Depuis la démission de l'Allemand Horst Kohler en 2019, le poste d'envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental est resté vacant. Depuis la démission de l'Allemand Horst Kohler en 2019, le poste d'envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental est resté vacant. Depuis, l'Algérie n'a cessé d'appeler à nommer le remplaçant du diplomate allemand pour relancer le processus de résolution du conflit. Une demande réitérée à la mi-juin dernier par la voix de l'ambassadeur algérien à l'Onu, puis ce mercredi 14 juillet par le nouveau ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Celui-ci a participé, mardi et mercredi, à la Conférence ministérielle à mi-parcours du Mouvement des pays non-alignés (PNA). La conférence, qui s'est tenue par visioconférence sous la présidence de la République d'Azerbaïdjan, constitue la première sortie officielle au niveau international de Lamamra depuis son retour à la tête de la diplomatie algérienne il y a une semaine. Dans son intervention, Ramtane Lamamra a évoqué la question sahraouie et appelé la communauté internationale à accorder "une plus grande attention à la reprise du conflit armé entre le royaume du Maroc et le Front Polisario". Les hostilités avaient repris en novembre dernier lorsque les forces d'occupation marocaines avaient utilisé la force contre des civils sahraouis qui manifestaient dans la zone tampon de Guerguerat, au sud du Sahara occidental. Le front Polisario avait alors annoncé son retrait de l'accord de cessez- le-feu signé entre les deux parties en 1991. Lamamra a aussi réitéré l'appel de l'Algérie au secrétaire général de l'Onu à "accélérer la nomination de son envoyé personnel et à lancer un processus politique crédible entre les deux parties au conflit, dans le but de parvenir à une solution politique juste et durable qui assurera l'autodétermination" du peuple sahraoui. Usant d'un ton mesuré, Ramtane Lamamra a assuré que l'Algérie "continuera à promouvoir les valeurs du multilatéralisme dans tous ses efforts visant à faire avancer des solutions politiques et pacifiques aux crises dans son voisinage et au-delà, ainsi que dans ses nombreuses initiatives ayant pour objectif de stimuler l'intégration économique régionale et continentale". Outre la question sahraouie, l'autre crise dans le voisinage de l'Algérie est celle de la Libye. Concernant la question palestinienne, Lamamra a souligné "l'impératif de mettre fin à l'occupation afin de permettre au peuple palestinien de créer effectivement son Etat indépendant avec Al-Qods comme capitale", appelant les membres du Mouvement des pays non-alignés à "apporter leur soutien aux efforts internationaux visant à s'attaquer aux c uses profondes du conflit". Lamamra rappelle les "idéaux et les principes des PNA" Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra, qui pour rappel a pris part, par visioconférence, à la Conférence ministérielle des PNA, au cours de son intervention, a souligné "la nécessité pour tous les Etats membres du Mouvement de réaffirmer leur attachement aux idéaux et aux principes de celui-ci". Il a, au nom du président de la République Abdelmadjid Tebboune et du peuple algérien, rendu "un hommage bien mérité à tous les pères fondateurs du Mouvement, y compris les dirigeants du Mouvement de libération nationale algérien et du Gouvernement provisoire de la République algérienne". En outre, s'exprimant sur la crise sanitaire mondiale causée par la pandémie du Covid19, ainsi que sur les autres défis à caractère transnational, dont le phénomène du terrorisme, le crime organisé, le conflits armés et les changements climatiques, Lamamra a plaidé pour "la promotion de la coopération internationale et le renforcement du système multilatéral, dans le respect des objectifs et principes de la Charte des Nations unies". Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, a rappelé "le soutien constant apporté par le Mouvement des PNA depuis sa création aux causes justes de la décolonisation à travers le monde, en soulignant la nécessité pour celui-ci de demeurer solidaire avec les Peuples palestinien et sahraoui". Au sujet de la Palestine, le chef de la diplomatie algérienne a appelé les membres du Mouvement à "apporter leur soutien aux efforts internationaux visant à s'attaquer aux causes profondes du conflit". S'agissant du Sahara occidental, Lamamra a appelé le Secrétaire général de l'Onu à "accélérer la nomination de son Envoyé Personnel et à lancer un processus politique crédible entre les deux parties au conflit, dans le but de parvenir à une solution politique juste et durable qui assurera l'autodétermination du peuple de la République Sahraouie, membre fondateur de l'Union Africaine (UA)". Enfin, il convient de noter que la Conférence a été conclue par l'adoptio d'une Déclaration politique, dans laquelle les participants ont réaffirmé "la validité de l'ensemble des principes fondateurs du Mouvement, ainsi que leur volonté d'oeuvrer afin d'instaurer des relations internationales équilibrées, pacifiques et démocratiques". Depuis, l'Algérie n'a cessé d'appeler à nommer le remplaçant du diplomate allemand pour relancer le processus de résolution du conflit. Une demande réitérée à la mi-juin dernier par la voix de l'ambassadeur algérien à l'Onu, puis ce mercredi 14 juillet par le nouveau ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Celui-ci a participé, mardi et mercredi, à la Conférence ministérielle à mi-parcours du Mouvement des pays non-alignés (PNA). La conférence, qui s'est tenue par visioconférence sous la présidence de la République d'Azerbaïdjan, constitue la première sortie officielle au niveau international de Lamamra depuis son retour à la tête de la diplomatie algérienne il y a une semaine. Dans son intervention, Ramtane Lamamra a évoqué la question sahraouie et appelé la communauté internationale à accorder "une plus grande attention à la reprise du conflit armé entre le royaume du Maroc et le Front Polisario". Les hostilités avaient repris en novembre dernier lorsque les forces d'occupation marocaines avaient utilisé la force contre des civils sahraouis qui manifestaient dans la zone tampon de Guerguerat, au sud du Sahara occidental. Le front Polisario avait alors annoncé son retrait de l'accord de cessez- le-feu signé entre les deux parties en 1991. Lamamra a aussi réitéré l'appel de l'Algérie au secrétaire général de l'Onu à "accélérer la nomination de son envoyé personnel et à lancer un processus politique crédible entre les deux parties au conflit, dans le but de parvenir à une solution politique juste et durable qui assurera l'autodétermination" du peuple sahraoui. Usant d'un ton mesuré, Ramtane Lamamra a assuré que l'Algérie "continuera à promouvoir les valeurs du multilatéralisme dans tous ses efforts visant à faire avancer des solutions politiques et pacifiques aux crises dans son voisinage et au-delà, ainsi que dans ses nombreuses initiatives ayant pour objectif de stimuler l'intégration économique régionale et continentale". Outre la question sahraouie, l'autre crise dans le voisinage de l'Algérie est celle de la Libye. Concernant la question palestinienne, Lamamra a souligné "l'impératif de mettre fin à l'occupation afin de permettre au peuple palestinien de créer effectivement son Etat indépendant avec Al-Qods comme capitale", appelant les membres du Mouvement des pays non-alignés à "apporter leur soutien aux efforts internationaux visant à s'attaquer aux c uses profondes du conflit". Lamamra rappelle les "idéaux et les principes des PNA" Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra, qui pour rappel a pris part, par visioconférence, à la Conférence ministérielle des PNA, au cours de son intervention, a souligné "la nécessité pour tous les Etats membres du Mouvement de réaffirmer leur attachement aux idéaux et aux principes de celui-ci". Il a, au nom du président de la République Abdelmadjid Tebboune et du peuple algérien, rendu "un hommage bien mérité à tous les pères fondateurs du Mouvement, y compris les dirigeants du Mouvement de libération nationale algérien et du Gouvernement provisoire de la République algérienne". En outre, s'exprimant sur la crise sanitaire mondiale causée par la pandémie du Covid19, ainsi que sur les autres défis à caractère transnational, dont le phénomène du terrorisme, le crime organisé, le conflits armés et les changements climatiques, Lamamra a plaidé pour "la promotion de la coopération internationale et le renforcement du système multilatéral, dans le respect des objectifs et principes de la Charte des Nations unies". Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, a rappelé "le soutien constant apporté par le Mouvement des PNA depuis sa création aux causes justes de la décolonisation à travers le monde, en soulignant la nécessité pour celui-ci de demeurer solidaire avec les Peuples palestinien et sahraoui". Au sujet de la Palestine, le chef de la diplomatie algérienne a appelé les membres du Mouvement à "apporter leur soutien aux efforts internationaux visant à s'attaquer aux causes profondes du conflit". S'agissant du Sahara occidental, Lamamra a appelé le Secrétaire général de l'Onu à "accélérer la nomination de son Envoyé Personnel et à lancer un processus politique crédible entre les deux parties au conflit, dans le but de parvenir à une solution politique juste et durable qui assurera l'autodétermination du peuple de la République Sahraouie, membre fondateur de l'Union Africaine (UA)". Enfin, il convient de noter que la Conférence a été conclue par l'adoptio d'une Déclaration politique, dans laquelle les participants ont réaffirmé "la validité de l'ensemble des principes fondateurs du Mouvement, ainsi que leur volonté d'oeuvrer afin d'instaurer des relations internationales équilibrées, pacifiques et démocratiques".