ments exprimés par le directeur Moyen-Orientet Afrique (Mena) du groupe PSA (Peugeot-Citroën), Jean-Christophe Quemard, à l'occasiond'une conférence de presse animée samedi7 juillet au siège de la marque à Oued-Smar àAlger. ments exprimés par le directeur Moyen-Orientet Afrique (Mena) du groupe PSA (Peugeot-Citroën), Jean-Christophe Quemard, à l'occasiond'une conférence de presse animée samedi7 juillet au siège de la marque à Oued-Smar àAlger. L'objectif de cette sortie médiatique étant derépondre aux rumeurs concernant le terrain(agricole) su lequel devrait être implantéel'usine de montage du constructeur français."Tout a été fait de manière réglementaire jusque-là. Mais je m'étonne qu'un individupuisse faire dérailler une procédure engagéedepuis deux ans. C'est un sujet d'étonnementd'autant plus que les intéressés sont favorablesau projet. En plus, nous avons le soutien du gouvernement",a-t-il soutenu.Un seul agriculteur sur les 19 concernés parl'expropriation, aurait refusé de céder son terrain. "On a commencé les travaux de terrassement, la base de vie et on a une autorisation. Pour le permis de construire, on ne l'a pas, il est bloqué", a indiqué M. Quemard. Ce blocage, qu'il espère temporaire, n'a paspour autant entamé la volonté des dirigeants dePeugeot d'implanter leur usine à Oran."On est prêt une fois de plus et nous avons lavolonté de faire aboutir le projet et produire desvéhicules ici", a en effet assuré M. Quemard.Surtout que la marque au lion "a maintenu etsoutenu pas moins de 42 concessionnaires enAlgérie, un réseau qui est le meilleur du pays", a-t-il affirmé. L'autre source de motivation de M. Quenard reste le soutien du gouvernement algérien pour l'usine du groupe Peugeot. "Je gardeconfiance, le ministère de l'Industrie et le gouvernementalgérien vont finir par dénouer cette situation", a-t-il affirmé. Cette confiance n'a pas empêché le directeur de la région Mena de PSA de faire montre d'un peud'impatience et de demander à ce que ce problème , uisse trouver "une solution rapide". L'objectif de cette sortie médiatique étant derépondre aux rumeurs concernant le terrain(agricole) su lequel devrait être implantéel'usine de montage du constructeur français."Tout a été fait de manière réglementaire jusque-là. Mais je m'étonne qu'un individupuisse faire dérailler une procédure engagéedepuis deux ans. C'est un sujet d'étonnementd'autant plus que les intéressés sont favorablesau projet. En plus, nous avons le soutien du gouvernement",a-t-il soutenu.Un seul agriculteur sur les 19 concernés parl'expropriation, aurait refusé de céder son terrain. "On a commencé les travaux de terrassement, la base de vie et on a une autorisation. Pour le permis de construire, on ne l'a pas, il est bloqué", a indiqué M. Quemard. Ce blocage, qu'il espère temporaire, n'a paspour autant entamé la volonté des dirigeants dePeugeot d'implanter leur usine à Oran."On est prêt une fois de plus et nous avons lavolonté de faire aboutir le projet et produire desvéhicules ici", a en effet assuré M. Quemard.Surtout que la marque au lion "a maintenu etsoutenu pas moins de 42 concessionnaires enAlgérie, un réseau qui est le meilleur du pays", a-t-il affirmé. L'autre source de motivation de M. Quenard reste le soutien du gouvernement algérien pour l'usine du groupe Peugeot. "Je gardeconfiance, le ministère de l'Industrie et le gouvernementalgérien vont finir par dénouer cette situation", a-t-il affirmé. Cette confiance n'a pas empêché le directeur de la région Mena de PSA de faire montre d'un peud'impatience et de demander à ce que ce problème , uisse trouver "une solution rapide".