Une dizaine d'entraîneurs ont été remerciés après 16 journées de championnat... En cause, le refrain reste le même, à savoir surtout ‘'l'absence de résultats'' et les ‘'conséquences des difficultés financières''. Une dizaine d'entraîneurs ont été remerciés après 16 journées de championnat... En cause, le refrain reste le même, à savoir surtout ‘'l'absence de résultats'' et les ‘'conséquences des difficultés financières''. ContenuMais le constat est implacable : les entraîneurs sont de nouveau les premiers fusibles pour des présidents sous pression de la rue. Depuis le début de cet exercice, plusieurs changements de chefs d'orchestre ont été opérés, conséquence d'une procédure de licenciement, d'une démission ou d'un départ négocié entre les parties prenantes. En ouverture de la seconde manche du championnat, quatre entraîneurs remerciés. Il s'agit d'Azzedine Aït Djoudi (JS Kabylie), Mustapha Sbaâ (USM Blida), Hamdi Dahou (USM Harrach) et Mustapha Biskri, MO Béjaïa. Auparavant d'autres techniciens ont connu le même sort, à l'image de Paul Put (USM Alger), Rahmouni et Moussouni (JS Kabylie) puis (MC El Eulma), Ivica Todorov (CR Belouizdad), Nabil Neghiz (NA Hussein Dey), Kheïredine Madoui (ES Sétif), Meziane Ighil (DRB Tadjenanet) et d'autres. C 'est un nouveau record, et il ne concerne pas uniquement les clubs qui souffrent sur le plan financier. Pourtant, en début de saison, tout le monde évoquait la stabilité sur tous les plans, notamment technique. Alors, à qui la faute ? Comme d'habitude, les entraîneurs payent cash les mauvais résultats de leurs équipes, alors que la majorité écrasante des clubs se noient dans des dettes infinies. ‘'Le climat n'est pas favorable pour jouer au football'', a indiqué l'entraîneur tunisien Hamdi Dhou. Les spécialistes en la matière refusent de rejeter la faute sur les entraînements et confirment que les techniciens ne bénéficient pas en Algérie des moyens nécessaires pour construire un projet commun. joueur de football a besoin d'une bonne préparation mentale pendant son parcours. Cela reste un outil indispensable de développement de ses capacités et son potentiel'', s'est contenté de dire, de soncôté, l'entraîneur belge du Chabab, Ivica Todorov. Et d'ajouter : "Exiger beaucoup de toi-même et attendre peu des autres, n'est pas évident. Tout le monde doit assumer son rôle dans un club professionnel.'' A la JS Kabylie, c'est un autre cas. L'entraîneur Azzedine Aït Djoudi occupe deux fonctions en même temps. Outre la mission de mener les destinées techniques, cet entraîneur est également membre du directoire qui gère actuellement le club. Après une forte pression des autres responsables, le technicien kabyle cède sa place d'entraîneur pour se focaliser entièrement au travail administratif. Ladkhder Madjène confirme qu'il veut ramener Ali Fergani diriger le club en ce moment. Face à toutes les difficultés rencontrées le championnat algérien, certains entraîneurs sautent sur la moindre occasion qui vient de l'étranger, à l'image de Nabil Neghiz qui a quitté le NA Hussein Dey en plein Championnat vers le club saoudien Ohod et Kheiredine Madoui qui a rejoint l'Etoile Sahel de Tunis juste aprèsla fin de la manche aller. ContenuMais le constat est implacable : les entraîneurs sont de nouveau les premiers fusibles pour des présidents sous pression de la rue. Depuis le début de cet exercice, plusieurs changements de chefs d'orchestre ont été opérés, conséquence d'une procédure de licenciement, d'une démission ou d'un départ négocié entre les parties prenantes. En ouverture de la seconde manche du championnat, quatre entraîneurs remerciés. Il s'agit d'Azzedine Aït Djoudi (JS Kabylie), Mustapha Sbaâ (USM Blida), Hamdi Dahou (USM Harrach) et Mustapha Biskri, MO Béjaïa. Auparavant d'autres techniciens ont connu le même sort, à l'image de Paul Put (USM Alger), Rahmouni et Moussouni (JS Kabylie) puis (MC El Eulma), Ivica Todorov (CR Belouizdad), Nabil Neghiz (NA Hussein Dey), Kheïredine Madoui (ES Sétif), Meziane Ighil (DRB Tadjenanet) et d'autres. C 'est un nouveau record, et il ne concerne pas uniquement les clubs qui souffrent sur le plan financier. Pourtant, en début de saison, tout le monde évoquait la stabilité sur tous les plans, notamment technique. Alors, à qui la faute ? Comme d'habitude, les entraîneurs payent cash les mauvais résultats de leurs équipes, alors que la majorité écrasante des clubs se noient dans des dettes infinies. ‘'Le climat n'est pas favorable pour jouer au football'', a indiqué l'entraîneur tunisien Hamdi Dhou. Les spécialistes en la matière refusent de rejeter la faute sur les entraînements et confirment que les techniciens ne bénéficient pas en Algérie des moyens nécessaires pour construire un projet commun. joueur de football a besoin d'une bonne préparation mentale pendant son parcours. Cela reste un outil indispensable de développement de ses capacités et son potentiel'', s'est contenté de dire, de soncôté, l'entraîneur belge du Chabab, Ivica Todorov. Et d'ajouter : "Exiger beaucoup de toi-même et attendre peu des autres, n'est pas évident. Tout le monde doit assumer son rôle dans un club professionnel.'' A la JS Kabylie, c'est un autre cas. L'entraîneur Azzedine Aït Djoudi occupe deux fonctions en même temps. Outre la mission de mener les destinées techniques, cet entraîneur est également membre du directoire qui gère actuellement le club. Après une forte pression des autres responsables, le technicien kabyle cède sa place d'entraîneur pour se focaliser entièrement au travail administratif. Ladkhder Madjène confirme qu'il veut ramener Ali Fergani diriger le club en ce moment. Face à toutes les difficultés rencontrées le championnat algérien, certains entraîneurs sautent sur la moindre occasion qui vient de l'étranger, à l'image de Nabil Neghiz qui a quitté le NA Hussein Dey en plein Championnat vers le club saoudien Ohod et Kheiredine Madoui qui a rejoint l'Etoile Sahel de Tunis juste aprèsla fin de la manche aller.