La note du contrôle continu sera prise en compte dansl'examen du Baccalauréat àpartir de l'année prochaine(Bac 2020), a annoncé hier, laministre de l'éducationnationale, Nouria Benghabrit. La note du contrôle continu sera prise en compte dansl'examen du Baccalauréat àpartir de l'année prochaine(Bac 2020), a annoncé hier, laministre de l'éducationnationale, Nouria Benghabrit. La note du contrôle continu sera prise en compte dans l'examen du Baccalauréat à partir de l'année prochaine (Bac 2020) a annoncé hier, laministre del'Education nationale, NouriaBenghabrit. En visite de travail ce lundi,la ministre Nouria Benghabrit affirmequ'aucun changement ne sera apporté àl'examen du Bac de cette année, cependant, l'année prochaine verra l'introduction dela note de contrôle continu. Cette note,destinée à aider les candidats scolarisé, seracomptabilisée depuis la deuxième annéesecondaire, de manière à motiver les apprenants à être assidus et à préparer leurexamen final dès la 2e année secondaire. Remédiation pédagogique : les syndicats en colère Les Syndicats autonomes de l'Education rejettent en bloc la proposition de laministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, liée à la remédiation pédagogiqueles samedis et mardis aprèsmidi auprofit des élèves de la première et la deuxième année primaire et ceux de la première année moyenne en difficulté d'assimilationdes cours. Invités à donner leurs avis sur cette instruction engagée par latutelle, les Syndicats autonomes ont exprimé leur refus catégorique, la qualifiant"d'unilatérale et pédagogiquementinapplicable". Et pour cause, le volume de travail et d'apprentissage a été défini etétudié au préalable par la loi. C'est le cas du Cnapeste, qui a estimé par le biais deson chargé de communication que, la décision, du ministère ne résoudra pas les problèmesde l'école. "Nous la rejetons carelle vient au détriment du repos des enseignantset des élèves. C'est une décisionincohérente et mal fondée", a-t-il précisé.Pour lui, les faiblesses enmatièred'assimilation des connaissances et dessavoirs scolaires sont des aspects qu'il faut étudieren profondeur et y remédier, en associant enseignants, pédagogues, parents d'élèves. Pour sa part, le secrétaire généraldu Conseil des enseignants deslycéesd'Algérie (Cla) a qualifié la décision du ministère de "non-sens ur le plan pédagogique et inapplicable" sur le terrain. "Nous sommes en train de sanctionner nos enfants en leur ôtant le droit aux activités ludiques susceptibles de développer leur créativité et leur imagination", aindiquéAchour Idir. Autre problème selon leCla : le ministère n'a pas précisé commentcette remédiation sera mise en place et surtout par qui. "Ce type d'activité nécessite un accompagnementpédagogique.Faut-il recruter de nouveaux enseignantsou seulement se contenter de renforcerles effectifs en place ? Ces derniers seront-ils rémunérés ? C'est autant de questions qui restent sans réponses", a regretté Achour Idir. Le secrétaire généraldu Satef a affirmé que "vouloir sacrifierles samedis et les mardis après-midi estune décision irréfléchie et mal exposée". En outre, Amoura affirme que"l'application de cette décision relève du domaine del'impossible à cause d'un volume horairesurchargé et d'un manque de motivation chez les enseignants qui peinent à terminerle programme à temps". Parailleurs,leSGdu Satef ne comprend pas l'exclusion de la première année secondaire de la remédiation pédagogique. "C'est là que lebât blesse d'autant que le taux de redoublementpar année est de 30 %", a-t-il alerté. La note du contrôle continu sera prise en compte dans l'examen du Baccalauréat à partir de l'année prochaine (Bac 2020) a annoncé hier, laministre del'Education nationale, NouriaBenghabrit. En visite de travail ce lundi,la ministre Nouria Benghabrit affirmequ'aucun changement ne sera apporté àl'examen du Bac de cette année, cependant, l'année prochaine verra l'introduction dela note de contrôle continu. Cette note,destinée à aider les candidats scolarisé, seracomptabilisée depuis la deuxième annéesecondaire, de manière à motiver les apprenants à être assidus et à préparer leurexamen final dès la 2e année secondaire. Remédiation pédagogique : les syndicats en colère Les Syndicats autonomes de l'Education rejettent en bloc la proposition de laministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, liée à la remédiation pédagogiqueles samedis et mardis aprèsmidi auprofit des élèves de la première et la deuxième année primaire et ceux de la première année moyenne en difficulté d'assimilationdes cours. Invités à donner leurs avis sur cette instruction engagée par latutelle, les Syndicats autonomes ont exprimé leur refus catégorique, la qualifiant"d'unilatérale et pédagogiquementinapplicable". Et pour cause, le volume de travail et d'apprentissage a été défini etétudié au préalable par la loi. C'est le cas du Cnapeste, qui a estimé par le biais deson chargé de communication que, la décision, du ministère ne résoudra pas les problèmesde l'école. "Nous la rejetons carelle vient au détriment du repos des enseignantset des élèves. C'est une décisionincohérente et mal fondée", a-t-il précisé.Pour lui, les faiblesses enmatièred'assimilation des connaissances et dessavoirs scolaires sont des aspects qu'il faut étudieren profondeur et y remédier, en associant enseignants, pédagogues, parents d'élèves. Pour sa part, le secrétaire généraldu Conseil des enseignants deslycéesd'Algérie (Cla) a qualifié la décision du ministère de "non-sens ur le plan pédagogique et inapplicable" sur le terrain. "Nous sommes en train de sanctionner nos enfants en leur ôtant le droit aux activités ludiques susceptibles de développer leur créativité et leur imagination", aindiquéAchour Idir. Autre problème selon leCla : le ministère n'a pas précisé commentcette remédiation sera mise en place et surtout par qui. "Ce type d'activité nécessite un accompagnementpédagogique.Faut-il recruter de nouveaux enseignantsou seulement se contenter de renforcerles effectifs en place ? Ces derniers seront-ils rémunérés ? C'est autant de questions qui restent sans réponses", a regretté Achour Idir. Le secrétaire généraldu Satef a affirmé que "vouloir sacrifierles samedis et les mardis après-midi estune décision irréfléchie et mal exposée". En outre, Amoura affirme que"l'application de cette décision relève du domaine del'impossible à cause d'un volume horairesurchargé et d'un manque de motivation chez les enseignants qui peinent à terminerle programme à temps". Parailleurs,leSGdu Satef ne comprend pas l'exclusion de la première année secondaire de la remédiation pédagogique. "C'est là que lebât blesse d'autant que le taux de redoublementpar année est de 30 %", a-t-il alerté.