637.538 candidats, scolarisés et libres, sont attendus aujourd'hui dimanche aux épreuves du Baccalauréat, session septembre 2020, qui s'étaleront sur cinq jours, tandis que les résultats seront annoncés fin octobre prochain. 637.538 candidats, scolarisés et libres, sont attendus aujourd'hui dimanche aux épreuves du Baccalauréat, session septembre 2020, qui s'étaleront sur cinq jours, tandis que les résultats seront annoncés fin octobre prochain. Le coup d'envoi de cet examen sera donné à partir d'Annaba par le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, accompagné du ministre de l'Education nationale, Mohamed Ouadjaout. Les candidats inscrits, dont le nombre s'élève à 637.538 dont 413.870 candidats scolarisés et 223.668 candidats libres, seront encadrés par 192.300 enseignants répartis sur 2.261 centres d'examen. Le nombre des centres de collecte et de codage s'élève à 18. L'Office national des examens et concours (Onec) a consacré 18 centres à l'opération de correction descopies pour laquelle 48.000 enseignants ont été mobilisés. Les sujets de l'examen ont été limités aux cours dispensés en présentiel durant les 1er et 2e trimestres de l'année scolaire 2019- 2020, a rassuré le ministre de l'Education. Le ministre avait rappelé les mesures organisationnelles "exceptionnelles" prises en vue d'assurer le bon déroulement de cet examen, compte tenu de la conjoncture sanitaire induite par la propagation du nouveau coronavirus. Le secteur avait élaboré quatre protocoles sanitaires approuvés par le ministère de la Santé, en vue de protéger les candidats et les encadreurs mais également pour éviter la propagation de la pandémie, à travers l'engagement du gouvernement à réunir tous les moyens de prévention au niveau de tous les centres d'examen que compte le pays. Dans le cadre de la lutte contre la fraude aux examens, la préservation de leur crédibilité et la consécration du principe d'égalité des chances, les autorités ont criminalisé toute forme de fraude et de triche aux examens scolaires, en introduisant des sanctions dans le code pénal. Ces sanctions, qui dépassent dorénavant les peines administratives, sont devenues également judiciaires. Pour rappel, le ministère de l'Educationnationale avait mis en place, le 19 août dernier, un protocole préventif, avant la réouverture des établissements d'enseignement pour les révisions. L e Conseil des ministres, réuni le 10 mai ernier sous la présidence du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait décidé du report au mois de septembre, de l'examen du Baccalauréat en raison de la situation sanitaire prévalant dans le pays. Le coup d'envoi de cet examen sera donné à partir d'Annaba par le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, accompagné du ministre de l'Education nationale, Mohamed Ouadjaout. Les candidats inscrits, dont le nombre s'élève à 637.538 dont 413.870 candidats scolarisés et 223.668 candidats libres, seront encadrés par 192.300 enseignants répartis sur 2.261 centres d'examen. Le nombre des centres de collecte et de codage s'élève à 18. L'Office national des examens et concours (Onec) a consacré 18 centres à l'opération de correction descopies pour laquelle 48.000 enseignants ont été mobilisés. Les sujets de l'examen ont été limités aux cours dispensés en présentiel durant les 1er et 2e trimestres de l'année scolaire 2019- 2020, a rassuré le ministre de l'Education. Le ministre avait rappelé les mesures organisationnelles "exceptionnelles" prises en vue d'assurer le bon déroulement de cet examen, compte tenu de la conjoncture sanitaire induite par la propagation du nouveau coronavirus. Le secteur avait élaboré quatre protocoles sanitaires approuvés par le ministère de la Santé, en vue de protéger les candidats et les encadreurs mais également pour éviter la propagation de la pandémie, à travers l'engagement du gouvernement à réunir tous les moyens de prévention au niveau de tous les centres d'examen que compte le pays. Dans le cadre de la lutte contre la fraude aux examens, la préservation de leur crédibilité et la consécration du principe d'égalité des chances, les autorités ont criminalisé toute forme de fraude et de triche aux examens scolaires, en introduisant des sanctions dans le code pénal. Ces sanctions, qui dépassent dorénavant les peines administratives, sont devenues également judiciaires. Pour rappel, le ministère de l'Educationnationale avait mis en place, le 19 août dernier, un protocole préventif, avant la réouverture des établissements d'enseignement pour les révisions. L e Conseil des ministres, réuni le 10 mai ernier sous la présidence du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait décidé du report au mois de septembre, de l'examen du Baccalauréat en raison de la situation sanitaire prévalant dans le pays.