Le ministre conseiller à la Communication, Porte-parole officiel de la présidence de la République, M. Mohand Oussaïd Belaïd, a indiqué hier, que ce qui a été évoqué dans le communiqué de Soufiane Djilali (Président du parti Jil Jadid)concernant sa demande de libération de certains détenus était "vrai", précisant que le président de la République avait promis d'étudier cette demande Le ministre conseiller à la Communication, Porte-parole officiel de la présidence de la République, M. Mohand Oussaïd Belaïd, a indiqué hier, que ce qui a été évoqué dans le communiqué de Soufiane Djilali (Président du parti Jil Jadid)concernant sa demande de libération de certains détenus était "vrai", précisant que le président de la République avait promis d'étudier cette demande A une question sur ce qui a été évoqué dans le communiqué de Soufiane Djilali (prédident de Jil Jadid) concernant sa demande de libération de certains détenus, le ministre conseiller a précisé, lors d'une conférence de presse au siège de la présidence de la République, que c'était "vrai" et que c'était le "fruit du dialogue", soulignant que le président de la République avait "promis d'étudier cette demande".Le président Tebboune a "répondu à la demande du président de Jil Jadid et promis de l'étudier, dans le cadre duplein et strict respect de ses pouvoirsconstitutionnels et de son attachement total au respect de l'indépendance de la justice", a ajouté M. Belaïd, estimant que ceux qui boycottent le dialogue "assument leurs responsabilités". La Constitution escomptée doit être"le fruit d'un consensus national" Le ministre conseiller à la Communication, Porte-parole officiel de la présidence de la République, BelaïdMohand Oussaïd, a fait état, également, d'une possible prorogation, pour une durée raisonnable, de la campagne de débat et d'explication autour de l'avant-projet de révision constitutionnelle, afin que la Constitution escomptée soit "le fruit d'un consensus national, le plus large possible". Le débat autour de la mouture del'avant-projet de révision de la Constitution, en dépit des mesures de prévention de la Covid-19 limitant la liberté de circulation et de réunion, "confirme le besoin intense du pays d'une Constitution consensuelle" qui jette les fondements d'une nouvelle ère "trans-mandats présidentiels" et "non une Constitution sur mesure pour des personnes ou des partis", a précisé M. Mohand Oussaïd . Soulignant que cet objectif requiert d'élargir la base du débat à toutes les franges de la société, il a indiqué qu'en réponse, à la demande de plusieurs partis politiques, associations civiles et personnalités nationales, "une prorogation est à l'étude, pour une durée raisonnable, de la campagne de débat et d'explication autour de l'avant projet de révision constitutionnelle. "Le but étant de parvenir à une Constitution qui soit le fruit d'un consensus national le plus large possible répondant à la nécessité impérieuse et urgentepour le pays de se doter d'institutions véritablement élues sous la bannière de la Déclaration du 1er Novembre 1954, pourédifier la Nouvelle République en consolidation des trois composantes de l'identiténationale: l'islam, l'arabité et l'amazighité", a-t-il conclu. La Présidence confirme le départ du Consul du Maroc à Oran Le ministre conseiller à laCommunication, Porte-parole officiel de la présidence de la République, M. Belaïd Mohand Oussaïd, a déclaré, aussi hier que le Consul du Maroc à Oran avait effectivement quitté le territoire national, et que son attitude a dépassé toutes les limites de la convenance. "Le Consul du Maroc a effectivement quitté le territoire national à la demande de l'Algérie et son attitude a dépassé toutes les limites de la convenance", a indiqué M. Belaïd Mohand Oussaïd, en réponse à une question lors d'une conférence de presse animée au siège de la présidence de la République. Pour le Porte-parole officiel de la présidence de la République, "l'attitude du Consul marocain n'était pas étonnante, car c'est un officier des renseignements marocains". Affirmant que cette page dans les relations diplomatiques entre les deux pays "est désormais tournée", il a soutenu que l'Algérie "est un Etat qui oeuvre à atténuer l'impact des problèmes sociaux sur ses citoyens, alors que d'autres font dans la politique de l'autruche", pour éviter de voir venir la menace. "Nous faisons en sorte d'élever le niveau pour préserver les relations entre les deux peuples frères, algérien et marocain", a conclu M. Belaïd Mohand Oussaïd. "L'Etat veille à ne pas risquer la vie des citoyens" M. Mohand Oussaïd Belaïd a affirmé que l'Etat veillait à "ne pas risquer" la vie des citoyens, tout en recherchant des "compromis" entre la relance de la vie économique et la lutte contre la pandémie de Covid-19. Lors d'une conférence de presse animée au siège de la présidence de la République, le ministre conseiller a précisé, qu'à la suite de la réunion du Haut-conseil de sécurité, consacrée à l'évaluation de la situation sanitaire du pays à la lumière de l'évolution de l'épidémie de Covid-19, il avait été décidé de commencer à préparer un plan d'action pour la phase post-Covid- 19, soulignant que l'Etat a veillé depuis le début à "ne pas risquer" la vie des citoyens. Une politique qui n'empêche pas, a-t-il ajouté, de rechercher dans le même temps des compromis entre la relance de la vie économique et la luttecontre la pandémie. Les dons numéraires s'élèvent 3,86 mds DA Belaïd Mohand Oussaïd a affirmé, que la valeur des dons numéraires versés dans les comptes dédiés à la lutte contre la Covid- 19 ont atteint, jusqu'à hier lundi, 3,86 mds DA, plus d'un (01) million d'Euros et près d'un (01) million de dollars. "Les dons numéraires versés dans les comptes dédiés à la lutte contre la Covid- 19 s'élèvent à 386 milliards de centimes, 1,195 million d'Euros, 980.000 dollars et 7.700 livres sterling", a précisé M. Belaïd Mohand Oussaïd lors d'une conférence de presse animée au siège de la présidence de la République. Concernant les modalités de distribution de ces dons aux citoyens impactés par la propagation de la Covid-19, le porteparole de la Présidence a fait savoir qu'ils seront octroyés en fonction d'une étude élaborée par une commission présidée par le Premier ministre, regroupant des représentants de la société civile et du croissantrouge algérien (CRA). "Pour éviter les mésinterprétations et dans le souci d'agir dans la transparence, une commission présidée par le Premier ministre et constituée de membres représentant la société civile et la CRA sera chargée de l'élaboration d'une étude visant à arrêter les critères de distribution de ces dons aux citoyens touchés par cette pandémie", a-t-il souligné. Le Président dépêche une importante délégation ministérielle à Nouakchott Belaïd Mohand Oussaïd a indiqué, que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait dépêché "il y'a quelques heures", une importante délégation ministérielle à Nouakchott (Mauritanie), pour échanger les informations entre les deux pays, en matière de lutte contre la Covid- 19. M. Oussaïd a indiqué que le président Tebboune "a dépêché, il y'a quelques heures, une importante délégation ministérielle à Nouakchott conduite par le ministre des Affaires étrangères pour échanger les informations avec les frères mauritaniens en matière de lutte contre la pandémie", estimant que cette délégation était "la première du genre depuis la suspension du trafic aérien en mars dernier". Cette visite traduit l'intérêt particulier accordé par les Présidents des deux pays, à entretenir le contact au mieux des intérêts des peuples de la région, a-t-il ajouté A une question sur ce qui a été évoqué dans le communiqué de Soufiane Djilali (prédident de Jil Jadid) concernant sa demande de libération de certains détenus, le ministre conseiller a précisé, lors d'une conférence de presse au siège de la présidence de la République, que c'était "vrai" et que c'était le "fruit du dialogue", soulignant que le président de la République avait "promis d'étudier cette demande".Le président Tebboune a "répondu à la demande du président de Jil Jadid et promis de l'étudier, dans le cadre duplein et strict respect de ses pouvoirsconstitutionnels et de son attachement total au respect de l'indépendance de la justice", a ajouté M. Belaïd, estimant que ceux qui boycottent le dialogue "assument leurs responsabilités". La Constitution escomptée doit être"le fruit d'un consensus national" Le ministre conseiller à la Communication, Porte-parole officiel de la présidence de la République, BelaïdMohand Oussaïd, a fait état, également, d'une possible prorogation, pour une durée raisonnable, de la campagne de débat et d'explication autour de l'avant-projet de révision constitutionnelle, afin que la Constitution escomptée soit "le fruit d'un consensus national, le plus large possible". Le débat autour de la mouture del'avant-projet de révision de la Constitution, en dépit des mesures de prévention de la Covid-19 limitant la liberté de circulation et de réunion, "confirme le besoin intense du pays d'une Constitution consensuelle" qui jette les fondements d'une nouvelle ère "trans-mandats présidentiels" et "non une Constitution sur mesure pour des personnes ou des partis", a précisé M. Mohand Oussaïd . Soulignant que cet objectif requiert d'élargir la base du débat à toutes les franges de la société, il a indiqué qu'en réponse, à la demande de plusieurs partis politiques, associations civiles et personnalités nationales, "une prorogation est à l'étude, pour une durée raisonnable, de la campagne de débat et d'explication autour de l'avant projet de révision constitutionnelle. "Le but étant de parvenir à une Constitution qui soit le fruit d'un consensus national le plus large possible répondant à la nécessité impérieuse et urgentepour le pays de se doter d'institutions véritablement élues sous la bannière de la Déclaration du 1er Novembre 1954, pourédifier la Nouvelle République en consolidation des trois composantes de l'identiténationale: l'islam, l'arabité et l'amazighité", a-t-il conclu. La Présidence confirme le départ du Consul du Maroc à Oran Le ministre conseiller à laCommunication, Porte-parole officiel de la présidence de la République, M. Belaïd Mohand Oussaïd, a déclaré, aussi hier que le Consul du Maroc à Oran avait effectivement quitté le territoire national, et que son attitude a dépassé toutes les limites de la convenance. "Le Consul du Maroc a effectivement quitté le territoire national à la demande de l'Algérie et son attitude a dépassé toutes les limites de la convenance", a indiqué M. Belaïd Mohand Oussaïd, en réponse à une question lors d'une conférence de presse animée au siège de la présidence de la République. Pour le Porte-parole officiel de la présidence de la République, "l'attitude du Consul marocain n'était pas étonnante, car c'est un officier des renseignements marocains". Affirmant que cette page dans les relations diplomatiques entre les deux pays "est désormais tournée", il a soutenu que l'Algérie "est un Etat qui oeuvre à atténuer l'impact des problèmes sociaux sur ses citoyens, alors que d'autres font dans la politique de l'autruche", pour éviter de voir venir la menace. "Nous faisons en sorte d'élever le niveau pour préserver les relations entre les deux peuples frères, algérien et marocain", a conclu M. Belaïd Mohand Oussaïd. "L'Etat veille à ne pas risquer la vie des citoyens" M. Mohand Oussaïd Belaïd a affirmé que l'Etat veillait à "ne pas risquer" la vie des citoyens, tout en recherchant des "compromis" entre la relance de la vie économique et la lutte contre la pandémie de Covid-19. Lors d'une conférence de presse animée au siège de la présidence de la République, le ministre conseiller a précisé, qu'à la suite de la réunion du Haut-conseil de sécurité, consacrée à l'évaluation de la situation sanitaire du pays à la lumière de l'évolution de l'épidémie de Covid-19, il avait été décidé de commencer à préparer un plan d'action pour la phase post-Covid- 19, soulignant que l'Etat a veillé depuis le début à "ne pas risquer" la vie des citoyens. Une politique qui n'empêche pas, a-t-il ajouté, de rechercher dans le même temps des compromis entre la relance de la vie économique et la luttecontre la pandémie. Les dons numéraires s'élèvent 3,86 mds DA Belaïd Mohand Oussaïd a affirmé, que la valeur des dons numéraires versés dans les comptes dédiés à la lutte contre la Covid- 19 ont atteint, jusqu'à hier lundi, 3,86 mds DA, plus d'un (01) million d'Euros et près d'un (01) million de dollars. "Les dons numéraires versés dans les comptes dédiés à la lutte contre la Covid- 19 s'élèvent à 386 milliards de centimes, 1,195 million d'Euros, 980.000 dollars et 7.700 livres sterling", a précisé M. Belaïd Mohand Oussaïd lors d'une conférence de presse animée au siège de la présidence de la République. Concernant les modalités de distribution de ces dons aux citoyens impactés par la propagation de la Covid-19, le porteparole de la Présidence a fait savoir qu'ils seront octroyés en fonction d'une étude élaborée par une commission présidée par le Premier ministre, regroupant des représentants de la société civile et du croissantrouge algérien (CRA). "Pour éviter les mésinterprétations et dans le souci d'agir dans la transparence, une commission présidée par le Premier ministre et constituée de membres représentant la société civile et la CRA sera chargée de l'élaboration d'une étude visant à arrêter les critères de distribution de ces dons aux citoyens touchés par cette pandémie", a-t-il souligné. Le Président dépêche une importante délégation ministérielle à Nouakchott Belaïd Mohand Oussaïd a indiqué, que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait dépêché "il y'a quelques heures", une importante délégation ministérielle à Nouakchott (Mauritanie), pour échanger les informations entre les deux pays, en matière de lutte contre la Covid- 19. M. Oussaïd a indiqué que le président Tebboune "a dépêché, il y'a quelques heures, une importante délégation ministérielle à Nouakchott conduite par le ministre des Affaires étrangères pour échanger les informations avec les frères mauritaniens en matière de lutte contre la pandémie", estimant que cette délégation était "la première du genre depuis la suspension du trafic aérien en mars dernier". Cette visite traduit l'intérêt particulier accordé par les Présidents des deux pays, à entretenir le contact au mieux des intérêts des peuples de la région, a-t-il ajouté