Les résultats du dernier référendum ont consacré un "Oui" massif de 66,80 % en faveur de la Constitution. Avec un taux de participation de 23,70 %, les Algériens ont exprimé leur intention pour un changement de la loi fondamentale et ce, malgré la crise sanitaire. Les résultats du dernier référendum ont consacré un "Oui" massif de 66,80 % en faveur de la Constitution. Avec un taux de participation de 23,70 %, les Algériens ont exprimé leur intention pour un changement de la loi fondamentale et ce, malgré la crise sanitaire. Face à la presse, le président de l'Autorité nationale indépendante des élections, Mohamed Charfi, annoncé les résultats de l'élection du 1er novembre dernier où 66,80 % d'électeurs ont voté "Oui" et seulement 33,20 % ont exprimé un "Non". Détaillant les chiffres, le président de l'Anie a confirmé que le nombre de votants aynt voté "Oui" est de 3.355.518, les voix pour le "Non" sont de 1.676.867 sur un nombre de voix exprimées de 5.636.172. Une différence qui a appuyé le projet de la nouvelle Constitution et qui donne ainsi un quitus pour consacrer ce projet comme nouvelle loi fondamentale pour le pays. l'orateur estime que "c'est un taux acceptable dans ce genre de scrutin". En ajoutant que "le taux de 23,7 % démontre une intention de changement et une rançon de la démocratie". Selon lui, il reste important de préciser que "le recul de ce taux, c'est la différence entre un scrutin et un référendum". Interrogé sur les dépassements ayant été enregistrésdurant le vote, Mohamed Charfi a confirmé 2 cas de fraude dont 1 à El- Bayadh et un autre à Mascara, les auteurs seront déférés devant les parquets judiciaires. Ceci étant, le premier responsable de l'Anie considère que le vote s'est déroulé dans de bonnes conditions. "Nous estimons que c'est le peuple qui reste libre et souverain dans ses choix électoraux" martèle-t-il. En rappelant que les "résultats de l'élection présidentielle de 2019 ont été un défi dans le contexte de l'époque". Selon l'orateur "ce taux exprime un défi et une plusvalue pour le contexte politique et sanitaire actuel". Pour lui "la détermination du président de la République à organiser une telle élection est inscrite comme décision sage et concertée". Pour la première fois, "la société civile a participé à cette élection à travers une évaluation de la gouvernance par le biais de la démocratie participative. Il y a ceux qui étaient partisans du Non et ceux qui militaient pour le Oui en toute liberté". En ce qui concerne le vote de la diaspora algérienne, Charfi souligne que "l'immigration algérienne a voté en deçà de ce qui était attendu dans un contexte drastique de confinement sanitaire car il est question d'une amplitude de la montée de la contamination. Les émigrés sont obligés de se déplacer loin car il n'existe pas de bureau de vote de proximité". Auparavant, les taux étaient ridicules et prêtaient à équivoque. Du côté de l'organisation, le conférencier a indiqué que "les portes sont ouvertes aux médias et aux citoyens. Le covid-19 n'a pas influencé sur le déroulement du scrutin. L'Etat a veillé au respect du protocole sanitaire à travers la mobilisationdes équipements de gestes barrières". Pour ce qui est de la couverture médiatique durant l'élection et certaines anomalies, Mohamed Charfi a démenti "l'intention de l'Anie de procéder à un quelconque verrouillage de l'information". Ceci est venu du fait que le président de l'autorité aurait refusé de rencontrer la presse durant le jour du vote. "Je suis un militant pour la liberté de la presse", a-t-il affirmé. Mohamed charfi se félicite du Hirak "Votre appui citoyen restera une référence nationale pour l'avenir car l'expression du suffrage pour la Constitution est un processus récompensant le Hirak dans une démarche pacifique de changement". C'est ainsi que le président de l'Anie a tenu à rendre hommage au Hirak du 22 février. Il a considéré dans ce cadre que "le changement à travers ce projet constitutionnel s'est traduit dans le cadre d'une campagne électorale assez significative". Il y a eu selon lui 965 meetings populaires, 48 meetings de partis politiqueset 57 campagnes de proximité organisées par les membres du gouvernement. "L'Anie a accompagné ce processus en toute transparence". Il estime en effet que "ces résultats consacrent une réussite dans le processus de changement qui est entamé dans le cadre constitutionnel Face à la presse, le président de l'Autorité nationale indépendante des élections, Mohamed Charfi, annoncé les résultats de l'élection du 1er novembre dernier où 66,80 % d'électeurs ont voté "Oui" et seulement 33,20 % ont exprimé un "Non". Détaillant les chiffres, le président de l'Anie a confirmé que le nombre de votants aynt voté "Oui" est de 3.355.518, les voix pour le "Non" sont de 1.676.867 sur un nombre de voix exprimées de 5.636.172. Une différence qui a appuyé le projet de la nouvelle Constitution et qui donne ainsi un quitus pour consacrer ce projet comme nouvelle loi fondamentale pour le pays. l'orateur estime que "c'est un taux acceptable dans ce genre de scrutin". En ajoutant que "le taux de 23,7 % démontre une intention de changement et une rançon de la démocratie". Selon lui, il reste important de préciser que "le recul de ce taux, c'est la différence entre un scrutin et un référendum". Interrogé sur les dépassements ayant été enregistrésdurant le vote, Mohamed Charfi a confirmé 2 cas de fraude dont 1 à El- Bayadh et un autre à Mascara, les auteurs seront déférés devant les parquets judiciaires. Ceci étant, le premier responsable de l'Anie considère que le vote s'est déroulé dans de bonnes conditions. "Nous estimons que c'est le peuple qui reste libre et souverain dans ses choix électoraux" martèle-t-il. En rappelant que les "résultats de l'élection présidentielle de 2019 ont été un défi dans le contexte de l'époque". Selon l'orateur "ce taux exprime un défi et une plusvalue pour le contexte politique et sanitaire actuel". Pour lui "la détermination du président de la République à organiser une telle élection est inscrite comme décision sage et concertée". Pour la première fois, "la société civile a participé à cette élection à travers une évaluation de la gouvernance par le biais de la démocratie participative. Il y a ceux qui étaient partisans du Non et ceux qui militaient pour le Oui en toute liberté". En ce qui concerne le vote de la diaspora algérienne, Charfi souligne que "l'immigration algérienne a voté en deçà de ce qui était attendu dans un contexte drastique de confinement sanitaire car il est question d'une amplitude de la montée de la contamination. Les émigrés sont obligés de se déplacer loin car il n'existe pas de bureau de vote de proximité". Auparavant, les taux étaient ridicules et prêtaient à équivoque. Du côté de l'organisation, le conférencier a indiqué que "les portes sont ouvertes aux médias et aux citoyens. Le covid-19 n'a pas influencé sur le déroulement du scrutin. L'Etat a veillé au respect du protocole sanitaire à travers la mobilisationdes équipements de gestes barrières". Pour ce qui est de la couverture médiatique durant l'élection et certaines anomalies, Mohamed Charfi a démenti "l'intention de l'Anie de procéder à un quelconque verrouillage de l'information". Ceci est venu du fait que le président de l'autorité aurait refusé de rencontrer la presse durant le jour du vote. "Je suis un militant pour la liberté de la presse", a-t-il affirmé. Mohamed charfi se félicite du Hirak "Votre appui citoyen restera une référence nationale pour l'avenir car l'expression du suffrage pour la Constitution est un processus récompensant le Hirak dans une démarche pacifique de changement". C'est ainsi que le président de l'Anie a tenu à rendre hommage au Hirak du 22 février. Il a considéré dans ce cadre que "le changement à travers ce projet constitutionnel s'est traduit dans le cadre d'une campagne électorale assez significative". Il y a eu selon lui 965 meetings populaires, 48 meetings de partis politiqueset 57 campagnes de proximité organisées par les membres du gouvernement. "L'Anie a accompagné ce processus en toute transparence". Il estime en effet que "ces résultats consacrent une réussite dans le processus de changement qui est entamé dans le cadre constitutionnel