La question du renvoi des migrants subsahariens dans leur pays d'origine fait denouveau l'actualité ces derniers jours, àla suite du dernier rapport du HumanRights Watch. La question du renvoi des migrants subsahariens dans leur pays d'origine fait denouveau l'actualité ces derniers jours, àla suite du dernier rapport du HumanRights Watch. Le ministre de l'Intérieur, NoureddineBedoui, interrogé avant-hier à l'APN,dans le cadre des questions orales auxmembres du gouvernement, a eu à s'expliquersur le sujet en avançant d'abordun chiffre. Selon lui, pas moins de 27.000 ressortissantssubsahariens ont été renvoyés dans leurs pays d'origine, depuis 2015, précisant que « les opérations se sont dérouléesdans le strict respect des droits humanitaires» Bedoui a tenu à souligner à cepropos que « l'Algérie ne s'exonèrera jamais de son devoir humanitaire, dans le cadre de la gestion du phénomène de la migration clandestine, notamment des ressortissants subsahariens » Cependant, le ministre de l'Intérieur amis en garde contre l'exploitation des migrants clandestins par des réseaux criminels,notamment dans le trafic dedrogue ou la prostitution. Les propos de Bedoui font écho à ceux du Premier ministre Ahmed Ouyahia qui répondaitmercredi à Kigali, où il représentait lechef de l'Etat, que « l'Algérie ne lésinera sur aucun effort pour aider ses voisins du Sahel afin de privilégier un climat depaix et de sécurité dans la région, néanmoinsl'Algérie continuera à se défendrecontre la migration clandestine , à traversune gestion du phénomène qui tiennentcompte des conventions internationaleset en collaboration avec les pays d'origine» Dans son dernier rapport l'ONGHuman Rights Watch a accusé les autoritésalgériennes de faire fi des conditionsde dignité et d'humanité lors des opérations de rapatriement des ressortissantssubsahariens. Le ministre de l'Intérieur, NoureddineBedoui, interrogé avant-hier à l'APN,dans le cadre des questions orales auxmembres du gouvernement, a eu à s'expliquersur le sujet en avançant d'abordun chiffre. Selon lui, pas moins de 27.000 ressortissantssubsahariens ont été renvoyés dans leurs pays d'origine, depuis 2015, précisant que « les opérations se sont dérouléesdans le strict respect des droits humanitaires» Bedoui a tenu à souligner à cepropos que « l'Algérie ne s'exonèrera jamais de son devoir humanitaire, dans le cadre de la gestion du phénomène de la migration clandestine, notamment des ressortissants subsahariens » Cependant, le ministre de l'Intérieur amis en garde contre l'exploitation des migrants clandestins par des réseaux criminels,notamment dans le trafic dedrogue ou la prostitution. Les propos de Bedoui font écho à ceux du Premier ministre Ahmed Ouyahia qui répondaitmercredi à Kigali, où il représentait lechef de l'Etat, que « l'Algérie ne lésinera sur aucun effort pour aider ses voisins du Sahel afin de privilégier un climat depaix et de sécurité dans la région, néanmoinsl'Algérie continuera à se défendrecontre la migration clandestine , à traversune gestion du phénomène qui tiennentcompte des conventions internationaleset en collaboration avec les pays d'origine» Dans son dernier rapport l'ONGHuman Rights Watch a accusé les autoritésalgériennes de faire fi des conditionsde dignité et d'humanité lors des opérations de rapatriement des ressortissantssubsahariens.