Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a adressé avant-hier à la famille du moudjahid et ancien chef du Gouvernement, Belaïd Abdesselam, décédé à l'âge de 92 ans, un message de condoléances, dont voici la traduction : Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a adressé avant-hier à la famille du moudjahid et ancien chef du Gouvernement, Belaïd Abdesselam, décédé à l'âge de 92 ans, un message de condoléances, dont voici la traduction : "Au nom d'Allah, le Clément et le Miséricordieux, "( ) "Et fais la bonne annonce aux endurants qui disent quand un malheur les atteint : certes nous sommes à Allah et c'est à lui que nous retournerons, ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur et une miséricorde, et ceuxlà sont les biens guidés". "Aujourd'hui, nous venons de perdre avec une profonde affliction, le défunt moudjahid Belaïd Abdesselam, un Homme de la génération des Pionniers qui, ont baigné toute leur jeunesse dans militantisme national à l'école du Mouvement national, s'imprégnant de sa doctrine et de ses principes et puisant en elle les sens de la bravoure et du sacrifice pour la patrie. Avant le déclenchement de la Glorieuse Guerre de libération, il fut président de l'Association des étudiants musulmans nord-africains en France (1951-1953), puis membre fondateur de l'Union des étudiants musulmans algériens avant de contribuer au Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). L'énumération de quelques haltes de ses apports patriotiques, nous offre l'opportunité de remémorer les hauts faits de l'un des fils de l'Algérie qui n'ont cessé, leur vie durant, d'être au service de leur patrie. A la tête de la Sonatrach entre 1964 et 1966, il avait occupé de hautes responsabilités nationales, ministre de l'Industrie et de l'Energie puis Chef de gouvernement durant l'une des plus difficiles périodes qu'a eu à traverser notre pays dans les années 1990. Aujourd'hui, mes soeurs et mes frères, c'est le coeur triste que nous faisons nos adieux à un brave moudjahid et à un militant nationaliste, dévoué fidèle à l'Algérie. Allah a voulu qu'il nous quitte pour rejoindre ses compagnons et frères moudjahidines et Chouhada, c'est là Sa volonté et nous Le prions de le compter parmi eux en Son vaste Paradis. En cette triste et douloureuse épreuve, j'adresse à l'ensemble de sa famille, proches et compagnons d'armes, mes sincères condoléances et l'expression de ma profonde compassion, priant Allah, le Tout Puissant, de l'accueillir en Son vaste paradis et de le combler de Ses bienfaits avec les prophètes, les véridiques, les martyrs, et les vertueux. Et quels bons compagnons que ceux-là. Puisse Allah accorder à tous patience et endurance. "O toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur satisfaite et agrée, entre donc parmi mes serviteurs, et entre dans Mon Paradis". "Au nom d'Allah, le Clément et le Miséricordieux, "( ) "Et fais la bonne annonce aux endurants qui disent quand un malheur les atteint : certes nous sommes à Allah et c'est à lui que nous retournerons, ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur et une miséricorde, et ceuxlà sont les biens guidés". "Aujourd'hui, nous venons de perdre avec une profonde affliction, le défunt moudjahid Belaïd Abdesselam, un Homme de la génération des Pionniers qui, ont baigné toute leur jeunesse dans militantisme national à l'école du Mouvement national, s'imprégnant de sa doctrine et de ses principes et puisant en elle les sens de la bravoure et du sacrifice pour la patrie. Avant le déclenchement de la Glorieuse Guerre de libération, il fut président de l'Association des étudiants musulmans nord-africains en France (1951-1953), puis membre fondateur de l'Union des étudiants musulmans algériens avant de contribuer au Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). L'énumération de quelques haltes de ses apports patriotiques, nous offre l'opportunité de remémorer les hauts faits de l'un des fils de l'Algérie qui n'ont cessé, leur vie durant, d'être au service de leur patrie. A la tête de la Sonatrach entre 1964 et 1966, il avait occupé de hautes responsabilités nationales, ministre de l'Industrie et de l'Energie puis Chef de gouvernement durant l'une des plus difficiles périodes qu'a eu à traverser notre pays dans les années 1990. Aujourd'hui, mes soeurs et mes frères, c'est le coeur triste que nous faisons nos adieux à un brave moudjahid et à un militant nationaliste, dévoué fidèle à l'Algérie. Allah a voulu qu'il nous quitte pour rejoindre ses compagnons et frères moudjahidines et Chouhada, c'est là Sa volonté et nous Le prions de le compter parmi eux en Son vaste Paradis. En cette triste et douloureuse épreuve, j'adresse à l'ensemble de sa famille, proches et compagnons d'armes, mes sincères condoléances et l'expression de ma profonde compassion, priant Allah, le Tout Puissant, de l'accueillir en Son vaste paradis et de le combler de Ses bienfaits avec les prophètes, les véridiques, les martyrs, et les vertueux. Et quels bons compagnons que ceux-là. Puisse Allah accorder à tous patience et endurance. "O toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur satisfaite et agrée, entre donc parmi mes serviteurs, et entre dans Mon Paradis".