent respectivement les 2.341e et 2.345e places. Il faut dire aussi que l'on retrouve également des universités algériennes parmi les dernières à l'échelle mondiale, avec notamment les écoles normales supérieures de Mostaganem, de Béchar et l'Université de Chlef qui occupent respectivement les 27.634, 27.714 et 27.764es places sur les 28.000 universités classées par ledit site américain spécialisé dans le classement des universités dans le monde Webometrics. Au niveau africain, 1.497 universités africaines sont notées par le site. 13 universités algériennes figurent dans le Top 100 africain : 39e place pour l'université Djilali-Liabès de Sidi Bel-Abbès et 40e position pour l'USTHB d'Alger, alors que l'université des Frères-Mentouri de Constantine occupe le 52e rang africain. Le site américain tente d'expliquer ces mauvais résultats en indiquant que "certaines universités algériennes ne possèdent même pas de site Internet, alors que d'autres qui en ont, ne prennent même pas la peine de le mettre à jour", précisant que "ces pratiques pénalisent non seulement le rang des universités, mais aussi diminuent considérablement leur visibilité dans les moteurs de recherche et, plus importantencore, leur impact mondial sur Internet,ce qui renseigne sur lamauvaise qualité del'enseignement et de la recherche scientifique. "Distancée par presque tout le monde, l'Algérie s'enfonce ainsi dans le bourbier de la décrépitude. Chute libre du niveau des étudiants, faiblesse et médiocritéde l'enseignement dispensé, unerecherche scientifique aux abois, un encadrement pédagogique défaillant, l'université algérienne n'en finit pas de faire parler d'elle. Les récents classements internationaux confirment cet état deslieux déplorable qui n'émeut, pourtant,aucunement nos responsables. Notre paysn'est même pas une référence universitaireen Afrique. Donc, la sonnetted'alarme est encore une fois tirée pourredresser la situation qui n'a que trop durée. Espérant que les concernés ne feront pas la sourde oreille car il y va de l'avenir de toute une nation. Les classements internationaux ne cessent d'accabler l'université algérienne d'une année à une autre. Même au plan africain, les universités algériennes sont très mal classées, selon un récent classement effectué par un site américain spécialisé dans le classement des universités dans le monde Webometrics. A l'échelle mondiale, les deux meilleures universités algériennes, les mieux classées sur les 113 universités algériennes notées, sont l'université Djilali-Liabès de Sidi Bel-Abbès et l'université des sciences et technologies (USTHB) Houari-Boumediene d'Alger, qui occupent respectivement les 2.341e et 2.345e places. Il faut dire aussi que l'on retrouve également des universités algériennes parmi les dernières à l'échelle mondiale, avec notamment les écoles normales supérieures de Mostaganem, de Béchar et l'Université de Chlef qui occupent respectivement les 27.634, 27.714 et 27.764es places sur les 28.000 universités classées par ledit site américain spécialisé dans le classement des universités dans le monde Webometrics. Au niveau africain, 1.497 universités africaines sont notées par le site. 13 universités algériennes figurent dans le Top 100 africain : 39e place pour l'université Djilali-Liabès de Sidi Bel-Abbès et 40e position pour l'USTHB d'Alger, alors que l'université des Frères-Mentouri de Constantine occupe le 52e rang africain. Le site américain tente d'expliquer ces mauvais résultats en indiquant que "certaines universités algériennes ne possèdent même pas de site Internet, alors que d'autres qui en ont, ne prennent même pas la peine de le mettre à jour", précisant que "ces pratiques pénalisent non seulement le rang des universités, mais aussi diminuent considérablement leur visibilité dans les moteurs de recherche et, plus importantencore, leur impact mondial sur Internet,ce qui renseigne sur lamauvaise qualité del'enseignement et de la recherche scientifique. "Distancée par presque tout le monde, l'Algérie s'enfonce ainsi dans le bourbier de la décrépitude. Chute libre du niveau des étudiants, faiblesse et médiocritéde l'enseignement dispensé, unerecherche scientifique aux abois, un encadrement pédagogique défaillant, l'université algérienne n'en finit pas de faire parler d'elle. Les récents classements internationaux confirment cet état deslieux déplorable qui n'émeut, pourtant,aucunement nos responsables. Notre paysn'est même pas une référence universitaireen Afrique. Donc, la sonnetted'alarme est encore une fois tirée pourredresser la situation qui n'a que trop durée. Espérant que les concernés ne feront pas la sourde oreille car il y va de l'avenir de toute une nation.