Le nombre d'habitants en Algérie est passé à 43,9 millions le 1er janvier 2020, contre 43,4 millions le 1er janvier 2019, a appris hier l'APS auprès de l'Office national des statistiques (ONS). Le nombre d'habitants en Algérie est passé à 43,9 millions le 1er janvier 2020, contre 43,4 millions le 1er janvier 2019, a appris hier l'APS auprès de l'Office national des statistiques (ONS). La population résidente en Algérie était de 43,424 millions de personnes au 1er juillet 2019 et le nombre des naissances vivantes avait atteint 1,034 million, soit 4.000 naissances de moins qu'en 2018. A ce rythme de croissance de l'année 2019, la population résidente totale atteindrait 44,7 millions au 1er janvier 2021, selon les prévisions de l'ONS. La répartition de ces naissances vivantes par sexe donne 104 garçons pour 100 filles, indique les données statistiques de l'ONS. Cette baisse du volume des naissances a affecté le taux brut de natalité qui est passé de 24,39 pour mille en 2018 à 23,80 pour mille l'année dernière. L'indice conjoncturel de fécondité a connu une stagnation par rapport à 2018, affichant 3 enfants par femme. Par ailleurs, l'accroissement naturel (naissances) a atteint 837.000 personnes, avec un taux d'accroissement naturel de 1,93 %, continuantd'enregistrer la baisse enclenchée depuis 2017. Cette baisse est due principalement au recul du volume des naissances en 2019 par rapport à 2018, mais aussi à l'augmentation du volume des décès. La répartition par sexe fait ressortir unelégère prédominance de la population masculine qui représente 50,7 % de la population totale. Globalement, l'année 2019 a connu un volume de naissances vivantes dépassant le seuil d'un million de naissances pour la sixième année consécutive, quoi que légèrement en baisse par rapport à 2018, d'une augmentation significative du volume des décès, et la poursuite du recul du nombre des mariages enregistrés, entamé depuis 2014. Poursuite de l'amélioration de l'espérance de vie Entamée depuis 2014, la baisse de l'effectif des mariages se poursuit en 2019. Les bureaux d'état-civil ont enregistré 315.000 unions en 2019 contre 332.000 unions en 2018, soit une baisse de plus de 5 %. Le taux brut de nuptialité poursuit ainsi sa décroissance, passant de 7,79 pour mille à 7,26 pour mille durant la même période de comparaison. Quant à la mortalité générale, l'organisme national des statistiques relève que l'année dernière a enregistré 198.000 décès, en augmentation de 5.000 décès par rapport à l'année d'avant. Ainsi le taux brut de mortalité a connu une légère hausse passant de 4,53 pour mille à 4,55 pour mille, soit le même niveau observé en 2017. D'autre part, l'ONS indique que le volume de la mortalité infantile avait atteint 21.030 cas, avec un recul de plus de 800 décès. Le taux de la mortalité infantile a connu ainsi une stagnation observée depuis 2016, avec un niveau de 21 pour mille. Par sexe, il a atteint 22,5 pour mille auprès des garçons et 19,4 pour mille chez les filles. L'espérance de vie à la naissance a connu, quant à elle, une progression pour atteindre 77,8 ans globalement, elle est de 77,2 chez les hommes et 78,6 ans chez les femmes. Pour les perspectives d'évolution de la population algérienne à l'horizon 2040 et sous hypothèse d'atteindre un indice conjoncturel de fécondité de 2,4 enfants par femme et d'une espérance de vie à la naissance de 82 ans pour les hommes et 83 ans pour les femmes, la population résidente en Algérie atteindra 44,227 millions d'habitants en 2020, 51,309 millions en 2030 et 57,625 millions en 204. La population résidente en Algérie était de 43,424 millions de personnes au 1er juillet 2019 et le nombre des naissances vivantes avait atteint 1,034 million, soit 4.000 naissances de moins qu'en 2018. A ce rythme de croissance de l'année 2019, la population résidente totale atteindrait 44,7 millions au 1er janvier 2021, selon les prévisions de l'ONS. La répartition de ces naissances vivantes par sexe donne 104 garçons pour 100 filles, indique les données statistiques de l'ONS. Cette baisse du volume des naissances a affecté le taux brut de natalité qui est passé de 24,39 pour mille en 2018 à 23,80 pour mille l'année dernière. L'indice conjoncturel de fécondité a connu une stagnation par rapport à 2018, affichant 3 enfants par femme. Par ailleurs, l'accroissement naturel (naissances) a atteint 837.000 personnes, avec un taux d'accroissement naturel de 1,93 %, continuantd'enregistrer la baisse enclenchée depuis 2017. Cette baisse est due principalement au recul du volume des naissances en 2019 par rapport à 2018, mais aussi à l'augmentation du volume des décès. La répartition par sexe fait ressortir unelégère prédominance de la population masculine qui représente 50,7 % de la population totale. Globalement, l'année 2019 a connu un volume de naissances vivantes dépassant le seuil d'un million de naissances pour la sixième année consécutive, quoi que légèrement en baisse par rapport à 2018, d'une augmentation significative du volume des décès, et la poursuite du recul du nombre des mariages enregistrés, entamé depuis 2014. Poursuite de l'amélioration de l'espérance de vie Entamée depuis 2014, la baisse de l'effectif des mariages se poursuit en 2019. Les bureaux d'état-civil ont enregistré 315.000 unions en 2019 contre 332.000 unions en 2018, soit une baisse de plus de 5 %. Le taux brut de nuptialité poursuit ainsi sa décroissance, passant de 7,79 pour mille à 7,26 pour mille durant la même période de comparaison. Quant à la mortalité générale, l'organisme national des statistiques relève que l'année dernière a enregistré 198.000 décès, en augmentation de 5.000 décès par rapport à l'année d'avant. Ainsi le taux brut de mortalité a connu une légère hausse passant de 4,53 pour mille à 4,55 pour mille, soit le même niveau observé en 2017. D'autre part, l'ONS indique que le volume de la mortalité infantile avait atteint 21.030 cas, avec un recul de plus de 800 décès. Le taux de la mortalité infantile a connu ainsi une stagnation observée depuis 2016, avec un niveau de 21 pour mille. Par sexe, il a atteint 22,5 pour mille auprès des garçons et 19,4 pour mille chez les filles. L'espérance de vie à la naissance a connu, quant à elle, une progression pour atteindre 77,8 ans globalement, elle est de 77,2 chez les hommes et 78,6 ans chez les femmes. Pour les perspectives d'évolution de la population algérienne à l'horizon 2040 et sous hypothèse d'atteindre un indice conjoncturel de fécondité de 2,4 enfants par femme et d'une espérance de vie à la naissance de 82 ans pour les hommes et 83 ans pour les femmes, la population résidente en Algérie atteindra 44,227 millions d'habitants en 2020, 51,309 millions en 2030 et 57,625 millions en 204.