Les 5 candidats mesurent l'état des fausses informations et des "fake news" qui tentent de nuire à leur image. De la folle rumeur à l'intox, les réseaux sociaux et la Toile sont les supports où tout se raconte sur la campagne et les prétendants à l'élection du 12 décembre. Les 5 candidats mesurent l'état des fausses informations et des "fake news" qui tentent de nuire à leur image. De la folle rumeur à l'intox, les réseaux sociaux et la Toile sont les supports où tout se raconte sur la campagne et les prétendants à l'élection du 12 décembre. Dès les premiers jours de cette campagne, les rédeaux sociaux ont faitétat de la démission du directeur d campagne de Tebboune dont le nom a été évoqué pour lui faire porter le chapeau de son opposition au candidat qu'il représente. Tebboune ariposté dans une déclaration en démentant cette rumeur et considérant que le changement de directeur de la campagne ne se fera qu'avec la décision du candidat en personne et rien n'oblige à croire cette fausse information. Mais cette dernière s'est avérée vraie puisqu'il a été nommé un nouveau directeur de campagne. Dans le même registre, des internautes anonymes publient la liste des possessions des candidats en faisant croire que Benflis détient des biens immobiliers à l'étranger, qu'Abdelaziz Belaïd possèderait un fonds en devises dans une banque étrangère. Non sans s'arrêter à ce niveau, de l'intox touche plus loin l'image et la personnalité du candidat. Les ragots vont jusqu'à suspecter "un financement occulte des candidats" où des chiffres mirobolants sont livrés sans aucune vérification. On dit même sur les réseaux sociaux que ceux qui assistent aux meetings sont "grassement payés" pour élire le candidat le jour "j". D'autres avancent le nom de 2 candidats qui vont s'affronter dans un duel à guichets fermés en évinçant les autres candidats assimilés à des "lièvres" ou un fairevaloir. Ces fausses infos véhiculées souvent par des sources non crédibles sont souvent relayées par des médias en quête du sensationnel qui se soucient peu de l'éthique et l'objectivité. C'est une opportunité pour eux de faire de la recette avec de telles informations. D'autres s'amusent à prendre une phrase d'un candidat et déformer ses propos dans l'intention de le rendre peu crédible aux yeux de l'opinion publique. Les candidats savent pertinemment que ces "fake news" sont savamment conçues et qu'il n'y a pas de hasard que des parties se cachant derrière l'anonymat, veulent porter un coup à cette élection qui dérange certainement des intérêts occultes. Dès lors, les candidats sont poussés par un souci de transparence à reconsidérer leurs stratégies de communication par tous les moyens en s'assurant des réponses claires à toute question ou toute interrogation sur leurs faits et gestes. Le silence n'est pas souhaité durant cette campagne où l'enjeu est de taille pour chaque candidat. Dès les premiers jours de cette campagne, les rédeaux sociaux ont faitétat de la démission du directeur d campagne de Tebboune dont le nom a été évoqué pour lui faire porter le chapeau de son opposition au candidat qu'il représente. Tebboune ariposté dans une déclaration en démentant cette rumeur et considérant que le changement de directeur de la campagne ne se fera qu'avec la décision du candidat en personne et rien n'oblige à croire cette fausse information. Mais cette dernière s'est avérée vraie puisqu'il a été nommé un nouveau directeur de campagne. Dans le même registre, des internautes anonymes publient la liste des possessions des candidats en faisant croire que Benflis détient des biens immobiliers à l'étranger, qu'Abdelaziz Belaïd possèderait un fonds en devises dans une banque étrangère. Non sans s'arrêter à ce niveau, de l'intox touche plus loin l'image et la personnalité du candidat. Les ragots vont jusqu'à suspecter "un financement occulte des candidats" où des chiffres mirobolants sont livrés sans aucune vérification. On dit même sur les réseaux sociaux que ceux qui assistent aux meetings sont "grassement payés" pour élire le candidat le jour "j". D'autres avancent le nom de 2 candidats qui vont s'affronter dans un duel à guichets fermés en évinçant les autres candidats assimilés à des "lièvres" ou un fairevaloir. Ces fausses infos véhiculées souvent par des sources non crédibles sont souvent relayées par des médias en quête du sensationnel qui se soucient peu de l'éthique et l'objectivité. C'est une opportunité pour eux de faire de la recette avec de telles informations. D'autres s'amusent à prendre une phrase d'un candidat et déformer ses propos dans l'intention de le rendre peu crédible aux yeux de l'opinion publique. Les candidats savent pertinemment que ces "fake news" sont savamment conçues et qu'il n'y a pas de hasard que des parties se cachant derrière l'anonymat, veulent porter un coup à cette élection qui dérange certainement des intérêts occultes. Dès lors, les candidats sont poussés par un souci de transparence à reconsidérer leurs stratégies de communication par tous les moyens en s'assurant des réponses claires à toute question ou toute interrogation sur leurs faits et gestes. Le silence n'est pas souhaité durant cette campagne où l'enjeu est de taille pour chaque candidat.