Mohamed Charfi président de l'Autorité nationale de la surveillance des élections a indiqué hier lors de la conférence de presse au CIC que le FLN, le MSP, les indépendants et le Front El Moustakbal sont les partis qui ont eu le plus grand nombre de sièges parlementaires. Mohamed Charfi président de l'Autorité nationale de la surveillance des élections a indiqué hier lors de la conférence de presse au CIC que le FLN, le MSP, les indépendants et le Front El Moustakbal sont les partis qui ont eu le plus grand nombre de sièges parlementaires. En effet, le FLN a obtenu 105 sièges, 78 sièges pour les indépendants, 64 sièges pour le MSP et 48 sièges pour le front El Moustakbal. Ainsi, la surprise créée par les indépendants en se situant en deuxième position renseigne sur la nouvelle force politique qui devra siéger au Parlement. L'arrivée de MSP n'est pas une nouveauté attendu que le parti de Makri misait sur une majorité de sièges mais il devra se contenter de la troisième position seulement. Répondant à une question sur la faiblesse du taux de participation, Charfi a répondu : "Je ne veux pas m'impliquer sur qui qui vote ou qui ne vote pas. Je suis qualifié pour donner des résultats. Chacun est libre de choisir sa voie. Pour celui qui veut imposer son opinion sur les élections, ce n'est pas démocratique". La sortie visible et transparente des noms des gagnants de la liste électorale est vue comme transparent. Il faudra attendre le dernier P.-V pour annoncer les résultats officiellement. Ces P.-V ont aidé beaucoup le travail des dépouillements après 72 heures. Mohamed Charfi n'a pas cessé de louer les vertus du nouveau Parlement qu'il considère comme un saut qualitatif. Interrogé sur la fraude, le président de l'Anie a révélé que "les dépassements au nombre de 156 durant le déroulement du scrutin ont été sanctionnés car les fuites de noms, des tentatives de fraude. Le parquet général a enregistré 41 délits et devra poursuivre les auteurs en justice pour ces méfaits". Quelques indices sur la dernière élection Les derniers chiffres révèlent que 24.425,107 électeurs avec 61.918 bureaux de vote. "Il y a eu transparence du vote avec 496.397 encadreurs de surveillance des élections dont 429.893 pour les centres de vote. Ces indices révèlent l'importance de la transparence du processus électoral avec 5,625.324 voix exprimées, Un nouveau Parlement démocratique Arrivé en retard par rapport au temps prévu pour la conférence de presse, Mohamed Charfi a tenu à s'excuser car il devait attendre le dernier P.-V de la wilaya d'Oran. Une raison qui ne suffisait pas devant l'impatience des journalistes présents depuis 15h. Après, le président de l'instance de surveillance des élections a voulu dans une allocution à évoquer l'importance de cette élection. Il estime ainsi que "ce Parlement doit enregistrer une nouvelle gouvernance du pays et qui doit correspondre aux attentes citoyennes. Pour la première fois, de nouvelles normes édictées ont permis l'émergence en force de jeunes et de femmes. Il a avoué que la bataille n'était pas de tout repos pour un scrutin. Certaines circonscriptions électorales n'ont pas observé plus de 5 % des voix exprimées à l'exemple de Constantine qui n'a vu aucune liste majoritaire. Djelfa et Mostaganem ont permis l'émergence d'une seule liste majoritaire", assurait-il. En effet, le FLN a obtenu 105 sièges, 78 sièges pour les indépendants, 64 sièges pour le MSP et 48 sièges pour le front El Moustakbal. Ainsi, la surprise créée par les indépendants en se situant en deuxième position renseigne sur la nouvelle force politique qui devra siéger au Parlement. L'arrivée de MSP n'est pas une nouveauté attendu que le parti de Makri misait sur une majorité de sièges mais il devra se contenter de la troisième position seulement. Répondant à une question sur la faiblesse du taux de participation, Charfi a répondu : "Je ne veux pas m'impliquer sur qui qui vote ou qui ne vote pas. Je suis qualifié pour donner des résultats. Chacun est libre de choisir sa voie. Pour celui qui veut imposer son opinion sur les élections, ce n'est pas démocratique". La sortie visible et transparente des noms des gagnants de la liste électorale est vue comme transparent. Il faudra attendre le dernier P.-V pour annoncer les résultats officiellement. Ces P.-V ont aidé beaucoup le travail des dépouillements après 72 heures. Mohamed Charfi n'a pas cessé de louer les vertus du nouveau Parlement qu'il considère comme un saut qualitatif. Interrogé sur la fraude, le président de l'Anie a révélé que "les dépassements au nombre de 156 durant le déroulement du scrutin ont été sanctionnés car les fuites de noms, des tentatives de fraude. Le parquet général a enregistré 41 délits et devra poursuivre les auteurs en justice pour ces méfaits". Quelques indices sur la dernière élection Les derniers chiffres révèlent que 24.425,107 électeurs avec 61.918 bureaux de vote. "Il y a eu transparence du vote avec 496.397 encadreurs de surveillance des élections dont 429.893 pour les centres de vote. Ces indices révèlent l'importance de la transparence du processus électoral avec 5,625.324 voix exprimées, Un nouveau Parlement démocratique Arrivé en retard par rapport au temps prévu pour la conférence de presse, Mohamed Charfi a tenu à s'excuser car il devait attendre le dernier P.-V de la wilaya d'Oran. Une raison qui ne suffisait pas devant l'impatience des journalistes présents depuis 15h. Après, le président de l'instance de surveillance des élections a voulu dans une allocution à évoquer l'importance de cette élection. Il estime ainsi que "ce Parlement doit enregistrer une nouvelle gouvernance du pays et qui doit correspondre aux attentes citoyennes. Pour la première fois, de nouvelles normes édictées ont permis l'émergence en force de jeunes et de femmes. Il a avoué que la bataille n'était pas de tout repos pour un scrutin. Certaines circonscriptions électorales n'ont pas observé plus de 5 % des voix exprimées à l'exemple de Constantine qui n'a vu aucune liste majoritaire. Djelfa et Mostaganem ont permis l'émergence d'une seule liste majoritaire", assurait-il.