Pour la énième fois, les retraités et les invalides del'Armée nationale populairesont revenus à la charge. Ilsont tenté de manifester lundimatin 24 septembre 2018, dansla capitale pour porter leursrevendications. Pour la énième fois, les retraités et les invalides del'Armée nationale populairesont revenus à la charge. Ilsont tenté de manifester lundimatin 24 septembre 2018, dansla capitale pour porter leursrevendications. Ala surprise générale, toutes les entrées de la capitale étaient quadrillées,dès la matinée, par les forcesde l'ordre ayant empêché toute intrusion. Malgré le siège imposé, lesmanifestantsont réussi à passer les barrières des forcesantiémeutes de la gendarmerie, enpoursuivantleur marche de Haouch el-Makhfi àReghaïa jusqu'à Dar el-Beïda, provoquantainsi, le blocage de la circulation auniveau de l'autoroute reliant Alger à l'est du pays. Répondant à l'appel de leur coordinationnationale, ces centaines de personnes,issues de différentes wilayas dupays, parmi lesquels figuraient plusieurshandicapés et blessés, scandant des slogans tels que : "Non à la marginalisation!", "Nous sommes tous des Algériens !" ouencore "Où sont nos droits ?", paraissent déterminés et ne sont pas prêts àbaisserles bras jusqu'à satisfaction de leur plateformede revendications qui constitue, entre autres, la revalorisation, assortied'une procédure de rétroactivité, de leurpension de retraite qu'ils estimentnettementinsuffisante au regard du coûtactuelde la vie. Ils ont revendiqué, dans cecontexte, la mise en place d'une commissionnationale élue par la base, qui auraprécisément pour mission d'amender lestextes et dispositions régissant le régime des pensions de retraite militaire. Ils ontégalement revendiqué l'amélioration de la prise en charge médicale ainsi que le droitau logement social. S'estimantparticulièrementlésés dans leurs droits, les retraités de l'Armée nationale populaire ont, parailleurs, réclamé la prise en considérationde leurs revendications visant l'améliorationde leurs conditions de vie et celles de leurs familles. Sur l'autoroute, le corps de sécurité a dressé de véritablesmurs quin'ont donné aucune chance aux anciens militaires de rejoindre la capitale. Unesituation qui a engendré des embouteillagesmonstres, laissant descentainesd'automobilistes à leur triste sort. Selon un journal électronique, dans la soiréed'hier (dimanche), "de violents affrontements ont opposé les forces de l'ordre etles manifestants à Haouch-Makhfi où campent les protestataires depuis plusieursjours. Des blessés ont étéenregistrés dans les deux camps". Ala surprise générale, toutes les entrées de la capitale étaient quadrillées,dès la matinée, par les forcesde l'ordre ayant empêché toute intrusion. Malgré le siège imposé, lesmanifestantsont réussi à passer les barrières des forcesantiémeutes de la gendarmerie, enpoursuivantleur marche de Haouch el-Makhfi àReghaïa jusqu'à Dar el-Beïda, provoquantainsi, le blocage de la circulation auniveau de l'autoroute reliant Alger à l'est du pays. Répondant à l'appel de leur coordinationnationale, ces centaines de personnes,issues de différentes wilayas dupays, parmi lesquels figuraient plusieurshandicapés et blessés, scandant des slogans tels que : "Non à la marginalisation!", "Nous sommes tous des Algériens !" ouencore "Où sont nos droits ?", paraissent déterminés et ne sont pas prêts àbaisserles bras jusqu'à satisfaction de leur plateformede revendications qui constitue, entre autres, la revalorisation, assortied'une procédure de rétroactivité, de leurpension de retraite qu'ils estimentnettementinsuffisante au regard du coûtactuelde la vie. Ils ont revendiqué, dans cecontexte, la mise en place d'une commissionnationale élue par la base, qui auraprécisément pour mission d'amender lestextes et dispositions régissant le régime des pensions de retraite militaire. Ils ontégalement revendiqué l'amélioration de la prise en charge médicale ainsi que le droitau logement social. S'estimantparticulièrementlésés dans leurs droits, les retraités de l'Armée nationale populaire ont, parailleurs, réclamé la prise en considérationde leurs revendications visant l'améliorationde leurs conditions de vie et celles de leurs familles. Sur l'autoroute, le corps de sécurité a dressé de véritablesmurs quin'ont donné aucune chance aux anciens militaires de rejoindre la capitale. Unesituation qui a engendré des embouteillagesmonstres, laissant descentainesd'automobilistes à leur triste sort. Selon un journal électronique, dans la soiréed'hier (dimanche), "de violents affrontements ont opposé les forces de l'ordre etles manifestants à Haouch-Makhfi où campent les protestataires depuis plusieursjours. Des blessés ont étéenregistrés dans les deux camps".