Les critiques à l'encontre du nouveau patron des Jaune et Vert, Hamid Sadmi, commencent à monter d'un cran, et le partenariat avec les Italiens n'est pas pour demain. Les critiques à l'encontre du nouveau patron des Jaune et Vert, Hamid Sadmi, commencent à monter d'un cran, et le partenariat avec les Italiens n'est pas pour demain. Apparemment, rien n'a changé au sein de la JSK. Malgré les efforts de Hamid Sadmi, le club phare du Djurdjura risque de se noyer dans une crise profonde. Les caisses sont vides et l'Italien Cavallo Rocco ne s'est pas encore prononcé officiellement sur le projet avec la JS Kabylie. Nommé président le 7 septembre dernier à la place de Moh- Cherif Hannachi, le natif d'Azazga avait promis de redorer le blason de cette équipe et de la rendre comme elle a été auparavant. Mais à l'heure actuelle, il n'a encore rien apporté et le club se dirige vers l'inconnu. Certes, il faudra du temps pour remettre de l'ordre dans la maison, mais les inconditionnels des Jaune et Vert ne peuvent pas attendre éternellement. La pression monte d'un cran en Kabylie et Sadmi constitue, désormais, la principale cible. Cela fait exactement deux mois que Sadmi a entamé les négociations avec les Italiens sur les critères du partenariat, mais rien n'a été concrétisé pour le moment. Enrico Fabro, l'ancien entraîneur des Canaris, a été désigné par Cavallo comme étant directeur technique de cette filiale italienne. Ce dernier s'est rendu dans la ville des Genêts en fin de semaine avant de repartir sans rien apporter de plus au projet. Aux dernières nouvelles, les Kabyles et les Italiens se sont mis d'accord pour créer une société mixte(51 % pour la JSK et 49 % pour Cavallo), mais cela risque de tomber àl'eau. Ce qui bloque la venue des Italiens, c'est le désaccord qui existe entre Sadmi et la plupart des actionnaires du club. "Cavallo et Sadmi sesont mis d'accord sur les modalités àsuivre pour créer cette filiale, mais ily a des choses qui se passent dans lamaison Kabylie.Il semble qu'il existe un désaccord entre les actionnaires du club. Je saisque la situation actuelle est très difficileet Sadmi m'a dit qu'il doitd'abord convaincre les autres dirigeants avant de créer cette filiale. Cela ne nous inquiète pas puisque Cavallo est prêt à l'attendre. Lorsque Sadmi sera prêt, on reviendra poursigner le contrat de partenariat", a expliqué Fabbro qui connaît parfaitementbien le football algérien, notamment la JSK, avec qui il a vécu des moments de gloire par le passé. Le Comité de supporters avait, quant àlui, provoqué au cours de la semaine dernière une réunion avec le conseil de surveillance en présence de Sadmipour connaître l'évolution des choses.Les supporters insistent sur le fait de faire vite et trouver les bonnes formulesavant qu'il ne soit trop tard. En tout cas, une source proche du club nous a confirmés que rien ne devrait se régler avant le mois de décembreprochain. Ce qui n'arrange pas lesaffaires du nouveau président Hamid Sadmi qui est déjà sur la sellette. Apparemment, rien n'a changé au sein de la JSK. Malgré les efforts de Hamid Sadmi, le club phare du Djurdjura risque de se noyer dans une crise profonde. Les caisses sont vides et l'Italien Cavallo Rocco ne s'est pas encore prononcé officiellement sur le projet avec la JS Kabylie. Nommé président le 7 septembre dernier à la place de Moh- Cherif Hannachi, le natif d'Azazga avait promis de redorer le blason de cette équipe et de la rendre comme elle a été auparavant. Mais à l'heure actuelle, il n'a encore rien apporté et le club se dirige vers l'inconnu. Certes, il faudra du temps pour remettre de l'ordre dans la maison, mais les inconditionnels des Jaune et Vert ne peuvent pas attendre éternellement. La pression monte d'un cran en Kabylie et Sadmi constitue, désormais, la principale cible. Cela fait exactement deux mois que Sadmi a entamé les négociations avec les Italiens sur les critères du partenariat, mais rien n'a été concrétisé pour le moment. Enrico Fabro, l'ancien entraîneur des Canaris, a été désigné par Cavallo comme étant directeur technique de cette filiale italienne. Ce dernier s'est rendu dans la ville des Genêts en fin de semaine avant de repartir sans rien apporter de plus au projet. Aux dernières nouvelles, les Kabyles et les Italiens se sont mis d'accord pour créer une société mixte(51 % pour la JSK et 49 % pour Cavallo), mais cela risque de tomber àl'eau. Ce qui bloque la venue des Italiens, c'est le désaccord qui existe entre Sadmi et la plupart des actionnaires du club. "Cavallo et Sadmi sesont mis d'accord sur les modalités àsuivre pour créer cette filiale, mais ily a des choses qui se passent dans lamaison Kabylie.Il semble qu'il existe un désaccord entre les actionnaires du club. Je saisque la situation actuelle est très difficileet Sadmi m'a dit qu'il doitd'abord convaincre les autres dirigeants avant de créer cette filiale. Cela ne nous inquiète pas puisque Cavallo est prêt à l'attendre. Lorsque Sadmi sera prêt, on reviendra poursigner le contrat de partenariat", a expliqué Fabbro qui connaît parfaitementbien le football algérien, notamment la JSK, avec qui il a vécu des moments de gloire par le passé. Le Comité de supporters avait, quant àlui, provoqué au cours de la semaine dernière une réunion avec le conseil de surveillance en présence de Sadmipour connaître l'évolution des choses.Les supporters insistent sur le fait de faire vite et trouver les bonnes formulesavant qu'il ne soit trop tard. En tout cas, une source proche du club nous a confirmés que rien ne devrait se régler avant le mois de décembreprochain. Ce qui n'arrange pas lesaffaires du nouveau président Hamid Sadmi qui est déjà sur la sellette.