Les étudiants ont une nouvelle fois manifesté hier. Dans toutes les universités dupays, pratiquement, des milliers d'étudiantsont investi les campus et ont par la suite, organisé des marches et des rassemblementsdans de nombreuses villes dupays, où ils ont sillonné les rues dans lecalme. Les étudiants ont une nouvelle fois manifesté hier. Dans toutes les universités dupays, pratiquement, des milliers d'étudiantsont investi les campus et ont par la suite, organisé des marches et des rassemblementsdans de nombreuses villes dupays, où ils ont sillonné les rues dans lecalme. Ces manifestations ont été, commeles précédentes c'est-à-dire celles organiséesles 26 février et le 3 mars derniers,pacifiques et se sont déroulées dans dansune ambiance bon enfant. De nombreuxslogans ont été scandés par les étudiantsqui ont notamment revendiqué le changementen demandant au présidentBouteflika de renoncer à briguer un nouveaumandat lors des élections présidentiellesqui auront lieu, pour rappel, le 18avril prochain. Dans la capitale, les étudiantsdes différentes universités ontconvergé vers le centre ville, dès la matinéed'hier. De l'université des sciences ettechnologie Houari Boumediene de(USTHB) Bab Ezzouar et de toutes lesfacultés de la capitale, des milliers d'étudiants,auxquels se sont joints des lycéens,munis de l'emblème national, se sont rassemblésà la place Audin et la Grandeposte, sous l'oeil des forces de l'ordre qui ont déployé un important dispositif de sécurité. C'est le même scénario à Constantine où des milliers d'étudiants de l'université des frères Mentouri 1 se sont mobilisés dès les premières heurs de la matinée, pour exprimer leur opposition à la candidature du président Bouteflika. -Et malgré le cordon de sécurité, les étudiants ont réussi à rallier le centre ville, où ils ont défilé dans le calme de manière pacifique et dans une ambiance festive. C'était le même cas à Tizi- Ouzou, à Bejaia et Bouira et Boumeredès, où des milliers d'étudiants ont battu le pavé. A Annaba, les étudiants se sont rassemblés au Cours de la révolution au centre ville. A Oran aussi, comme dans les autres universités de l'ouest, les étudiants ont manifesté dans les campus, et ont aussi organisé des marches pacifiques. Les étudiants ont, un peu partout, insisté sur la nécessité demaintenir le caractère pacifique du mouvement, en scandant "silmia,silmlia". Il est à noter, que la plupart des étudiants étaient drapésde l'emblème national. Ces manifestations ont été, commeles précédentes c'est-à-dire celles organiséesles 26 février et le 3 mars derniers,pacifiques et se sont déroulées dans dansune ambiance bon enfant. De nombreuxslogans ont été scandés par les étudiantsqui ont notamment revendiqué le changementen demandant au présidentBouteflika de renoncer à briguer un nouveaumandat lors des élections présidentiellesqui auront lieu, pour rappel, le 18avril prochain. Dans la capitale, les étudiantsdes différentes universités ontconvergé vers le centre ville, dès la matinéed'hier. De l'université des sciences ettechnologie Houari Boumediene de(USTHB) Bab Ezzouar et de toutes lesfacultés de la capitale, des milliers d'étudiants,auxquels se sont joints des lycéens,munis de l'emblème national, se sont rassemblésà la place Audin et la Grandeposte, sous l'oeil des forces de l'ordre qui ont déployé un important dispositif de sécurité. C'est le même scénario à Constantine où des milliers d'étudiants de l'université des frères Mentouri 1 se sont mobilisés dès les premières heurs de la matinée, pour exprimer leur opposition à la candidature du président Bouteflika. -Et malgré le cordon de sécurité, les étudiants ont réussi à rallier le centre ville, où ils ont défilé dans le calme de manière pacifique et dans une ambiance festive. C'était le même cas à Tizi- Ouzou, à Bejaia et Bouira et Boumeredès, où des milliers d'étudiants ont battu le pavé. A Annaba, les étudiants se sont rassemblés au Cours de la révolution au centre ville. A Oran aussi, comme dans les autres universités de l'ouest, les étudiants ont manifesté dans les campus, et ont aussi organisé des marches pacifiques. Les étudiants ont, un peu partout, insisté sur la nécessité demaintenir le caractère pacifique du mouvement, en scandant "silmia,silmlia". Il est à noter, que la plupart des étudiants étaient drapésde l'emblème national.