Les zones isolées du sud du pays fon encore les frais desessais nucléaireseffectuées par l'armée colonialefrançaise, dont leseffets sont encorevisibles aujourd'huisur les humains, lesanimaux et l'environnement... Les zones isolées du sud du pays fon encore les frais desessais nucléaireseffectuées par l'armée colonialefrançaise, dont leseffets sont encorevisibles aujourd'huisur les humains, lesanimaux et l'environnement... Le président du Conseil national d'évaluation de la recherche scientifique et du développement technologique relevant duministère del'Enseignement supérieuret de la Recherche scientifique a indiqué, mercredi àOran, que l'heure est venue d'effectuer des études surles effets des essais nucléaires français dans leSud algérien."Il est temps pour l'Algérie deffectuer des étudesnécessaires sur les effets des essais nucléaires français dans le Sud algérien",a souligné MustaphaKhiati, dans une déclarationà la presse, en margedune journée d'étude sur lethème "Innovation-cancer",précisant que lesmoyens humains et matérielsdont dispose aujourd'hui l'Algérie lui permettent d'effectuer cetravail. "Des recherches doivent être menées pour déterminerles effets des essais surles humains, la faune et laflore et l'environnement demanière générale, partantdes moyens énormes dont dispose le pays qui lui permettent de se lancer dans ce genre de travail", a-t-il affirmé.Le nombre de personnesatteintes de cancers "est en augmentation constante en Algérie et les zones isolées du sud du pays font les frais des essais nucléaires" effectuées par l'armée coloniale française, dontles effets sont encore visiblesaujourdhui sur leshumains, les animaux etl'environnement, a-t-ilaffirmé."Celui qui a perpétré cecrime odieux doit payer et non pas l'Etat algérien", at-il déclaré, soulignant quele gouvernement français aproposé, pour la premièrefois en février dernier, àl'Etat algérien de discuter de ce sujet."Il existe aujourd'hui unevolonté politique de la France pour régler ce problème", a souligné à cepropos M. Khiati. Quant au registre du cancerdans les régions touchéespar les essais nucléaires, lemême responsable a préciséqu'"un registre existe,sauf qu'une grande partiedes malades se soignent dans les établissementshospitaliers dans le norddu pays et est donc comptabilisée dans les registres de ces hôpitaux ce quinécessite de connaître cescas" La journée d'étude sur lethème "Innovation-cancer" est organisée par l'Agence thématique de recherche ensciences de la santé(ATRSS), en collaborationavec l'université "Abou- Bekr- Belkaid" de Tlemcenau niveau du Centre derecherche en anthropologiesociale et culturelle(CRASC). Le président du Conseil national d'évaluation de la recherche scientifique et du développement technologique relevant duministère del'Enseignement supérieuret de la Recherche scientifique a indiqué, mercredi àOran, que l'heure est venue d'effectuer des études surles effets des essais nucléaires français dans leSud algérien."Il est temps pour l'Algérie deffectuer des étudesnécessaires sur les effets des essais nucléaires français dans le Sud algérien",a souligné MustaphaKhiati, dans une déclarationà la presse, en margedune journée d'étude sur lethème "Innovation-cancer",précisant que lesmoyens humains et matérielsdont dispose aujourd'hui l'Algérie lui permettent d'effectuer cetravail. "Des recherches doivent être menées pour déterminerles effets des essais surles humains, la faune et laflore et l'environnement demanière générale, partantdes moyens énormes dont dispose le pays qui lui permettent de se lancer dans ce genre de travail", a-t-il affirmé.Le nombre de personnesatteintes de cancers "est en augmentation constante en Algérie et les zones isolées du sud du pays font les frais des essais nucléaires" effectuées par l'armée coloniale française, dontles effets sont encore visiblesaujourdhui sur leshumains, les animaux etl'environnement, a-t-ilaffirmé."Celui qui a perpétré cecrime odieux doit payer et non pas l'Etat algérien", at-il déclaré, soulignant quele gouvernement français aproposé, pour la premièrefois en février dernier, àl'Etat algérien de discuter de ce sujet."Il existe aujourd'hui unevolonté politique de la France pour régler ce problème", a souligné à cepropos M. Khiati. Quant au registre du cancerdans les régions touchéespar les essais nucléaires, lemême responsable a préciséqu'"un registre existe,sauf qu'une grande partiedes malades se soignent dans les établissementshospitaliers dans le norddu pays et est donc comptabilisée dans les registres de ces hôpitaux ce quinécessite de connaître cescas" La journée d'étude sur lethème "Innovation-cancer" est organisée par l'Agence thématique de recherche ensciences de la santé(ATRSS), en collaborationavec l'université "Abou- Bekr- Belkaid" de Tlemcenau niveau du Centre derecherche en anthropologiesociale et culturelle(CRASC).