Le ministre de la Communication et Porte-parole de gouvernement, Ammar Belhimer, a évoqué hier la date de la tenue des élections locales en Algérie. Le ministre de la Communication et Porte-parole de gouvernement, Ammar Belhimer, a évoqué hier la date de la tenue des élections locales en Algérie. Le ministre de la Communication et Porte-parole de gouvernement, Ammar Belhimer a révélé que les élections locales 2021 auront lieu en septembre prochain. Dans ce sillage, Ammar Belhimer affirme que "la prochaine APN (Assemblée populaire nationale) aura une nouvelle configuration marquée par l'émergence de la société civile. On assistera à une nouvelle représentation politique adoubée d'une médiation sociale très forte", estime-t-il. En outre, Ammar Belhimer a affirmé que "la campagne électorale des législatives du 12 juin se tient de manière sereine et apaisée". "Peut-être qu'il y a moins d'affiches qu'auparavant, mais il s'agit d'une campagne économiquement proportionnelle aux moyens des candidats se limitant à la seule aide de l'Etat", a-t-il ajouté. Evoquant le scrutin du 12 juin, Belhimer a affirmé qu'"il faut qu'il se déroule dans la sérénité pour que les citoyens puissent exercer librement leur droit garanti par le Constitution", estimant, à ce propos, qu'"il faut réprimer pénalement avec la manière la plus sévère toute obstruction et toute action visant à empêcher les citoyens à exercer un acte aussi fondamental qu'est l'acte électoral". Le ministre de la Communication et Porte-parole de gouvernement, Ammar Belhimer a révélé que les élections locales 2021 auront lieu en septembre prochain. Dans ce sillage, Ammar Belhimer affirme que "la prochaine APN (Assemblée populaire nationale) aura une nouvelle configuration marquée par l'émergence de la société civile. On assistera à une nouvelle représentation politique adoubée d'une médiation sociale très forte", estime-t-il. En outre, Ammar Belhimer a affirmé que "la campagne électorale des législatives du 12 juin se tient de manière sereine et apaisée". "Peut-être qu'il y a moins d'affiches qu'auparavant, mais il s'agit d'une campagne économiquement proportionnelle aux moyens des candidats se limitant à la seule aide de l'Etat", a-t-il ajouté. Evoquant le scrutin du 12 juin, Belhimer a affirmé qu'"il faut qu'il se déroule dans la sérénité pour que les citoyens puissent exercer librement leur droit garanti par le Constitution", estimant, à ce propos, qu'"il faut réprimer pénalement avec la manière la plus sévère toute obstruction et toute action visant à empêcher les citoyens à exercer un acte aussi fondamental qu'est l'acte électoral".