Le ministre des Ressources en eau, Arezki Berraki, a affirmé avant-hier à Alger, qu'une hausse du prix de l'eau en Algérie Le ministre des Ressources en eau, Arezki Berraki, a affirmé avant-hier à Alger, qu'une hausse du prix de l'eau en Algérie "n'est pas à l'ordre du jour", précisant que le programme du secteur de l'eau est d'améliorer ce service public, le hisser à un haut niveau, notamment à travers une alimentation en eau quotidienne et continue. "Le programme de notre secteur est axé autour de la volonté de garantir un accès à l'eau, à l'ensemble des citoyens", a assuré M. Berraki, cité par l'agence officielle. L'Algérie n'est pas en situation d'alerte ou de stress hydrique Le ministre a indiqué par ailleurs, que l'Algérie n'est pas en situation d'alerte ou de stress hydrique, malgré le manque de précipitations que connait le pays en cette saison hivernale. Interrogé lors d'un point de presse, en marge d'une Journée d'études intitulée "L'eau dans la ville, les nouveaux défis du service public", le ministre a fait savoir que le manque de précipitations à cette période de l'année à travers le pays, n'est pas un fait exceptionnel, ajoutant qu'un bilan devra être fait à partir des mois de mars et avril, période où la pluviométrie est la plus importante, depuis plusieurs années. "Il est constaté depuis une à deux décennies, que la plus forte pluviométrie est enregistrée aux mois de mars et avril. Nous ne pouvons nous prononcer, qu'à partir de cette période à venir", a-t-il expliqué, ajoutant que le pays ne fait pas face à un déficit en eau. Le taux de remplissage des barrages à travers le pays a dépassé 63% Le ministre a également indiqué, que le taux de remplissage des barrages à travers le pays a dépassé 63%, précisant que la majorité de l'eau destinée aux citoyens est puisée au niveau des nappes phréatiques, et non à partir des barrages. De plus, le même responsable a souligné le travail de prévention de son département ministériel, afin de ne pas faire face à une pénurie d'eau lors des années à venir, comme ce fut le cas en 2001. En outre, M. Berraki a évoqué le travail d'évaluation que réalise le ministère, pour assurer la disponibilité en eau potable pour le mois du Ramadhan, ainsi qu'en prévision de la saison estivale de l'année en cours. "n'est pas à l'ordre du jour", précisant que le programme du secteur de l'eau est d'améliorer ce service public, le hisser à un haut niveau, notamment à travers une alimentation en eau quotidienne et continue. "Le programme de notre secteur est axé autour de la volonté de garantir un accès à l'eau, à l'ensemble des citoyens", a assuré M. Berraki, cité par l'agence officielle. L'Algérie n'est pas en situation d'alerte ou de stress hydrique Le ministre a indiqué par ailleurs, que l'Algérie n'est pas en situation d'alerte ou de stress hydrique, malgré le manque de précipitations que connait le pays en cette saison hivernale. Interrogé lors d'un point de presse, en marge d'une Journée d'études intitulée "L'eau dans la ville, les nouveaux défis du service public", le ministre a fait savoir que le manque de précipitations à cette période de l'année à travers le pays, n'est pas un fait exceptionnel, ajoutant qu'un bilan devra être fait à partir des mois de mars et avril, période où la pluviométrie est la plus importante, depuis plusieurs années. "Il est constaté depuis une à deux décennies, que la plus forte pluviométrie est enregistrée aux mois de mars et avril. Nous ne pouvons nous prononcer, qu'à partir de cette période à venir", a-t-il expliqué, ajoutant que le pays ne fait pas face à un déficit en eau. Le taux de remplissage des barrages à travers le pays a dépassé 63% Le ministre a également indiqué, que le taux de remplissage des barrages à travers le pays a dépassé 63%, précisant que la majorité de l'eau destinée aux citoyens est puisée au niveau des nappes phréatiques, et non à partir des barrages. De plus, le même responsable a souligné le travail de prévention de son département ministériel, afin de ne pas faire face à une pénurie d'eau lors des années à venir, comme ce fut le cas en 2001. En outre, M. Berraki a évoqué le travail d'évaluation que réalise le ministère, pour assurer la disponibilité en eau potable pour le mois du Ramadhan, ainsi qu'en prévision de la saison estivale de l'année en cours.