ContenuTout le monde connait les pénuries de lait qui frappent le marché périodiquement.Tensions entre producteurs, fournisseurs et autres problèmes d'ordreorganisationnel,souvent, incompréhensibles d'ailleurs. ContenuTout le monde connait les pénuries de lait qui frappent le marché périodiquement.Tensions entre producteurs, fournisseurs et autres problèmes d'ordreorganisationnel,souvent, incompréhensibles d'ailleurs. Pour autant, une nouvelle raisonfait son apparition cette année.Elle fait suite à la décision desautorités,d'interdire aux commerçants d'exposerleurs produits à l'extérieur de leurs établissements.Une décision aux intentionslouables . Pourtant…Problème : les marges sur le lait sont trèsmaigres, alors que le produit, lui, est trèsvolumineux et nécessite beaucoup d'espace. La solution, pour beaucoup decommerçants, est tout simplement de neplus le vendre.Rien que pour la Capitale, 20% des commerçants,soit un sur cinq, refusent toutsimplement de le proposer à la vente.C'est ce qu'a avancé hier, comme chiffre,le président de l'Association de protectiondu consommateur (APOCE). Unesituation qui n'a, sans doute, pas étéprévue lors de la mise en oeuvre de ladémarche. Bien que l'intention est, évidemment,louable, fort est de constater qu'elle pèche, ne serait-ce que par un manquedeconnaissances des réalités du terrain etd'anticipation sur les conséquences d'unetelle mesure, aussi louable soit-elle.Pour Mustapha Zebdi : "c'est une décisioncorrecte et bénéfique pour leconsommateur. Mais, il faut tenircompte de la réalité du terrain". Et d'ajouter que cette situation, si ellen'est pasmieux réfléchie, "risque de créer une pénurie de lait et revoir la résurgence de lavente par les distributeurs dans leurs camions". Pour autant, une nouvelle raisonfait son apparition cette année.Elle fait suite à la décision desautorités,d'interdire aux commerçants d'exposerleurs produits à l'extérieur de leurs établissements.Une décision aux intentionslouables . Pourtant…Problème : les marges sur le lait sont trèsmaigres, alors que le produit, lui, est trèsvolumineux et nécessite beaucoup d'espace. La solution, pour beaucoup decommerçants, est tout simplement de neplus le vendre.Rien que pour la Capitale, 20% des commerçants,soit un sur cinq, refusent toutsimplement de le proposer à la vente.C'est ce qu'a avancé hier, comme chiffre,le président de l'Association de protectiondu consommateur (APOCE). Unesituation qui n'a, sans doute, pas étéprévue lors de la mise en oeuvre de ladémarche. Bien que l'intention est, évidemment,louable, fort est de constater qu'elle pèche, ne serait-ce que par un manquedeconnaissances des réalités du terrain etd'anticipation sur les conséquences d'unetelle mesure, aussi louable soit-elle.Pour Mustapha Zebdi : "c'est une décisioncorrecte et bénéfique pour leconsommateur. Mais, il faut tenircompte de la réalité du terrain". Et d'ajouter que cette situation, si ellen'est pasmieux réfléchie, "risque de créer une pénurie de lait et revoir la résurgence de lavente par les distributeurs dans leurs camions".