La menace d'une annéeblanche pour l'université et le doute sur la tenue des examens de fin d'année sont au centre des inquiétudes des syndicats. Le gouvernement aura à trancher cette semaine sur la question. La menace d'une annéeblanche pour l'université et le doute sur la tenue des examens de fin d'année sont au centre des inquiétudes des syndicats. Le gouvernement aura à trancher cette semaine sur la question. Les syndicats, dont l'UNPEF et le Cnapest ont appelé au report des examens à une date ultérieure. Dans un communiqué en ligne, l'UNPEF souligne que "tous les syndicats vont soumettre leurs propositions au département de Oudjaout qui devra trancher sur le sort des examens cette semaine". Mais pour les formations syndicales "le report au mois de septembre des examens sera souhaitable" indiquant que "la situation de l'épidémie du coronavirus n'est pas encore claire". Pour ceux qui veulent l'annulation des examens, l'année en cours devra se terminer avec les deux trimestres sur la base de leurs moyennes pour les élèves ayant obtenu une note de 10 et plus, ceux qui ont une moyenne de moins de 10 peuvent se présenter aux sessions de rattrapage dès la rentrée scolaire. Mais pour l'heure aucun communiqué officiel du ministère de l'Education n'a encore tranché. En revanche, le directeur de l'Onec (Office national des examens et concours) Mustapha Benzemrane, indique dans une déclaration reprise par les médias que "le déroulement du troisième trimestre se fera dès la levée du confinement sanitaire" et d'ajouter que "le ministère va programmer la date des examens dans un délai proche" sans préciser pour autant si cela se fera fin mai ou juin. D'habitude, les examens de la sixième et du BEM sont programmés dès cette date alors que pour le Bac, c'est le flou total. Les parents d'élève dans leur ultime appel souhaitent que "les autorités prennent une décision claire car c'est l'avenir des élèves qui est mis en jeu". Pour ce qui est de l'université, la situation ne semble pas convaincre. Le ministre de l'Enseignement supérieur Chemseddine Chitour a appelé hier "la communauté des enseignants et des étudiants à sauver l'année universitaire en se mobilisant pour la poursuite du cursus". Le ministre n'a pas mentionné si les examens du 2e semestre seront maintenus ou annulés. Mais du côté des associations estudiantines, les examens devront tout bonnement être annulés se basant sur des décisions prises à cet effet par des universités étrangères. Sur les réseaux sociaux, ce sont autant d'étudiants qui pensent que l'année universitaire 2019- 2020 devra s'achever uniquement sur les moyennes obtenues du 1er semestre et une évaluation qui devra se faire à la prochaine rentrée. Cela dit, c'est au gouvernement de trancher sur ce sujet qui alimente la polémique. Les syndicats, dont l'UNPEF et le Cnapest ont appelé au report des examens à une date ultérieure. Dans un communiqué en ligne, l'UNPEF souligne que "tous les syndicats vont soumettre leurs propositions au département de Oudjaout qui devra trancher sur le sort des examens cette semaine". Mais pour les formations syndicales "le report au mois de septembre des examens sera souhaitable" indiquant que "la situation de l'épidémie du coronavirus n'est pas encore claire". Pour ceux qui veulent l'annulation des examens, l'année en cours devra se terminer avec les deux trimestres sur la base de leurs moyennes pour les élèves ayant obtenu une note de 10 et plus, ceux qui ont une moyenne de moins de 10 peuvent se présenter aux sessions de rattrapage dès la rentrée scolaire. Mais pour l'heure aucun communiqué officiel du ministère de l'Education n'a encore tranché. En revanche, le directeur de l'Onec (Office national des examens et concours) Mustapha Benzemrane, indique dans une déclaration reprise par les médias que "le déroulement du troisième trimestre se fera dès la levée du confinement sanitaire" et d'ajouter que "le ministère va programmer la date des examens dans un délai proche" sans préciser pour autant si cela se fera fin mai ou juin. D'habitude, les examens de la sixième et du BEM sont programmés dès cette date alors que pour le Bac, c'est le flou total. Les parents d'élève dans leur ultime appel souhaitent que "les autorités prennent une décision claire car c'est l'avenir des élèves qui est mis en jeu". Pour ce qui est de l'université, la situation ne semble pas convaincre. Le ministre de l'Enseignement supérieur Chemseddine Chitour a appelé hier "la communauté des enseignants et des étudiants à sauver l'année universitaire en se mobilisant pour la poursuite du cursus". Le ministre n'a pas mentionné si les examens du 2e semestre seront maintenus ou annulés. Mais du côté des associations estudiantines, les examens devront tout bonnement être annulés se basant sur des décisions prises à cet effet par des universités étrangères. Sur les réseaux sociaux, ce sont autant d'étudiants qui pensent que l'année universitaire 2019- 2020 devra s'achever uniquement sur les moyennes obtenues du 1er semestre et une évaluation qui devra se faire à la prochaine rentrée. Cela dit, c'est au gouvernement de trancher sur ce sujet qui alimente la polémique.