Le premier vaccin russe contre le nouveau coronavirus, créé par des spécialistes militaires et des scientifiques du Centre national de recherche de Gamaleya pour l'épidémiologie et la microbiologie, est prêt, a déclaré le premier Vice-ministre de la Défense, Ruslan Tsalikov, ce mardi. Le premier vaccin russe contre le nouveau coronavirus, créé par des spécialistes militaires et des scientifiques du Centre national de recherche de Gamaleya pour l'épidémiologie et la microbiologie, est prêt, a déclaré le premier Vice-ministre de la Défense, Ruslan Tsalikov, ce mardi. Le ministère de la Défense a rapporté ce lundi, que les essais cliniques du vaccin contre le Covid-19 sur des volontaires s'étaient achevés avec succès. Les documents d'enregistrement du vaccin avaient été soumis au ministère de la Santé le 30 juin dernier, a rappelé la même agence. "Les évaluations finales des résultats des tests, par nos spécialistes et scientifiques du Centre national de recherche, ont déjà été faites [...] Au moment de la libération, tous les volontaires, sans exception, ont développé une immunité contre le coronavirus et se sont sentis normaux. Ainsi, le premier vaccin domestique contre la nouvelle infection au coronavirus, est prêt" a affirmé M. Tsalikov. En juin, le ministère a délivré un permis pour les essais cliniques de vaccins liquides et lyophilisés mis au point par le Centre national de recherche Gamaleya pour l'épidémiologie et la microbiologie, conjointement avec l'Institut de recherche N°48 du ministère russe de la Défense, a précisé l'agence TASS, qui rappelle que le vaccin liquide est testé sur 43 volontaires à l'hôpital militaire de Burdenko et le vaccin lyophilisé est testé à l'Université de Sechenov, également sur 43 volontaires. D'après la directrice du Centre d'étude clinique des médicaments, de l'université Setchenov, Elena Smoliartchouk, tous les volontaires ayant participé aux tests du vaccin contre le virus avaient développé une immunité, sans effets secondaires. Ainsi, le dernier groupe de volontaires a quitté l'hôpital militaire ce lundi 20 juillet : "Aucun effet secondaire, complication ou réaction indésirable, aucune plainte relative à la santé de la part des volontaires n'a été constatée au moment de leur sortie", a précisé un communiqué de la Défense russe, publié le même jour. "De bonnes nouvelles" en provenance de l'Université d'Oxford Les chercheurs de l'Université d'Oxford, (Royaume-Uni), ont annoncé, ce lundi 20 juillet, de très bonnes nouvelles concernant le développement du vaccin contre le coronavirus (Covid-19). Selon les résultats d'un essai clinique publié par les chercheurs dans la revue médicale "The Lancet", le vaccin développé par l'université britannique a produit une démontré sa sûreté pour les patients. "Le vaccin développé par l'université d'Oxford, en partenariat avec le groupe pharmaceutique AstraZeneca, a généré une forte réponse immunitaire, dans un essai sur plus de 1.000 patients", a précisé la même source. "Si notre vaccin s'avère efficace, c'est une option prometteuse, car ce type de vaccin peut être produit à grande échelle", a commenté Sarah Gilbert, chercheuse à l'université d'Oxford. De son coté, le chef de l'Institut Jenner de l'Université d'Oxford, le docteur Adrian Hill, s'est réjoui des résultats de ce vaccin, soulignant que les chercheurs devraient disposer de suffisamment de données d'ici la fin de l'année, pour déterminer si une campagne de vaccination massive devrait être lancée. Pour rappel, le groupe pharmaceutique AstraZeneca, qui collabore avec Oxford, s'est engagée à produire 2 milliards de doses du vaccin. Le ministère de la Défense a rapporté ce lundi, que les essais cliniques du vaccin contre le Covid-19 sur des volontaires s'étaient achevés avec succès. Les documents d'enregistrement du vaccin avaient été soumis au ministère de la Santé le 30 juin dernier, a rappelé la même agence. "Les évaluations finales des résultats des tests, par nos spécialistes et scientifiques du Centre national de recherche, ont déjà été faites [...] Au moment de la libération, tous les volontaires, sans exception, ont développé une immunité contre le coronavirus et se sont sentis normaux. Ainsi, le premier vaccin domestique contre la nouvelle infection au coronavirus, est prêt" a affirmé M. Tsalikov. En juin, le ministère a délivré un permis pour les essais cliniques de vaccins liquides et lyophilisés mis au point par le Centre national de recherche Gamaleya pour l'épidémiologie et la microbiologie, conjointement avec l'Institut de recherche N°48 du ministère russe de la Défense, a précisé l'agence TASS, qui rappelle que le vaccin liquide est testé sur 43 volontaires à l'hôpital militaire de Burdenko et le vaccin lyophilisé est testé à l'Université de Sechenov, également sur 43 volontaires. D'après la directrice du Centre d'étude clinique des médicaments, de l'université Setchenov, Elena Smoliartchouk, tous les volontaires ayant participé aux tests du vaccin contre le virus avaient développé une immunité, sans effets secondaires. Ainsi, le dernier groupe de volontaires a quitté l'hôpital militaire ce lundi 20 juillet : "Aucun effet secondaire, complication ou réaction indésirable, aucune plainte relative à la santé de la part des volontaires n'a été constatée au moment de leur sortie", a précisé un communiqué de la Défense russe, publié le même jour. "De bonnes nouvelles" en provenance de l'Université d'Oxford Les chercheurs de l'Université d'Oxford, (Royaume-Uni), ont annoncé, ce lundi 20 juillet, de très bonnes nouvelles concernant le développement du vaccin contre le coronavirus (Covid-19). Selon les résultats d'un essai clinique publié par les chercheurs dans la revue médicale "The Lancet", le vaccin développé par l'université britannique a produit une démontré sa sûreté pour les patients. "Le vaccin développé par l'université d'Oxford, en partenariat avec le groupe pharmaceutique AstraZeneca, a généré une forte réponse immunitaire, dans un essai sur plus de 1.000 patients", a précisé la même source. "Si notre vaccin s'avère efficace, c'est une option prometteuse, car ce type de vaccin peut être produit à grande échelle", a commenté Sarah Gilbert, chercheuse à l'université d'Oxford. De son coté, le chef de l'Institut Jenner de l'Université d'Oxford, le docteur Adrian Hill, s'est réjoui des résultats de ce vaccin, soulignant que les chercheurs devraient disposer de suffisamment de données d'ici la fin de l'année, pour déterminer si une campagne de vaccination massive devrait être lancée. Pour rappel, le groupe pharmaceutique AstraZeneca, qui collabore avec Oxford, s'est engagée à produire 2 milliards de doses du vaccin.