au Palais des sports devant des milliers de militants des partis de la coalition au pouvoir.Plusieurs fois ministre, MohamedBazoum est un proche du présidentIssoufou - au Palais des sports devant des milliers de militants des partis de la coalition au pouvoir.Plusieurs fois ministre, MohamedBazoum est un proche du présidentIssoufou - qui arrive au terme de sonsecond et dernier mandat au vu de laConstitution. Initialement prévue l'année prochaine, un an avant la présidentielle,l'investiture a été avancée d'un an, au vudes tiraillements internes.Cela fait des mois que la pression montaitau sein du parti présidentiel, le PNDS.Mais la guerre de leadership ne s'est manifestéeau grand jour que fin janvier 2019,avec le limogeage de HassoumiMassaoudou. Le tout puissant ministredes Finances, secrétaire général du parti, aété, dit-on en coulisses, sanctionné pouravoir commencé à promouvoir sa candidature,en sourdine, dans sa région natale de Dosso. Et ce, sans l'aval des instances du parti et du président. Or Mahamadou Issoufou a fait son choix depuis plusieurs mois : ce sera Mohamed Bazoum, compagnon de lutte et co-fondateur du PNDS. Le parti lui doit beaucoup explique un ancien cadre du parti, qui ajoute que sans lui le PNDS n'aurait pas connu le même essor. Ses réseaux ont fait de lui une des personnalités nigériennes les plus influentes,même si ses détracteurs au sein de la société civile pointent ses dérives autoritaires. Très bon orateur, il a aussi su défendre avec verve les intérêts du Niger à l'étranger quand il était ministre des Affaires étrangères. Nommé ministre de l'Intérieur en 2016, "Bazoum", comme il est surnommé, a soutenu Mahamadou Issoufou dans tous les moments clés de sa carrière politique. Et le chef de l'Etat lui confie aujourd'hui les clés du PNDS pour 2021. Dans la mesure où telle est votre volonté et dans la mesure où tel est mon destin, jevais l'assumer : je resterai toujours conf rme à l'idée que vous avez de moi qui arrive au terme de sonsecond et dernier mandat au vu de laConstitution. Initialement prévue l'année prochaine, un an avant la présidentielle,l'investiture a été avancée d'un an, au vudes tiraillements internes.Cela fait des mois que la pression montaitau sein du parti présidentiel, le PNDS.Mais la guerre de leadership ne s'est manifestéeau grand jour que fin janvier 2019,avec le limogeage de HassoumiMassaoudou. Le tout puissant ministredes Finances, secrétaire général du parti, aété, dit-on en coulisses, sanctionné pouravoir commencé à promouvoir sa candidature,en sourdine, dans sa région natale de Dosso. Et ce, sans l'aval des instances du parti et du président. Or Mahamadou Issoufou a fait son choix depuis plusieurs mois : ce sera Mohamed Bazoum, compagnon de lutte et co-fondateur du PNDS. Le parti lui doit beaucoup explique un ancien cadre du parti, qui ajoute que sans lui le PNDS n'aurait pas connu le même essor. Ses réseaux ont fait de lui une des personnalités nigériennes les plus influentes,même si ses détracteurs au sein de la société civile pointent ses dérives autoritaires. Très bon orateur, il a aussi su défendre avec verve les intérêts du Niger à l'étranger quand il était ministre des Affaires étrangères. Nommé ministre de l'Intérieur en 2016, "Bazoum", comme il est surnommé, a soutenu Mahamadou Issoufou dans tous les moments clés de sa carrière politique. Et le chef de l'Etat lui confie aujourd'hui les clés du PNDS pour 2021. Dans la mesure où telle est votre volonté et dans la mesure où tel est mon destin, jevais l'assumer : je resterai toujours conf rme à l'idée que vous avez de moi