Les Verts remportent leur deuxième titre continental, en battantles Lions de la Terrangas (0-1), au terme d'une finale àsuspense, disputée hier au stade international du Caire, enEgypte. Les Verts remportent leur deuxième titre continental, en battantles Lions de la Terrangas (0-1), au terme d'une finale àsuspense, disputée hier au stade international du Caire, enEgypte. Les deux équipes n'ont pas observé le round d'observation.D'entrée de jeu, les Sénégalais ont tenté d'impressionner lesAlgériens, mais sans aucun danger. A la 2e minute de jeu, sur leur première montée, les Algériens trouvent la faille ! C'estBounedjah, lancé côté gauche, qui décoche une frappe contrée,le cuir prend une trajectoire totalement improbable et lobemagistralement le portier sénégalais Gomis !Les Sénégalais sont sonnés, se font bouger dans l'entrejeu etcherchent les erreurs dans la surface. C'est ce qu'ils ont eu pendant le premier quart d'heure. Au moins trois balles arrêtées,mal exploitées par Gassama et ses coéquipiers.Le Sénégal est pour l'instant battu dans lesduels.Les Lions de la Teranga essayent de reprendreconfiance, en faisant tourner le ballon. Lestransmissions sont trop lentes, devant un milieude terrain algérien bien en place. Le rythme du match a baissé, après un premier quart d'heure complètement fou. Les hommes d'Aliou Cissé essayent de repartir de l'arrière, mais ils confondent entre vitesse et précipitation. 28' minute, la faute de Benlamri sur Mané, à quelques 27 mètres des buts gardés par Mbolhi. C'est une frappe directe par Saivet, mais Rais était comme d'habitude à la parade. Surpris dès la deuxième minute de jeu, les Sénégalais n'avait pas de choix que de réagir. À la 37' minute, superbe contrôle et frappe enchaînée de Niang, qui passe légèrement audessus de la barre. Les coéquipiers de Kouyaté accentuent leur pressing, dans l'espoir de rendre les pendules à l'heure, mais le score reste inchangé dans le tableau d'affichage. Il y a lieu de signaler, que les Algériens ont subi la dernière demi-heure de la première mi-temps, que les coéquipiers de Benlameri veulent terminer coûte que coûte à leur avantage. Une première mi-temps marquée par un engagement physique sur le terrain, ce qui a rendu le match difficile. De retour des vestiaires, ce sont les Sénégalais qui débutent bien. Les coéquipiers de Mané veulent revenir dans le score, dans le premier quart d'heure. À la 62' minute, l'homme en noir, le Camerounais Aliou Aliou, a sifflé un penalty, mais il a été contredit par le VAR. la main de Guedioura était collée à soncorps. Le pressing Sénégalais se poursuit et le danger est toujours dans le camp algérien. À la 67' minute, encore une grosse opportunité pour le Sénégal ! C'est Niang qui dribble le gardien, mais ne parvient pas à redresser sa frappe ! Les Lions poussent encore mais, pour l'instant, l'arrière-garde algérienne tient le coup. Djamel Belmadi sent très bien que son équipe est en difficulté,et qu'elle peut concéder l'égalisation à tout moment. Les coéquipiers de Mahrez ne font que pousser le ballon. Le coach algérien procède à un premier changement, en incorporant Yacine Brahimi à la place de Belaili, alors que Tahrat remplace Feghouli. C'est sur ce score d'un but à zéro au profit de l'Algérie, que l'arbitre camerounais Aliou Aliou met fin aux débats entre les deux sélections, annonçant le Sacre final des Verts. Vingt-neuf ans après le premier titre, la sélection algérienne de football surfe sur la vague de la gagne. En effet, les Verts, sous la houlette du technicien algérien Djamel Belmadi, ont brillamment décroché leur deuxième étoile africaine, et brisent ainsi le signe indien qui les guettent depuis presque trente années. LesVerts, que personne ne misait un centime à ce stade de la compétition, ont réalisé un parcours impressionnant, avec une série de victoires, éliminant au passage, la Côte d'Ivoire et le Nigeria, deux gros calibres du football africain. Le mérite revient surtout à l'entraineur Djamel Belmadi qui, en moins d'un an, a fait ce que les successeurs de Vahid Halilhodzic, huitième de finaliste de la Coupe du Monde 2014, n'avaient pas pu faire. Pendant ce laps de temps, l'ancien international algérien est parvenu à faire adhérer tout le monde à son projet. Les protégés de Djamel Belmadi ont écrit ce soir, en lettre d'or, des plus belles pages de l'histoire du football algérien. Les deux équipes n'ont pas observé le round d'observation.D'entrée de jeu, les Sénégalais ont tenté d'impressionner lesAlgériens, mais sans aucun danger. A la 2e minute de jeu, sur leur première montée, les Algériens trouvent la faille ! C'estBounedjah, lancé côté gauche, qui décoche une frappe contrée,le cuir prend une trajectoire totalement improbable et lobemagistralement le portier sénégalais Gomis !Les Sénégalais sont sonnés, se font bouger dans l'entrejeu etcherchent les erreurs dans la surface. C'est ce qu'ils ont eu pendant le premier quart d'heure. Au moins trois balles arrêtées,mal exploitées par Gassama et ses coéquipiers.Le Sénégal est pour l'instant battu dans lesduels.Les Lions de la Teranga essayent de reprendreconfiance, en faisant tourner le ballon. Lestransmissions sont trop lentes, devant un milieude terrain algérien bien en place. Le rythme du match a baissé, après un premier quart d'heure complètement fou. Les hommes d'Aliou Cissé essayent de repartir de l'arrière, mais ils confondent entre vitesse et précipitation. 28' minute, la faute de Benlamri sur Mané, à quelques 27 mètres des buts gardés par Mbolhi. C'est une frappe directe par Saivet, mais Rais était comme d'habitude à la parade. Surpris dès la deuxième minute de jeu, les Sénégalais n'avait pas de choix que de réagir. À la 37' minute, superbe contrôle et frappe enchaînée de Niang, qui passe légèrement audessus de la barre. Les coéquipiers de Kouyaté accentuent leur pressing, dans l'espoir de rendre les pendules à l'heure, mais le score reste inchangé dans le tableau d'affichage. Il y a lieu de signaler, que les Algériens ont subi la dernière demi-heure de la première mi-temps, que les coéquipiers de Benlameri veulent terminer coûte que coûte à leur avantage. Une première mi-temps marquée par un engagement physique sur le terrain, ce qui a rendu le match difficile. De retour des vestiaires, ce sont les Sénégalais qui débutent bien. Les coéquipiers de Mané veulent revenir dans le score, dans le premier quart d'heure. À la 62' minute, l'homme en noir, le Camerounais Aliou Aliou, a sifflé un penalty, mais il a été contredit par le VAR. la main de Guedioura était collée à soncorps. Le pressing Sénégalais se poursuit et le danger est toujours dans le camp algérien. À la 67' minute, encore une grosse opportunité pour le Sénégal ! C'est Niang qui dribble le gardien, mais ne parvient pas à redresser sa frappe ! Les Lions poussent encore mais, pour l'instant, l'arrière-garde algérienne tient le coup. Djamel Belmadi sent très bien que son équipe est en difficulté,et qu'elle peut concéder l'égalisation à tout moment. Les coéquipiers de Mahrez ne font que pousser le ballon. Le coach algérien procède à un premier changement, en incorporant Yacine Brahimi à la place de Belaili, alors que Tahrat remplace Feghouli. C'est sur ce score d'un but à zéro au profit de l'Algérie, que l'arbitre camerounais Aliou Aliou met fin aux débats entre les deux sélections, annonçant le Sacre final des Verts. Vingt-neuf ans après le premier titre, la sélection algérienne de football surfe sur la vague de la gagne. En effet, les Verts, sous la houlette du technicien algérien Djamel Belmadi, ont brillamment décroché leur deuxième étoile africaine, et brisent ainsi le signe indien qui les guettent depuis presque trente années. LesVerts, que personne ne misait un centime à ce stade de la compétition, ont réalisé un parcours impressionnant, avec une série de victoires, éliminant au passage, la Côte d'Ivoire et le Nigeria, deux gros calibres du football africain. Le mérite revient surtout à l'entraineur Djamel Belmadi qui, en moins d'un an, a fait ce que les successeurs de Vahid Halilhodzic, huitième de finaliste de la Coupe du Monde 2014, n'avaient pas pu faire. Pendant ce laps de temps, l'ancien international algérien est parvenu à faire adhérer tout le monde à son projet. Les protégés de Djamel Belmadi ont écrit ce soir, en lettre d'or, des plus belles pages de l'histoire du football algérien.