Entre revanche et confirmation, la 54e édition de la Coupe d'Algérie, entre la JS Kabylie et l'USM Bel Abbès, prévue aujourd'hui à 16h au stade du 5-Juillet, s'annonce palpitante et indécise. Entre revanche et confirmation, la 54e édition de la Coupe d'Algérie, entre la JS Kabylie et l'USM Bel Abbès, prévue aujourd'hui à 16h au stade du 5-Juillet, s'annonce palpitante et indécise. ContenuNul doute que les Canaris doivent encore avoir en travers dela gorge leur dernière rencontreavec l'USM Bel Abbès. C'étaitun certain soir d'un 2 mai 1991, austade du 5-Juillet, en finale de laCoupe d'Algérie. Ce jour-là, lesCanaris avaient perdu sur le score de 2 à 0. Une défaite qui a fait coulerbeaucoup d'encre. 27 ans, après, lesdeux formations se retrouvent aumême stade de la compétition. Le club algérien au prestigieux palmarès,dont cinq coupes d'Algérie,cherche certainement sa sixièmeétoile. Le club phare du Djurdjuraqui jouera sa onzième finale deDame Coupe, a connu au cours de la saison une crise sans précédent.L'intronisation de Cherif Mellal à la tête du club semble apporter se fruits. La JSK collectionne depuis lesbons résultats et mise énormémentsur la Coupe pour sauver les meubles.L'actuel entraîneur de la JS Kabylie,Youcef Bouzidi, garde certainement un mauvais souvenir de la dernièrefinale, perdue en 2016 avec le NAHussein Dey face au MC Alger (1-0). "La JSK a une revanche à prendre,puisqu'elle s'est fait battre il y a27 ans par la même équipe. J'ai égalementune revanche personnelle àprendre sur le sort puisque je restesur une finale perdue en 2016 avec le NAHD, qui m'est restée en travers de la gorge", a-t-il indiqué. Bouzidi avoue que "son équipe possède les moyens nécessaires pour remporter le sacre final". Mais dans ce genre de rendez-vous d'envergure, les deux équipes partiront à chances égales. Le club le plus populaire de l'ouest du pays, n'a pas eu la réussite nécessaire à la mesure de sa grandeur. En 85 ans d'existence, le club phare de Mekra n'a obtenu qu'un seul titre. Une moisson très faible aux yeux des inconditionnels des Vert et Rouge. Un hasard ou ironie du sort, pour sa deuxième finale dans l'épreuve populaire, l'USMBA va affronter la JS Kabylie, avec l'objectif de refaire le même coup de 1991. Après avoir échoué lors des deux précédentes éditions à passer le cap des demi-finales, cette fois-ci est la bonne pour les gars de les coéquipiers de Segueur, bien qu'ils aient rencontré les pires difficultés pour atteindre ce niveau. En championnat, le club phare de la Mekra n'a toujours pas assuré mathématiquement son maintien parmi l'élite. Aujourd'hui, l'entraîneur Si Tahar Cherif El Ouazani appelle ses hommes à se focaliser entièrement sur ce rendez-vous pour espérer offrir à la région de Bel Abbés sa deuxième Coupe d'Algérie, après l'avoir remporté comme joueur à trois reprises avec le MC Oran. Le technicien de 52 ans s'est montré optimiste et confirme qu'un matchde Coupe se joue généralement sur un petit détail. "La Coupe n'a jamais été notre objectif. Et puisque nous sommes en finale, nous allons faire de notre mieux pour offrir à Bel Abbès sa deuxième Coupe d'Algérie", a-t-il dit. ContenuNul doute que les Canaris doivent encore avoir en travers dela gorge leur dernière rencontreavec l'USM Bel Abbès. C'étaitun certain soir d'un 2 mai 1991, austade du 5-Juillet, en finale de laCoupe d'Algérie. Ce jour-là, lesCanaris avaient perdu sur le score de 2 à 0. Une défaite qui a fait coulerbeaucoup d'encre. 27 ans, après, lesdeux formations se retrouvent aumême stade de la compétition. Le club algérien au prestigieux palmarès,dont cinq coupes d'Algérie,cherche certainement sa sixièmeétoile. Le club phare du Djurdjuraqui jouera sa onzième finale deDame Coupe, a connu au cours de la saison une crise sans précédent.L'intronisation de Cherif Mellal à la tête du club semble apporter se fruits. La JSK collectionne depuis lesbons résultats et mise énormémentsur la Coupe pour sauver les meubles.L'actuel entraîneur de la JS Kabylie,Youcef Bouzidi, garde certainement un mauvais souvenir de la dernièrefinale, perdue en 2016 avec le NAHussein Dey face au MC Alger (1-0). "La JSK a une revanche à prendre,puisqu'elle s'est fait battre il y a27 ans par la même équipe. J'ai égalementune revanche personnelle àprendre sur le sort puisque je restesur une finale perdue en 2016 avec le NAHD, qui m'est restée en travers de la gorge", a-t-il indiqué. Bouzidi avoue que "son équipe possède les moyens nécessaires pour remporter le sacre final". Mais dans ce genre de rendez-vous d'envergure, les deux équipes partiront à chances égales. Le club le plus populaire de l'ouest du pays, n'a pas eu la réussite nécessaire à la mesure de sa grandeur. En 85 ans d'existence, le club phare de Mekra n'a obtenu qu'un seul titre. Une moisson très faible aux yeux des inconditionnels des Vert et Rouge. Un hasard ou ironie du sort, pour sa deuxième finale dans l'épreuve populaire, l'USMBA va affronter la JS Kabylie, avec l'objectif de refaire le même coup de 1991. Après avoir échoué lors des deux précédentes éditions à passer le cap des demi-finales, cette fois-ci est la bonne pour les gars de les coéquipiers de Segueur, bien qu'ils aient rencontré les pires difficultés pour atteindre ce niveau. En championnat, le club phare de la Mekra n'a toujours pas assuré mathématiquement son maintien parmi l'élite. Aujourd'hui, l'entraîneur Si Tahar Cherif El Ouazani appelle ses hommes à se focaliser entièrement sur ce rendez-vous pour espérer offrir à la région de Bel Abbés sa deuxième Coupe d'Algérie, après l'avoir remporté comme joueur à trois reprises avec le MC Oran. Le technicien de 52 ans s'est montré optimiste et confirme qu'un matchde Coupe se joue généralement sur un petit détail. "La Coupe n'a jamais été notre objectif. Et puisque nous sommes en finale, nous allons faire de notre mieux pour offrir à Bel Abbès sa deuxième Coupe d'Algérie", a-t-il dit.