A l'issue d'une journée électorale qui s'est déroulée dans le calme,les Panaméens ont dû attendre plusieursheures avant de connaître A l'issue d'une journée électorale qui s'est déroulée dans le calme,les Panaméens ont dû attendre plusieursheures avant de connaître lenom de leur nouveau président :Laurentino Cortizo. Le candidat du Parti révolutionnaire démocratique (PRD), l'a emporté dans un mouchoir de poche : il a obtenu 33 %des voix, devançant de peu son concurrent direct, le candidat dedroite Romulo Roux. Une fois encore, la majorité des électeurs ,anaméens, qui se sont rendus massivement aux urnes, ont donné leurs voix aux partis traditionnels. Néanmoins, le candidat indépendant, Ricardo Lombana est arrivé en troisième position avec près de 20 % des suffrages. Le nouveau chef de l'Etat, qui a été ministre de l'Agriculture, devra aussi améliorer l'image du pays, ternie par le scandale des - Panama Papers -. Un scandale qui, en 2016,a mis au jour les mécanismes existants dans le pays pour favoriser l'évasion fiscale grâce à des sociétésécrans. Et même si le Panama n'est plus sur la liste noire des paradis fiscaux, cette mauvaise réputation lui colle à la peau. D'oùla volonté affichée par - Nito -Cortizo de désormais restaurer le nom du Panama sur la scène internationale. Agences lenom de leur nouveau président :Laurentino Cortizo. Le candidat du Parti révolutionnaire démocratique (PRD), l'a emporté dans un mouchoir de poche : il a obtenu 33 %des voix, devançant de peu son concurrent direct, le candidat dedroite Romulo Roux. Une fois encore, la majorité des électeurs ,anaméens, qui se sont rendus massivement aux urnes, ont donné leurs voix aux partis traditionnels. Néanmoins, le candidat indépendant, Ricardo Lombana est arrivé en troisième position avec près de 20 % des suffrages. Le nouveau chef de l'Etat, qui a été ministre de l'Agriculture, devra aussi améliorer l'image du pays, ternie par le scandale des - Panama Papers -. Un scandale qui, en 2016,a mis au jour les mécanismes existants dans le pays pour favoriser l'évasion fiscale grâce à des sociétésécrans. Et même si le Panama n'est plus sur la liste noire des paradis fiscaux, cette mauvaise réputation lui colle à la peau. D'oùla volonté affichée par - Nito -Cortizo de désormais restaurer le nom du Panama sur la scène internationale. Agences