La perturbation de l'alimentation en eau potable, enregistrée durant les deux jours de l'Aïd el-adha, dans certaines wilayas du pays est due essentiellement à une interruption de l'alimentation électrique survenue à Bouira. La perturbation de l'alimentation en eau potable, enregistrée durant les deux jours de l'Aïd el-adha, dans certaines wilayas du pays est due essentiellement à une interruption de l'alimentation électrique survenue à Bouira. C'est ce qu'a indiqué, mardi à l'APS, le directeur général de l'Algérienne des eaux (ADE), Ismaïl Amirouche. "La station électrique n 1 de la wilaya de Bouira a connu dans la nuit de samedi à dimanche, une interruption de l'alimentation en énergie électrique, qui a duré quatre heures, causant ainsi une perturbation de l'alimentation en eau potable, dans 4 wilayas du pays", a expliqué M. Amirouche. Cette station, a précisé ce responsable, "alimente trois branches allant vers la wilaya de Tizi-Ouzou (côté Azzazga), la wilaya de M'sila (côté Bou-Saâda) ainsi que vers la wilaya de Médéa".Il s'agit, selon lui, de grandes installations qui alimentent ces wilayas à partir du barrage Koudiet-Acerdoune (Bouira). Ainsi, à cause de cet incident technique survenu samedi vers minuit jusqu'à dimanche vers 4h, "l'écoulement de l'eau potable s'est interrompu dans plusieurs conduites et réservoirs, ce qui explique cette perturbation enregistrée précisément à Bouira, Tizi- Ouzou, M'sila et Médéa", a précisé le Premier responsable de l'ADE. Toutefois, M.Amirouche a tenu à souligner que globalement, la distribution de l'eau potable à travers tout le territoire national a "correctement été assurée durant les deux jours de l'Aïd el-adha, excepté dans quelques wilayas". "Nous estimons que 90 % de la population algérienne a été correctement alimentée en eau potable durant l'Aïd el-adha alors que seulement 10 % de la population a connu une perturbation", a-t-il indiqué. En outre, le même responsable a tenu à rappeler qu'il ne faut pas perdre de vue le programme de distribution de l'eau potable à raison d'un jour sur deux, élaboré dans plusieurs communes du pays. Selon lui, la population de ces communes a été rassurée. Ainsi, "même s'ils n'avaient pas reçu l'eau le matin de l'Aïd, ils ont fait des réserves." S'ajoute à cela, la forte demande en eau potable enregistrée le jour de l'Aïd, voire même deux jours avant la fête religieuse, a encore expliqué M. Amirouche, selon qui "la consommation en eau potable a enregistré une hausse de 10 à 15 %". C'est ce qu'a indiqué, mardi à l'APS, le directeur général de l'Algérienne des eaux (ADE), Ismaïl Amirouche. "La station électrique n 1 de la wilaya de Bouira a connu dans la nuit de samedi à dimanche, une interruption de l'alimentation en énergie électrique, qui a duré quatre heures, causant ainsi une perturbation de l'alimentation en eau potable, dans 4 wilayas du pays", a expliqué M. Amirouche. Cette station, a précisé ce responsable, "alimente trois branches allant vers la wilaya de Tizi-Ouzou (côté Azzazga), la wilaya de M'sila (côté Bou-Saâda) ainsi que vers la wilaya de Médéa".Il s'agit, selon lui, de grandes installations qui alimentent ces wilayas à partir du barrage Koudiet-Acerdoune (Bouira). Ainsi, à cause de cet incident technique survenu samedi vers minuit jusqu'à dimanche vers 4h, "l'écoulement de l'eau potable s'est interrompu dans plusieurs conduites et réservoirs, ce qui explique cette perturbation enregistrée précisément à Bouira, Tizi- Ouzou, M'sila et Médéa", a précisé le Premier responsable de l'ADE. Toutefois, M.Amirouche a tenu à souligner que globalement, la distribution de l'eau potable à travers tout le territoire national a "correctement été assurée durant les deux jours de l'Aïd el-adha, excepté dans quelques wilayas". "Nous estimons que 90 % de la population algérienne a été correctement alimentée en eau potable durant l'Aïd el-adha alors que seulement 10 % de la population a connu une perturbation", a-t-il indiqué. En outre, le même responsable a tenu à rappeler qu'il ne faut pas perdre de vue le programme de distribution de l'eau potable à raison d'un jour sur deux, élaboré dans plusieurs communes du pays. Selon lui, la population de ces communes a été rassurée. Ainsi, "même s'ils n'avaient pas reçu l'eau le matin de l'Aïd, ils ont fait des réserves." S'ajoute à cela, la forte demande en eau potable enregistrée le jour de l'Aïd, voire même deux jours avant la fête religieuse, a encore expliqué M. Amirouche, selon qui "la consommation en eau potable a enregistré une hausse de 10 à 15 %".