Après 39 ans d'absence le chanteur Idir a animé un concert à la Coupole du complexe sportif du 5 juillet d'Alger. Ils étaient quelques milliers de fans à se déplacer jeudi soir à la Coupole pour revoir ou découvrir Idir sur scène, faire la fête et replonger dans un univers musical festif porté par la poésie et belle mélodie. Après 39 ans d'absence le chanteur Idir a animé un concert à la Coupole du complexe sportif du 5 juillet d'Alger. Ils étaient quelques milliers de fans à se déplacer jeudi soir à la Coupole pour revoir ou découvrir Idir sur scène, faire la fête et replonger dans un univers musical festif porté par la poésie et belle mélodie. Billets en main, les fans de l'icône de la chanson kabyle commençaient à se masser à l'entrée de la Coupole plusieurs heures avant le début du concert pour assister à cet événement musical qui marque le retour de Idir sur scène après 39 ans d'absence. Dans la foule, des femmes en robe traditionnelle kabyle et des hommes en burnous blanc ont ainsi tenu à marquer cet évènement musical qui précède de quelques jours la fête de Yennayer, le Nouvel An amazigh, célébré en Algérie, officiellement pour la première fois. Dans l'enceinte et aux abords de la Coupole, la Sûreté nationale et la Protection civile ont déployé un dispositif important, mais discret, pour les deux jours de concert. En attendant leur idole, les quelques 5000 spectateurs présents ont d'abord assisté à la prestation d'une chorale de jeune filles, avant l'entrée sur scène des 30 musiciens accompagnant le chanteur. Idir n'a pas pu retenir ses larmes face à une salle archi-comble. « Quelle émotion ! », a-t-il lancé au début d'un concert de deux heures et demi. « Repose-toi dans ta tombe, l'amazighité se met debout aujourd'hui », ont chanté les jeunes filles. Elles ont ensuite interprété Ad Zzi Saa de Slimane Azzem et Heal the world de Micheal Jakcson, deux chansons « revisitées » pour s'adapter aux voix de la jeune chorale. Idir a enchaîné ses plus grands succès comme « Isefra » (poèmes) et Aghrib (étranger). Cette chanson évoque la première vague d'immigration pour tenter leur chance et essayer de faire vivre une famille.Par la suite il a repris toutes les chansons à succès de son répertoire dont , bien sûr, Essendo et Avava Inouva ». Des chansons repris en choeur par toute la salle dans une parfaite communionavec leur idole. Billets en main, les fans de l'icône de la chanson kabyle commençaient à se masser à l'entrée de la Coupole plusieurs heures avant le début du concert pour assister à cet événement musical qui marque le retour de Idir sur scène après 39 ans d'absence. Dans la foule, des femmes en robe traditionnelle kabyle et des hommes en burnous blanc ont ainsi tenu à marquer cet évènement musical qui précède de quelques jours la fête de Yennayer, le Nouvel An amazigh, célébré en Algérie, officiellement pour la première fois. Dans l'enceinte et aux abords de la Coupole, la Sûreté nationale et la Protection civile ont déployé un dispositif important, mais discret, pour les deux jours de concert. En attendant leur idole, les quelques 5000 spectateurs présents ont d'abord assisté à la prestation d'une chorale de jeune filles, avant l'entrée sur scène des 30 musiciens accompagnant le chanteur. Idir n'a pas pu retenir ses larmes face à une salle archi-comble. « Quelle émotion ! », a-t-il lancé au début d'un concert de deux heures et demi. « Repose-toi dans ta tombe, l'amazighité se met debout aujourd'hui », ont chanté les jeunes filles. Elles ont ensuite interprété Ad Zzi Saa de Slimane Azzem et Heal the world de Micheal Jakcson, deux chansons « revisitées » pour s'adapter aux voix de la jeune chorale. Idir a enchaîné ses plus grands succès comme « Isefra » (poèmes) et Aghrib (étranger). Cette chanson évoque la première vague d'immigration pour tenter leur chance et essayer de faire vivre une famille.Par la suite il a repris toutes les chansons à succès de son répertoire dont , bien sûr, Essendo et Avava Inouva ». Des chansons repris en choeur par toute la salle dans une parfaite communionavec leur idole.