Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a annoncé,hier à Alger, la préparation d'une loi criminalisant le non-paiement desimpôts. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a annoncé,hier à Alger, la préparation d'une loi criminalisant le non-paiement desimpôts. "Une loi criminalisant le non-paiement des impôts est prévue, à l'instar de ce qui est vigueur dans plusieurs pays à travers le monde, dont les Etats-Unis où le non-paiement des impôts est considéré comme étant un crime économique", a déclaré le Président Tebboune à l'ouverture de la rencontreGouvernement-walis. "Certains prétendent être parmi les plus riches de ce pays, alors qu'ils figurent en bas du classement des contribuables, tandis que le fonctionnaire, lui, s'acquitte de ses impôts par retenue sur salaire", a soutenu le Président. Par ailleurs, Tebboune a évoqué les créances bancaires de certains investisseurs, ayant dépassé 1.000 milliards DAen janvier 2020. "En janvier dernier, certains investisseurs devaient un montant de 1216 milliards DA aux banques", at- il dit. "Le passé récent tragique a provoqué une hémorragie des fonds de l'Etat, en devise et en dinar, c'est pourquoi les citoyens s'interrogent aujourd'hui sur les méthodes à même de garantir les financements", a ajouté le Président Tebboune. "Lefinancement existe mais les remboursements ne sont pas effectués", a affirmé le président de la République. "Une loi criminalisant le non-paiement des impôts est prévue, à l'instar de ce qui est vigueur dans plusieurs pays à travers le monde, dont les Etats-Unis où le non-paiement des impôts est considéré comme étant un crime économique", a déclaré le Président Tebboune à l'ouverture de la rencontreGouvernement-walis. "Certains prétendent être parmi les plus riches de ce pays, alors qu'ils figurent en bas du classement des contribuables, tandis que le fonctionnaire, lui, s'acquitte de ses impôts par retenue sur salaire", a soutenu le Président. Par ailleurs, Tebboune a évoqué les créances bancaires de certains investisseurs, ayant dépassé 1.000 milliards DAen janvier 2020. "En janvier dernier, certains investisseurs devaient un montant de 1216 milliards DA aux banques", at- il dit. "Le passé récent tragique a provoqué une hémorragie des fonds de l'Etat, en devise et en dinar, c'est pourquoi les citoyens s'interrogent aujourd'hui sur les méthodes à même de garantir les financements", a ajouté le Président Tebboune. "Lefinancement existe mais les remboursements ne sont pas effectués", a affirmé le président de la République.