La journée d'hier a connu aussi de nombreuses manifestationsde lycéens. Ces dernierssont sortis en masse,dès les premières heures de lamatinée. La journée d'hier a connu aussi de nombreuses manifestationsde lycéens. Ces dernierssont sortis en masse,dès les premières heures de lamatinée. Dans toutes lesvilles du pays, c'était lemême constat. Les lycéens, àtravers les réseaux sociaux, sesont donnés le mot pour sortirmanifester. A Alger, ils sesont rassemblés à la Grandeposte et à la place Audin, sous l'oeil vigilant des forcesde l'ordre qui ont déployé undispositif de sécurité, pour parer à toute éventualité. A l'evidence, cette manifestationn'a pas été du goût de laministre de l'Education nationale,Nouria Benghabrit. "Aujourd'hui, des élèves sontsortis dans la rue, c'est dangereux!", a écrit la ministredans un communiqué, publiésur son compte Twitter. "Nous avons tous le devoirmoral, l'obligation institutionnelle,et la responsabilité historique, de protéger notreécole, donc de protéger nosélèves, de protéger nosenfants", a estimé la ministredans son message. "L'école, parce que gratuite et obligatoire, est l'école du peuple. Préservons-là, ensemble, de tout acte voulu ou non voulu de surpolitisation et de l'instrumentalisation", a affirmé Mme. Benghabrit, Dans toutes lesvilles du pays, c'était lemême constat. Les lycéens, àtravers les réseaux sociaux, sesont donnés le mot pour sortirmanifester. A Alger, ils sesont rassemblés à la Grandeposte et à la place Audin, sous l'oeil vigilant des forcesde l'ordre qui ont déployé undispositif de sécurité, pour parer à toute éventualité. A l'evidence, cette manifestationn'a pas été du goût de laministre de l'Education nationale,Nouria Benghabrit. "Aujourd'hui, des élèves sontsortis dans la rue, c'est dangereux!", a écrit la ministredans un communiqué, publiésur son compte Twitter. "Nous avons tous le devoirmoral, l'obligation institutionnelle,et la responsabilité historique, de protéger notreécole, donc de protéger nosélèves, de protéger nosenfants", a estimé la ministredans son message. "L'école, parce que gratuite et obligatoire, est l'école du peuple. Préservons-là, ensemble, de tout acte voulu ou non voulu de surpolitisation et de l'instrumentalisation", a affirmé Mme. Benghabrit,