Des jeunes et moins jeunes, des hommes, des femmes etdes enfants qui n'ont pas étégâtés par les circonstancesoccupent les artères et lesabribus pour se protéger des caprices de la Nature, en cette saison hivernale. Des jeunes et moins jeunes, des hommes, des femmes etdes enfants qui n'ont pas étégâtés par les circonstancesoccupent les artères et lesabribus pour se protéger des caprices de la Nature, en cette saison hivernale. ContenuTout le monde partage évidemment ! Cela part d'un bel élan. Un élan ducoeur. Un grand mouvement intérieur.Mais en réalité on se donneconscience et qu'on ne fait strictementrien. Car ces derniers, ce n'est pas des penséesdont ils ont besoin, mais de couvertureset d'endroits chauds pour dormir etmanger. Dans le monde moderne où nousvivons, l'individualisme bat son plein.Souvent, pour ne pas dire toujours, chacunde nous est livré seul à son sort. Toutle monde s'amuse et se disperse, tandis quenous subissons la dureté de la nature d'uncôté, et de l'autre, l'indifférence des nôtres.John Lennon n'avait pas tort quand il disait qu': "On ne peut être heureux que sitout le monde l'est". En effet, si l'hiverest un bon présage pour les récoltes agricoles et l'augmentation des niveaux deremplissage des barrages, ce n'est point lecas pour les sans-abri, victimes des vicissitudesde la vie, contraints, dans bien descas, à se retrouver seuls, loin de la chaleurfamiliale. Ils sont nombreux, en effet, àfaire face à la pluie, la neige, le froid et lesvents, chaque jour que Dieu fait. Des jeunes et moins jeunes, des hommes, desfemmes et des enfants qui n'ont pas étégâtés par les circonstances occupent lesartères et les abribus pour se protéger descaprices de la Nature, en cette saison hivernale. L'amertume, la souffrance, la -bataille des intestins vides - les accompagnentcomme leur ombre. Ils ne peuvent passer d'ailleurs inaperçus, où ils squattent le moindre espace fermé pour étaler un carton ou une vieille couverture pour se protéger d'un froid de canard qui malmène leurs frêles corps. Ils attendent avec impatience le passage des équipes du Samu social, du Croissant-Rouge ou encore ces bénévoles constitués en associations, venir leur tendre la main. Avec le recul, et sans remettre en cause les convictions et la volonté des uns et autres, on constate que l'aspect religieux prédomine celui desvaleurs humaines dans notre société. Ajuste titre, des restaurants - rahma ou solidarité - sont ouverts chaque mois de Ramadhan, au profit des démunis et dessans-abri. En cette période, la solidarité va crescendo ! Et pourquoi pas en cette période cruciale ? Les efforts consentis cependant, pour faire oublier à cette population leur détresse demeure insuffisant, en dépit de la bonne volonté de ces associations caritatives et des pouvoirs publics ou encore le Croissant-Rouge face au refusde ces derniers d'aller dans des centres d'accueil d'une part, et le nombre important de ces personnes qui augmente à chaque fois. Mais en attendant l'éveil des consciences, surtout de ceux qui ne sont pas dans le besoins, tels que les industrielles, commerçants, les stars dans tout les domaines et autres et qui peut être ne payent même pas le fisc, réapprenne àredevenir humain, ces étudiants,employés, des femmes aux foyers, aux grands coeurs, assurent cette noble mission,pour mettre un peu de baume dans les coeurs de cette population fragile.Sachant que personne n'est à l'abri d'un tel… ContenuTout le monde partage évidemment ! Cela part d'un bel élan. Un élan ducoeur. Un grand mouvement intérieur.Mais en réalité on se donneconscience et qu'on ne fait strictementrien. Car ces derniers, ce n'est pas des penséesdont ils ont besoin, mais de couvertureset d'endroits chauds pour dormir etmanger. Dans le monde moderne où nousvivons, l'individualisme bat son plein.Souvent, pour ne pas dire toujours, chacunde nous est livré seul à son sort. Toutle monde s'amuse et se disperse, tandis quenous subissons la dureté de la nature d'uncôté, et de l'autre, l'indifférence des nôtres.John Lennon n'avait pas tort quand il disait qu': "On ne peut être heureux que sitout le monde l'est". En effet, si l'hiverest un bon présage pour les récoltes agricoles et l'augmentation des niveaux deremplissage des barrages, ce n'est point lecas pour les sans-abri, victimes des vicissitudesde la vie, contraints, dans bien descas, à se retrouver seuls, loin de la chaleurfamiliale. Ils sont nombreux, en effet, àfaire face à la pluie, la neige, le froid et lesvents, chaque jour que Dieu fait. Des jeunes et moins jeunes, des hommes, desfemmes et des enfants qui n'ont pas étégâtés par les circonstances occupent lesartères et les abribus pour se protéger descaprices de la Nature, en cette saison hivernale. L'amertume, la souffrance, la -bataille des intestins vides - les accompagnentcomme leur ombre. Ils ne peuvent passer d'ailleurs inaperçus, où ils squattent le moindre espace fermé pour étaler un carton ou une vieille couverture pour se protéger d'un froid de canard qui malmène leurs frêles corps. Ils attendent avec impatience le passage des équipes du Samu social, du Croissant-Rouge ou encore ces bénévoles constitués en associations, venir leur tendre la main. Avec le recul, et sans remettre en cause les convictions et la volonté des uns et autres, on constate que l'aspect religieux prédomine celui desvaleurs humaines dans notre société. Ajuste titre, des restaurants - rahma ou solidarité - sont ouverts chaque mois de Ramadhan, au profit des démunis et dessans-abri. En cette période, la solidarité va crescendo ! Et pourquoi pas en cette période cruciale ? Les efforts consentis cependant, pour faire oublier à cette population leur détresse demeure insuffisant, en dépit de la bonne volonté de ces associations caritatives et des pouvoirs publics ou encore le Croissant-Rouge face au refusde ces derniers d'aller dans des centres d'accueil d'une part, et le nombre important de ces personnes qui augmente à chaque fois. Mais en attendant l'éveil des consciences, surtout de ceux qui ne sont pas dans le besoins, tels que les industrielles, commerçants, les stars dans tout les domaines et autres et qui peut être ne payent même pas le fisc, réapprenne àredevenir humain, ces étudiants,employés, des femmes aux foyers, aux grands coeurs, assurent cette noble mission,pour mettre un peu de baume dans les coeurs de cette population fragile.Sachant que personne n'est à l'abri d'un tel…