Les élections locales auront lieu jeudi 23 novembre. C'est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a officiellement fixé cette date. Les élections locales auront lieu jeudi 23 novembre. C'est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a officiellement fixé cette date. En effet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé hier samedi un décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour les élections des assemblées populaires communales (APC) et des assemblées populaires de wilaya (APW) qui se dérouleront donc le jeudi 23 novembre 2017, indique un communiqué de la présidence de la République. "Conformément aux dispositions de la loi organique relative au régime électoral, Son Excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a signé ce samedi 26 août 2017, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour les élections des Assemblées populaires communales et des Assemblées populaires de wilaya qui se dérouleront le jeudi 23 novembre 2017", précise la même source. Le même décret dispose qu'"une révision exceptionnelle des listes électorales sera ouverte du mercredi 30 août au mercredi 13 septembre 2017", ajoute le communiqué. Les delais sont ainsi bel et bien respectés puisque la loi stipule que le chef de l'Etat convoque le corps électoral trois mois avant la date de l'élection. Ces élections revêtent une importance cruciale pour les partis politiques. Ces derniers s'apprêtent à livrer la deuxième bataille électorale de l'année en cours. En effet, rappelonsle, c'est le deuxième scrutin qui aura lieu en 2017. Au mois de mai dernier c'était les élections législatives. Des élections qui n'ont pas chamboulé la scène politique nationale et qui étaient on ne peut plus conformes aux prévisions. En effet la victoire du FLN et du RND étaient très larges puisque à elles deux ces deux formations politiques, qui constituent le socle sur lequel repose le pouvoir, ont réussi à obtenir la majorité absolue des 462 sièges de l'Assemblée populaire nationale (APN). Ainsi le FLN est, comme attendu, arrivé en tête de ce scrutin. L'ex-parti unique a remporté 164 sièges réalisant un score nettement inférieur à celui obtenu en 2012 où il avait réussi à décrocher plus de 220 sièges. Son allié stratégique, le RND, a progressé puisqu'il a obtenu une centaine de sièges. Alliés à d'autres partis, à l'exemple du MPA et de TAJ, le FLN et le RND dominent largement l'APN et ont laissé des miettes aux partis de l'opposition. Les partis islamistes, le FFS, le RCD, le PT sont en effet réduits à un rôle mineur. Les élections locales constituent donc une opportunité pour l'ensemble des partis pour s'affirmer sur la scène nationale. En effet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé hier samedi un décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour les élections des assemblées populaires communales (APC) et des assemblées populaires de wilaya (APW) qui se dérouleront donc le jeudi 23 novembre 2017, indique un communiqué de la présidence de la République. "Conformément aux dispositions de la loi organique relative au régime électoral, Son Excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a signé ce samedi 26 août 2017, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour les élections des Assemblées populaires communales et des Assemblées populaires de wilaya qui se dérouleront le jeudi 23 novembre 2017", précise la même source. Le même décret dispose qu'"une révision exceptionnelle des listes électorales sera ouverte du mercredi 30 août au mercredi 13 septembre 2017", ajoute le communiqué. Les delais sont ainsi bel et bien respectés puisque la loi stipule que le chef de l'Etat convoque le corps électoral trois mois avant la date de l'élection. Ces élections revêtent une importance cruciale pour les partis politiques. Ces derniers s'apprêtent à livrer la deuxième bataille électorale de l'année en cours. En effet, rappelonsle, c'est le deuxième scrutin qui aura lieu en 2017. Au mois de mai dernier c'était les élections législatives. Des élections qui n'ont pas chamboulé la scène politique nationale et qui étaient on ne peut plus conformes aux prévisions. En effet la victoire du FLN et du RND étaient très larges puisque à elles deux ces deux formations politiques, qui constituent le socle sur lequel repose le pouvoir, ont réussi à obtenir la majorité absolue des 462 sièges de l'Assemblée populaire nationale (APN). Ainsi le FLN est, comme attendu, arrivé en tête de ce scrutin. L'ex-parti unique a remporté 164 sièges réalisant un score nettement inférieur à celui obtenu en 2012 où il avait réussi à décrocher plus de 220 sièges. Son allié stratégique, le RND, a progressé puisqu'il a obtenu une centaine de sièges. Alliés à d'autres partis, à l'exemple du MPA et de TAJ, le FLN et le RND dominent largement l'APN et ont laissé des miettes aux partis de l'opposition. Les partis islamistes, le FFS, le RCD, le PT sont en effet réduits à un rôle mineur. Les élections locales constituent donc une opportunité pour l'ensemble des partis pour s'affirmer sur la scène nationale.