La Tunisie a instauré une nouvelle taxe pour l'entréedes véhicules lourds sur sonterritoire., Les chauffeurs deces véhicules devront ainsipayer 14.000 dinars algériensou l'équivalent de 200 dinarstunisiens pour franchir la frontière. La Tunisie a instauré une nouvelle taxe pour l'entréedes véhicules lourds sur sonterritoire., Les chauffeurs deces véhicules devront ainsipayer 14.000 dinars algériensou l'équivalent de 200 dinarstunisiens pour franchir la frontière. Le vice-ambassadeur de Tunisie à Alger préciseà ce propos qu'il "ne s'agitnullement d'une taxe. Ce sont desfrais de service douanier qui ne concernentpas les voitures et les bus touristiques.C'est une somme à payer pour lescamions de marchandises qui devront passerau scanner". C'est ce qu'a expliquéChoukri Lataief, vice-ambassadeur deTunisie à Alger.Selon lui "ces frais sont payés par toutvéhicule lourd chargé venant d'un autrepays. Cela est aussi valable pour lesTunisiens. Les propriétaires de ces véhiculesdevront payer 200 dinars tunisiens,soit 14.000 dinars algériens, au niveau desports et des différents postes frontalierspour pouvoirentrer en Tunisie. Ces fraisn'ont aucun impact puisqu'ils sont inclus dans le contrat conclu entre deux opérateurs.Le scanner est un service qui sepaye. On ne peut pas fouiller manuellementdes camions remplis de marchandises",a expliqué M. Lataief qui assureque la taxe de 30 dinars tunisiens imposéel'année dernière au touristes algériens abien été supprimée.Les pouvoirs publics tunisiens avaient, rappelons-le, décidé l'année dernière d'imposer une taxe de 30 DT, soit 2.350 DApour sortir de Tunisie. Cette taxe qui étaitimposable à tout individu non-résident enTunisie quittant le territoire, a suscité unevive colère de la part des touristes et desautorités algériens qui ont fini par envisagerl'application de la réciprocité. Lesrégions frontalières ont été le théâtre, suite à cette décision, de plusieurs manifestations. Ce qui a poussé les autorités des deux pays à engager des négociations qui ont été soldées par la suppression de cette taxe. Le vice-ambassadeur de Tunisie à Alger préciseà ce propos qu'il "ne s'agitnullement d'une taxe. Ce sont desfrais de service douanier qui ne concernentpas les voitures et les bus touristiques.C'est une somme à payer pour lescamions de marchandises qui devront passerau scanner". C'est ce qu'a expliquéChoukri Lataief, vice-ambassadeur deTunisie à Alger.Selon lui "ces frais sont payés par toutvéhicule lourd chargé venant d'un autrepays. Cela est aussi valable pour lesTunisiens. Les propriétaires de ces véhiculesdevront payer 200 dinars tunisiens,soit 14.000 dinars algériens, au niveau desports et des différents postes frontalierspour pouvoirentrer en Tunisie. Ces fraisn'ont aucun impact puisqu'ils sont inclus dans le contrat conclu entre deux opérateurs.Le scanner est un service qui sepaye. On ne peut pas fouiller manuellementdes camions remplis de marchandises",a expliqué M. Lataief qui assureque la taxe de 30 dinars tunisiens imposéel'année dernière au touristes algériens abien été supprimée.Les pouvoirs publics tunisiens avaient, rappelons-le, décidé l'année dernière d'imposer une taxe de 30 DT, soit 2.350 DApour sortir de Tunisie. Cette taxe qui étaitimposable à tout individu non-résident enTunisie quittant le territoire, a suscité unevive colère de la part des touristes et desautorités algériens qui ont fini par envisagerl'application de la réciprocité. Lesrégions frontalières ont été le théâtre, suite à cette décision, de plusieurs manifestations. Ce qui a poussé les autorités des deux pays à engager des négociations qui ont été soldées par la suppression de cette taxe.