L'Algérie est "prête" à aider et à partager avec l'UE son expérience dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent. L'Algérie est "prête" à aider et à partager avec l'UE son expérience dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent. C'est ce qu'a affirmé, jeudi à Bruxelles, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel. "L'expérience algérienne en matière de déradicalisation intéresse énormément les Européens. Ils ont besoin de voir comment nous avons procédé et nous sommes prêts à aider et à partager cette expérience", a-t-il déclaré à la presse, à l'occasion du lancement de la 1re session du dialogue de haut niveau Algérie-UE en matière de sécurité régionale. Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué, dans ce contexte, que le dialogue stratégique Algérie-UE, lancé ce jeudi, est axé sur "la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent", soulignant que l'Algérie a mis en place "ce genre de mécanisme avec de nombreux grands pays". L'UE et l'Algérie, qui ont convenu de promouvoir un dialogue stratégique et sécuritaire face aux défis communs de sécurité et de développement, ont identifié, lors de cette première session du dialogue de haut niveau sur la sécurité régionale, trois grandes thématiques : "La lutte contre le terrorisme avec la problématique du retour des combattants étrangers", "La déradicalisation" et "La migration illégale", selon le ministre. Il s'agit d'"échanger nos approches et nos expériences dans la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent et de réfléchir ensemble sur le meilleur moyen de gérer la problématique de la migration clandestine", a-t-il souligné. La première session de ce dialogue stratégique, a-t-il poursuivi, "nous a permisde définir le cadre dans lequel nousallons travailler, la façon de procéder,mais surtout d'identifier les champs d'action".La deuxième session de ce dialoguestratégique "aura lieu à Alger dans les sixprochains mois". Le ministre s'était entretenu mercrediavec le président du Parlement européen,Antonio Tajani, avec lequel il a eu "unbon échange de vues" sur les questionsd'intérêt commun.Le dialogue stratégique Algérie-UE enmatière de sécurité régionale lancé jeudi àBruxelles est "très important" pourl'Union, a affirmé, de son côté, la haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Federica Mogherini. "C'est un dialogue très important pourl'UE", a-t-elle déclaré à la presse à l'occasiondu lancement de la première sessionde ce dialogue informel. La chef de ladiplomatie européenne a qualifié, à cetitre, l'Algérie de "partenaire clé" de l'UE,"non seulement en Méditerranée, enAfrique du Nord ou au Sahel, mais danstoute l'Afrique".Les premières discussions Algérie-UEentamées jeudi sur la sécurité régionaleont été "très importantes et trèsproductives", a-t-elle soutenu, faisantremarquer que le travail se poursuivra auniveau "des équipes d'experts" des deux parties. C'est ce qu'a affirmé, jeudi à Bruxelles, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel. "L'expérience algérienne en matière de déradicalisation intéresse énormément les Européens. Ils ont besoin de voir comment nous avons procédé et nous sommes prêts à aider et à partager cette expérience", a-t-il déclaré à la presse, à l'occasion du lancement de la 1re session du dialogue de haut niveau Algérie-UE en matière de sécurité régionale. Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué, dans ce contexte, que le dialogue stratégique Algérie-UE, lancé ce jeudi, est axé sur "la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent", soulignant que l'Algérie a mis en place "ce genre de mécanisme avec de nombreux grands pays". L'UE et l'Algérie, qui ont convenu de promouvoir un dialogue stratégique et sécuritaire face aux défis communs de sécurité et de développement, ont identifié, lors de cette première session du dialogue de haut niveau sur la sécurité régionale, trois grandes thématiques : "La lutte contre le terrorisme avec la problématique du retour des combattants étrangers", "La déradicalisation" et "La migration illégale", selon le ministre. Il s'agit d'"échanger nos approches et nos expériences dans la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent et de réfléchir ensemble sur le meilleur moyen de gérer la problématique de la migration clandestine", a-t-il souligné. La première session de ce dialogue stratégique, a-t-il poursuivi, "nous a permisde définir le cadre dans lequel nousallons travailler, la façon de procéder,mais surtout d'identifier les champs d'action".La deuxième session de ce dialoguestratégique "aura lieu à Alger dans les sixprochains mois". Le ministre s'était entretenu mercrediavec le président du Parlement européen,Antonio Tajani, avec lequel il a eu "unbon échange de vues" sur les questionsd'intérêt commun.Le dialogue stratégique Algérie-UE enmatière de sécurité régionale lancé jeudi àBruxelles est "très important" pourl'Union, a affirmé, de son côté, la haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Federica Mogherini. "C'est un dialogue très important pourl'UE", a-t-elle déclaré à la presse à l'occasiondu lancement de la première sessionde ce dialogue informel. La chef de ladiplomatie européenne a qualifié, à cetitre, l'Algérie de "partenaire clé" de l'UE,"non seulement en Méditerranée, enAfrique du Nord ou au Sahel, mais danstoute l'Afrique".Les premières discussions Algérie-UEentamées jeudi sur la sécurité régionaleont été "très importantes et trèsproductives", a-t-elle soutenu, faisantremarquer que le travail se poursuivra auniveau "des équipes d'experts" des deux parties.