Sonatrach a quitté temporairement la Libye et y a suspendu ses activités, àcause de la détérioration des conditions desécurité, a rapporté The Libya Observer. Sonatrach a quitté temporairement la Libye et y a suspendu ses activités, àcause de la détérioration des conditions desécurité, a rapporté The Libya Observer. Après avoir évacué ses employés, la compagniepétrolière algérienne a "transportéses équipements du territoire libyen versl'Algérie, à travers le poste frontalier deGhadames", a précisé le journal anglophone.Sonatrach suspend ainsi son activitéen Libye, après y avoir achevé leforage de 7 puits de pétrole en partenariatavec la compagnie pétrolière nationalelibyenne, National Oil Corporation(NOC).La compagnie pétrolière algérienne estretournée en Libye en janvier 2012, soit quelques mois après la chute deMouammar Kadhafi, pour explorer le bloc 65 du bassin de Ghadames dont elle détient 25% du capital depuis 2005, selon le site spécialisé Oilprice.com. En 2018, Sonatrach et NOC ont signé un accord, pour exploiter conjointement deux champs pétrolifères, situés des deux côtés de la frontière et qui pourraient n'être en réalité, qu'un seul et même champ. La compagnie algérienne quitte la Libye "alors que la situation sécuritaire du pays se rapproche de la normalisation" et alors qu'il "y a eu moins de pannes dans leschamps, lors des trois ou quatre dernièresmois et que la production de pétrole augmentait régulièrement", note le journal spécialisé dans le marché du gaz et du pétrole. Malgré l'instabilité politique et une crise économique aiguë, la compagnie pétrolière libyenne a annoncé des objectifsambitieux. "Notre objectif est d'atteindre1,6 million de barils par jour d'ici la fin del'année prochaine, et ce chiffre peut augmenter à l'avenir", a déclaré en octobre, leprésident de la compagnie ,Mustapha Sanalla, à Bloomberg. Après avoir évacué ses employés, la compagniepétrolière algérienne a "transportéses équipements du territoire libyen versl'Algérie, à travers le poste frontalier deGhadames", a précisé le journal anglophone.Sonatrach suspend ainsi son activitéen Libye, après y avoir achevé leforage de 7 puits de pétrole en partenariatavec la compagnie pétrolière nationalelibyenne, National Oil Corporation(NOC).La compagnie pétrolière algérienne estretournée en Libye en janvier 2012, soit quelques mois après la chute deMouammar Kadhafi, pour explorer le bloc 65 du bassin de Ghadames dont elle détient 25% du capital depuis 2005, selon le site spécialisé Oilprice.com. En 2018, Sonatrach et NOC ont signé un accord, pour exploiter conjointement deux champs pétrolifères, situés des deux côtés de la frontière et qui pourraient n'être en réalité, qu'un seul et même champ. La compagnie algérienne quitte la Libye "alors que la situation sécuritaire du pays se rapproche de la normalisation" et alors qu'il "y a eu moins de pannes dans leschamps, lors des trois ou quatre dernièresmois et que la production de pétrole augmentait régulièrement", note le journal spécialisé dans le marché du gaz et du pétrole. Malgré l'instabilité politique et une crise économique aiguë, la compagnie pétrolière libyenne a annoncé des objectifsambitieux. "Notre objectif est d'atteindre1,6 million de barils par jour d'ici la fin del'année prochaine, et ce chiffre peut augmenter à l'avenir", a déclaré en octobre, leprésident de la compagnie ,Mustapha Sanalla, à Bloomberg.