Le nombre des cas confirmés suit une courbe haussière depuis quelques semaines mais évoluait, au quotidien, en dents de scie, sans dépasser la barre des 200 cas. Pour la première fois depuis mai 2020, le nombre des nouveaux malades est passé, le 20 mars 2021 au dessous des 100 cas. Le nombre des cas confirmés suit une courbe haussière depuis quelques semaines mais évoluait, au quotidien, en dents de scie, sans dépasser la barre des 200 cas. Pour la première fois depuis mai 2020, le nombre des nouveaux malades est passé, le 20 mars 2021 au dessous des 100 cas. La dernière fois que l'Algérie a enregistrée plus de 200 cas, remonte au 13 février 2021, avec210 annoncés. Par ailleurs, le nombre de patients en soins intensifs est de 20. Les nouvelles contaminations aux variants en hausse Le nouveau bilan des contaminations franchit ainsi un autre cap. Des spécialistes alertaient sans cesse ces dernières semaines, sur une éventuelle 3e vague du coronavirus en Algérie. Leur crainte étai notamment alimentée par la hausse des variants britannique et nigérian dans le pays. 166 nouveaux cas de contamination par les variants britannique et nigérian du coronavirus ont été confirmés, a annoncé jeudi 22 avril 2021 l'Institut Pasteur d'Algérie dans un communiqué de presse. Le nombre total des cas de contaminations par les variants s'élève, désormais, à 143 pour le britannique et 230 pour le nigérian. Le bilan poursuit sa hausse alors que la campagne de vaccination évolue à un rythme très lent, selon les praticiens. L'hôpital d'El Eulma à Sétif saturé Le Dr Nour El-Hoda Adhimi, chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital Saroub El-Khathir d'El-Eulma à Sétif, a confirmé hier mardi, l'augmentation significative du nombre de personnes infectées par le coronavirus et l'enregistrement des décès dus à des complications du virus, en raison du non-respect des règles préventives et du relâchement continue des citoyens dans la plupart des espaces. Dans une déclaration à la Radio régionale de Sétif, le Dr Adhimi a expliqué que les services des maladies infectieuses et thoraciques de l'hôpital d'El-Eulma sont devenus saturés, et dans le cas où l'indice des victimes continue d'augmenter, l'ouverture d'autres services pour prendre en charge les blessés devient plus que nécessaire. Augmentation des malades en détresse respiratoire Le nombre d'admissions hospitalières des patients atteints du coronavirus continu d'augmenter, affirme le docteur Salim Benteldjoune, coordinateur du service COVID 19 au CHU de Constantine. Intervenant, hier, sur les ondes de la Chaine 3 de la Radio algérienne, celui-ci, précise que la particularité qui est notée ces dernier jours, c'est la circulation du virus chez les jeunes. "Avant l'âge des personne hospitalisées en infectieux tourne entre 70 et 90 ans, maintenant on est arrivé même à 33 ans", alerte t-il. Pour la symptomatologie clinique, le docteur Benteldjoune, indique que les choses n'ont pas changés, mais le nombre de malades qui viennent en stade terminal, c'est-à-dire en détresse respiratoire, qui nécessite directement la réanimation est plus important actuellement. Ce que t que je demande à toute la population, c'est de revenir aux moyens de protection, dit-il. "Actuellement, le seul et unique moyen sûr pour briser la chaîne de contamination est l'observation des gestes barrières préconisés par les autorités publics et qui doivent être obligatoires", propose t-il. La dernière fois que l'Algérie a enregistrée plus de 200 cas, remonte au 13 février 2021, avec210 annoncés. Par ailleurs, le nombre de patients en soins intensifs est de 20. Les nouvelles contaminations aux variants en hausse Le nouveau bilan des contaminations franchit ainsi un autre cap. Des spécialistes alertaient sans cesse ces dernières semaines, sur une éventuelle 3e vague du coronavirus en Algérie. Leur crainte étai notamment alimentée par la hausse des variants britannique et nigérian dans le pays. 166 nouveaux cas de contamination par les variants britannique et nigérian du coronavirus ont été confirmés, a annoncé jeudi 22 avril 2021 l'Institut Pasteur d'Algérie dans un communiqué de presse. Le nombre total des cas de contaminations par les variants s'élève, désormais, à 143 pour le britannique et 230 pour le nigérian. Le bilan poursuit sa hausse alors que la campagne de vaccination évolue à un rythme très lent, selon les praticiens. L'hôpital d'El Eulma à Sétif saturé Le Dr Nour El-Hoda Adhimi, chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital Saroub El-Khathir d'El-Eulma à Sétif, a confirmé hier mardi, l'augmentation significative du nombre de personnes infectées par le coronavirus et l'enregistrement des décès dus à des complications du virus, en raison du non-respect des règles préventives et du relâchement continue des citoyens dans la plupart des espaces. Dans une déclaration à la Radio régionale de Sétif, le Dr Adhimi a expliqué que les services des maladies infectieuses et thoraciques de l'hôpital d'El-Eulma sont devenus saturés, et dans le cas où l'indice des victimes continue d'augmenter, l'ouverture d'autres services pour prendre en charge les blessés devient plus que nécessaire. Augmentation des malades en détresse respiratoire Le nombre d'admissions hospitalières des patients atteints du coronavirus continu d'augmenter, affirme le docteur Salim Benteldjoune, coordinateur du service COVID 19 au CHU de Constantine. Intervenant, hier, sur les ondes de la Chaine 3 de la Radio algérienne, celui-ci, précise que la particularité qui est notée ces dernier jours, c'est la circulation du virus chez les jeunes. "Avant l'âge des personne hospitalisées en infectieux tourne entre 70 et 90 ans, maintenant on est arrivé même à 33 ans", alerte t-il. Pour la symptomatologie clinique, le docteur Benteldjoune, indique que les choses n'ont pas changés, mais le nombre de malades qui viennent en stade terminal, c'est-à-dire en détresse respiratoire, qui nécessite directement la réanimation est plus important actuellement. Ce que t que je demande à toute la population, c'est de revenir aux moyens de protection, dit-il. "Actuellement, le seul et unique moyen sûr pour briser la chaîne de contamination est l'observation des gestes barrières préconisés par les autorités publics et qui doivent être obligatoires", propose t-il.