Les forces démocratiques, qui se sont rencontrées hier au siège national du RCD, ont décidé de préparer une conférence nationale pour tenter de fédérer les forces vives de la nation afin de trouver une solution à la crise actuelle. Les forces démocratiques, qui se sont rencontrées hier au siège national du RCD, ont décidé de préparer une conférence nationale pour tenter de fédérer les forces vives de la nation afin de trouver une solution à la crise actuelle. Les initiateurs de cette démarche, à savoir sept partis politiques et deux personnalités, veulent ainsi passer à l'étape supérieure en matière de concertation afin de rassembler le gros des forces qui militent pour un changement démocratique radical. Outre le RCD, le FFS, le MDS, le PST, l'UCP, le PT et le PLD, des syndicats, des associations, telles que RAJ et la LADDH, ont participé à cette rencontre des démocrates. Djamel Zenati, Lakhdar Bouregaâ et Abdelaziz Rahabi ont pris la parole. Tous les participants ont insisté sur l'impérieuse nécessité de rassembler toutes les forces progressistes avant d'aller vers une rencontre nationale avec l'ensemble des forces politiques du pays. L'objectif est de dégager une sortie de crise consensuelle qui permettrait d'instaurer le premier Etat démocratique de l'Algérie indépendante. Il est ainsi convenu d'organiser une autre rencontre élargie aux forces du changement, organisée autour d'Ali Benflis pour se concerter encore davantage. La prochaine réunion des forces de l'alternative démocratique est annoncée pour le 6 juillet. Dans un précédent appel, les forces de l'alternative démocratique avaient relevé l'indisposition du pouvoir en place à "saisir le sens profond de cet événement sans précédent depuis l'indépendance. Il persévère obstinément dans le déni de la réalité et a fait le choix du pourrissement et la manipulation. Le rassemblement des forces de l'alternative démocratique est le seul à même de traduire fidèlement cette profonde aspiration populaire", assurent ces forces, estimant qu'"il est vain de croire à l'existence d'une issue positive à ce conflit dans le cadre de l'ordre actuel. Ni le pouvoir ni ses diverses excroissances ne sont en mesure de constituer un recours". Pourtant, "le sursaut citoyen, de par son caractère pacifique et massif, est une chance pour le pays. C'est une force capable d'engager le pays dans la voie de la souveraineté populaire, de la modernité et du progrès". Pour ces forces démocratiques, "la transition démocratique n'est pas un choix. Elle est de l'ordre de la nécessité . Aujourd'hui, l'urgence est d'élaborer une solution politique ambitieuse, raisonnable et réalisable, loin des règlements de comptes et des calculs étroits". Les initiateurs de cette démarche, à savoir sept partis politiques et deux personnalités, veulent ainsi passer à l'étape supérieure en matière de concertation afin de rassembler le gros des forces qui militent pour un changement démocratique radical. Outre le RCD, le FFS, le MDS, le PST, l'UCP, le PT et le PLD, des syndicats, des associations, telles que RAJ et la LADDH, ont participé à cette rencontre des démocrates. Djamel Zenati, Lakhdar Bouregaâ et Abdelaziz Rahabi ont pris la parole. Tous les participants ont insisté sur l'impérieuse nécessité de rassembler toutes les forces progressistes avant d'aller vers une rencontre nationale avec l'ensemble des forces politiques du pays. L'objectif est de dégager une sortie de crise consensuelle qui permettrait d'instaurer le premier Etat démocratique de l'Algérie indépendante. Il est ainsi convenu d'organiser une autre rencontre élargie aux forces du changement, organisée autour d'Ali Benflis pour se concerter encore davantage. La prochaine réunion des forces de l'alternative démocratique est annoncée pour le 6 juillet. Dans un précédent appel, les forces de l'alternative démocratique avaient relevé l'indisposition du pouvoir en place à "saisir le sens profond de cet événement sans précédent depuis l'indépendance. Il persévère obstinément dans le déni de la réalité et a fait le choix du pourrissement et la manipulation. Le rassemblement des forces de l'alternative démocratique est le seul à même de traduire fidèlement cette profonde aspiration populaire", assurent ces forces, estimant qu'"il est vain de croire à l'existence d'une issue positive à ce conflit dans le cadre de l'ordre actuel. Ni le pouvoir ni ses diverses excroissances ne sont en mesure de constituer un recours". Pourtant, "le sursaut citoyen, de par son caractère pacifique et massif, est une chance pour le pays. C'est une force capable d'engager le pays dans la voie de la souveraineté populaire, de la modernité et du progrès". Pour ces forces démocratiques, "la transition démocratique n'est pas un choix. Elle est de l'ordre de la nécessité . Aujourd'hui, l'urgence est d'élaborer une solution politique ambitieuse, raisonnable et réalisable, loin des règlements de comptes et des calculs étroits".