Les walis ont pris une série de mesures récentes afin de tenter de faire face à la flambée de coronavirus, ayant touché près de 17 000 personnes en provoquant officiellement la mort de 968 personnes. Les walis ont pris une série de mesures récentes afin de tenter de faire face à la flambée de coronavirus, ayant touché près de 17 000 personnes en provoquant officiellement la mort de 968 personnes. Alors que l'Algérie ne cesse d'enregistrer des records quotidiens de contaminations, le Premier ministreAbdelaziz Djerad a donné le ton le 30 juin dernier en affirmant que les lois de la République seront appliquées avec "fermeté" contre ceux qui incitent au non-respect mesures, visant à endiguer la pandémie de la Covid. Dans ce contexte, le ministère de l'Intérieur a annoncé ce mardi, la mise en place d'un couvre-feu à partir de 13h dans 18 communes de la wilaya de Sétif, ce pour une durée de quinze jours. Prise alors que les communes en question ont été marquées par une forte présence du coronavirus en leur sein, la mesure implique un couvre-feu dès ce mercredi 8 juillet durant chaque jour entre 13h de l'après-midi et 5h du matin le lendemain. Le ministère de l'Intérieur précise, que la mesure induit l'arrêt total des activités commerciales, économiques et culturelles, ainsi que la suspension de la circulation automobile et l'activité de transport de voyageurs. "Les walis doivent, lorsque la situation sanitaire l'exige et après aval des hautes autorités du pays, procéder au confinement partiel ou total ciblé d'une ou de plusieurs localités, communes ou quartiers connaissant des foyers ou des clusters de contamination", indiquait le gouvernement le 29 juin dernier, à l'annonce des nouvelles mesures, précisant la décision de suspendre, "pour une durée de 15 jours dans les wilayas qui connaissent une circulation active du virus, des activités suivantes : les marchés et souks hebdomadaires, les marchés à bestiaux et les centres commerciaux et les lieux de concentration de commerces". A Alger, l'une des deux wilayas les plus touchées d'Algérie avec Blida, le wali a décidé le 1er juillet dernier d'interdire les fêtes telles que les mariages, circoncisions et autres ainsi que tous types de rassemblements familiaux. Le port du masque de protection est quant à lui obligatoire dans la rue et dans les voitures pour tous les citoyens, tandis que tout contrevenant sera verbalisé. Une mesure similaire a été décidée dans le jours qui ont suivi dans plusieurs wilayas. C'est le cas, notamment des wilayas d'Annaba, de Bejaia et Tizi-Ouzou. Tous ont émis des arrêtés interdisant l'organisation des fêtes de mariages et la suspension temporaire de l'établissement des actes de mariage par les mairies ainsi que l'interdiction des fêtes de circoncision. Outre l'interdiction des mariages et la suspension de la délivrance des actes de mariages par les mairies, des walis ont décidé aussi de fermer les marchés hebdomadaires à bestiaux, alors que l'Aïd-el- Kebir approche. En plus de la promiscuité, l'autre danger sanitaire que représente ces marchés vient du rituel qui consiste à palper le mouton et à manipuler sa toison, préviennent les vétérinaires. Ces spécialistes considèrent la toison du mouton comme un support de transmission du virus au même titre quetous les supports inertes où le virus peut survivre, comme les pièces de monnaie, les poignées de porte, les rampes d'escalier, les vêtements, etc... Alors que l'Algérie ne cesse d'enregistrer des records quotidiens de contaminations, le Premier ministreAbdelaziz Djerad a donné le ton le 30 juin dernier en affirmant que les lois de la République seront appliquées avec "fermeté" contre ceux qui incitent au non-respect mesures, visant à endiguer la pandémie de la Covid. Dans ce contexte, le ministère de l'Intérieur a annoncé ce mardi, la mise en place d'un couvre-feu à partir de 13h dans 18 communes de la wilaya de Sétif, ce pour une durée de quinze jours. Prise alors que les communes en question ont été marquées par une forte présence du coronavirus en leur sein, la mesure implique un couvre-feu dès ce mercredi 8 juillet durant chaque jour entre 13h de l'après-midi et 5h du matin le lendemain. Le ministère de l'Intérieur précise, que la mesure induit l'arrêt total des activités commerciales, économiques et culturelles, ainsi que la suspension de la circulation automobile et l'activité de transport de voyageurs. "Les walis doivent, lorsque la situation sanitaire l'exige et après aval des hautes autorités du pays, procéder au confinement partiel ou total ciblé d'une ou de plusieurs localités, communes ou quartiers connaissant des foyers ou des clusters de contamination", indiquait le gouvernement le 29 juin dernier, à l'annonce des nouvelles mesures, précisant la décision de suspendre, "pour une durée de 15 jours dans les wilayas qui connaissent une circulation active du virus, des activités suivantes : les marchés et souks hebdomadaires, les marchés à bestiaux et les centres commerciaux et les lieux de concentration de commerces". A Alger, l'une des deux wilayas les plus touchées d'Algérie avec Blida, le wali a décidé le 1er juillet dernier d'interdire les fêtes telles que les mariages, circoncisions et autres ainsi que tous types de rassemblements familiaux. Le port du masque de protection est quant à lui obligatoire dans la rue et dans les voitures pour tous les citoyens, tandis que tout contrevenant sera verbalisé. Une mesure similaire a été décidée dans le jours qui ont suivi dans plusieurs wilayas. C'est le cas, notamment des wilayas d'Annaba, de Bejaia et Tizi-Ouzou. Tous ont émis des arrêtés interdisant l'organisation des fêtes de mariages et la suspension temporaire de l'établissement des actes de mariage par les mairies ainsi que l'interdiction des fêtes de circoncision. Outre l'interdiction des mariages et la suspension de la délivrance des actes de mariages par les mairies, des walis ont décidé aussi de fermer les marchés hebdomadaires à bestiaux, alors que l'Aïd-el- Kebir approche. En plus de la promiscuité, l'autre danger sanitaire que représente ces marchés vient du rituel qui consiste à palper le mouton et à manipuler sa toison, préviennent les vétérinaires. Ces spécialistes considèrent la toison du mouton comme un support de transmission du virus au même titre quetous les supports inertes où le virus peut survivre, comme les pièces de monnaie, les poignées de porte, les rampes d'escalier, les vêtements, etc...