Profitant de la pandémie virale, des laboratoires privés affichent des tarifs exorbitants de tests PCR, scanners et autres examens. Profitant de la pandémie virale, des laboratoires privés affichent des tarifs exorbitants de tests PCR, scanners et autres examens. Des associations de défense des consommateurs dénoncent ce business qui révèle l'autre facette de l'affairisme morbide. Le constat est révélé par l'association de protection des consommateurs et de l'environnement (Apoce) qui a déploré que "les prix des examens radiologiques et de tests pour la Covid-19 sont revus à la hausse pénalisant ainsi le citoyen de droit à la santé de façon équitable". Il n'estpas normal, s'interroge le docteur Mustapha Zebdi président de l'association sur "les écarts entre les prix de la PCR et de scanners soient creusés entre un laboratoire et un autre". Ainsi, un test de la PCR varie entre12.000 et 20.000 DA alors qu'un scanner coûterait entre 10.000 et 12.000 DA. Pis encore, une simple analyse de sang pour le test Covid se situerait entre 1.500 et 6.000 DA. Le président de l'Apoce se dit contre de tels tarifs qui "mettent à rude épreuve la bourse des citoyens profitant de la conjoncture où la demande sur les tests est en perpétuelle augmentation". La vague de pandémie virale qui sévit actuellement est une opportunité pour un "business" qui renseigne sur le diktat des laboratoires privés dans un tel contexte. Avec l'arrivée d'une vague plus virulente de contaminations du virus, l'Etat s'attendait à une complémentarité des laboratoires privés pour prendre en charge les examens médicaux dont les seuls laboratoires des hôpitaux étaient dépassés par l'ampleur de la demande.Les autorités qui avaient fait appel au privé, espéraient une perspective de solidarit dans ce contexte de la crise sanitaire où les structures publiques étaient débordées. Au mieux, le ministre de la Santé avait déclaré dernièrement que "l'Etat compte équiper tous les hôpitaux en équipements de tests PCR pour satisfaire toute la demande", sachant que plusieurs conventions avec des pays ont été signées pour l'acquisition d'un tel matériel. Pour le président de l'Apoce "les efforts entrepris par les pouvoirs publics pour contrer le virus et son expansion ne doivent pas être mis en déroute par de telles pratiques qui appellent les autorités à prendre en main cette situation". L'Etat, selon l'Association de défense des consommateurs, doit "impérativement réguler ce marché et permettre aux citoyens des couches vulnérables d'avoir accès équitable à la santé". Des associations de défense des consommateurs dénoncent ce business qui révèle l'autre facette de l'affairisme morbide. Le constat est révélé par l'association de protection des consommateurs et de l'environnement (Apoce) qui a déploré que "les prix des examens radiologiques et de tests pour la Covid-19 sont revus à la hausse pénalisant ainsi le citoyen de droit à la santé de façon équitable". Il n'estpas normal, s'interroge le docteur Mustapha Zebdi président de l'association sur "les écarts entre les prix de la PCR et de scanners soient creusés entre un laboratoire et un autre". Ainsi, un test de la PCR varie entre12.000 et 20.000 DA alors qu'un scanner coûterait entre 10.000 et 12.000 DA. Pis encore, une simple analyse de sang pour le test Covid se situerait entre 1.500 et 6.000 DA. Le président de l'Apoce se dit contre de tels tarifs qui "mettent à rude épreuve la bourse des citoyens profitant de la conjoncture où la demande sur les tests est en perpétuelle augmentation". La vague de pandémie virale qui sévit actuellement est une opportunité pour un "business" qui renseigne sur le diktat des laboratoires privés dans un tel contexte. Avec l'arrivée d'une vague plus virulente de contaminations du virus, l'Etat s'attendait à une complémentarité des laboratoires privés pour prendre en charge les examens médicaux dont les seuls laboratoires des hôpitaux étaient dépassés par l'ampleur de la demande.Les autorités qui avaient fait appel au privé, espéraient une perspective de solidarit dans ce contexte de la crise sanitaire où les structures publiques étaient débordées. Au mieux, le ministre de la Santé avait déclaré dernièrement que "l'Etat compte équiper tous les hôpitaux en équipements de tests PCR pour satisfaire toute la demande", sachant que plusieurs conventions avec des pays ont été signées pour l'acquisition d'un tel matériel. Pour le président de l'Apoce "les efforts entrepris par les pouvoirs publics pour contrer le virus et son expansion ne doivent pas être mis en déroute par de telles pratiques qui appellent les autorités à prendre en main cette situation". L'Etat, selon l'Association de défense des consommateurs, doit "impérativement réguler ce marché et permettre aux citoyens des couches vulnérables d'avoir accès équitable à la santé".