Le Pr Ryad Mahyaoui, invité hier sur les ondes de la radio a poussé un coup de gueule contre la désinvolture des citoyens qui continuent d'être dans "le déni absolu", face aux dangers de la pandémie du coronavirus. Le Pr Ryad Mahyaoui, invité hier sur les ondes de la radio a poussé un coup de gueule contre la désinvolture des citoyens qui continuent d'être dans "le déni absolu", face aux dangers de la pandémie du coronavirus. "Les derniers chiffres sont inquiétants ont est passé du simple au double, de 100 cas positifs, on n'est passé cette semaine à plus de 300 cas", déplore-il en expliquant qu' "on n'est pas dans une deuxième vague, mans juste dans la continuité de la première vague". Le Pr Ryad Mahyaoui fait part de son inquiétude de voir tous les efforts fournis par les citoyens et l'Etat remis totalement en cause, en raison du comportement des citoyens qui ne respectent pas les mesures barrières. "En l'espace de 4 mois les algériens sont devenus des experts en virologie, immunologie, mais il s'agit surtout pour eux de respecter les mesures préventive", peste-t-il en écartant pas du tout le possibilité retour au confinement, à la fermeture d'entreprises, des commerces, des transports... Le membre du Comité scientifique pose aussi la problématique des enquêtes épidémiologiques qui butte sur le refus de certains patients de déclarer qu'ils sont porteurs du virus par pudeur, par tabou. "Si nous ne disposons pas des informations on ne peut pas conduire des enquêtes épidémiologique pour identifier les cluster et couper la chaîne des contaminations", dit-il en préconisant une circulation de l'information. Le Pr Mahyaoui assume volontairement son "alarmisme' en le justifiant par la nécessité de provoquer u n déclic chez les citoyens, exhortés de "se protéger pour protéger les autres". "Les derniers chiffres sont inquiétants ont est passé du simple au double, de 100 cas positifs, on n'est passé cette semaine à plus de 300 cas", déplore-il en expliquant qu' "on n'est pas dans une deuxième vague, mans juste dans la continuité de la première vague". Le Pr Ryad Mahyaoui fait part de son inquiétude de voir tous les efforts fournis par les citoyens et l'Etat remis totalement en cause, en raison du comportement des citoyens qui ne respectent pas les mesures barrières. "En l'espace de 4 mois les algériens sont devenus des experts en virologie, immunologie, mais il s'agit surtout pour eux de respecter les mesures préventive", peste-t-il en écartant pas du tout le possibilité retour au confinement, à la fermeture d'entreprises, des commerces, des transports... Le membre du Comité scientifique pose aussi la problématique des enquêtes épidémiologiques qui butte sur le refus de certains patients de déclarer qu'ils sont porteurs du virus par pudeur, par tabou. "Si nous ne disposons pas des informations on ne peut pas conduire des enquêtes épidémiologique pour identifier les cluster et couper la chaîne des contaminations", dit-il en préconisant une circulation de l'information. Le Pr Mahyaoui assume volontairement son "alarmisme' en le justifiant par la nécessité de provoquer u n déclic chez les citoyens, exhortés de "se protéger pour protéger les autres".