La célébration de l'Aïd el-Adha, fête religieuse pour les musulmans, représente un coût souvent lourd à supporter pour les familles algériennes, notamment en cette crise du Covid-19. La célébration de l'Aïd el-Adha, fête religieuse pour les musulmans, représente un coût souvent lourd à supporter pour les familles algériennes, notamment en cette crise du Covid-19. À quelques jours de la célébration de l'Aïd el-Adha, le marché du mouton de l'Aïd est, cette année, quasiment inaccessible pour les bourses moyennes. Les citoyens se plaignent d'une hausse des prix de l'ovin qui dépasse, dans certaines régions du pays, 20 % Le sous-directeur de la santé animalière à la direction des services vétérinaires au ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Amalou Kaci, a affirmé que "la pandémie du corona n'a aucun impact sur la hausse des prix des sacrifices", expliquant que "plus de 4 millions de têtes à vendre sont soumises à la demande". Hier, Amalou Kaci a confirmé, à son arrivée en tant qu'invité à la Radio nationale, que la "question de la hausse des prix reste une question d'offre et de demande", soulignant "l'adoption de 768 points pour la vente des ovins en Algérie en prévision de l'Aïd al-Adha". Nécessité de respecter les mesures préventives Amalou Kaci a expliqué qu'un "vétérinaire surveillera tout le bétail qui entre dans les points de vente et isolera les cas suspects ou malades". Il a appelé les citoyens, qui se déplacent vers ces zones de vente à "respecter les mesures préventives contre le Covid-19, notamment la distanciation sociale et le port d'un masque de protection", ajoutant que "tous les points de vente pour les sacrifices peuvent être identifiés via le site Web elfirma.dz". Concernant le processus d'abattage, le responsable du ministère de l'Agriculture a souligné la nécessité d'"appliquer la distanciation sociale pour limiter au maximum la propagation de virus". Il préconise de se rendre sur les lieux désignés pour l'abattage, notamment les abattoirs, compte tenu de la disponibilité de toutes les conditions techniques et sanitaires dans ces lieux avec la présence des vétérinaires. 250 abattoirs sont mobilisés à l'échelle national avec une équipe de 500 vétérinaires, en plus des équipes mobiles qui assureront le processus d'abattage dans de bonnes conditions. À quelques jours de la célébration de l'Aïd el-Adha, le marché du mouton de l'Aïd est, cette année, quasiment inaccessible pour les bourses moyennes. Les citoyens se plaignent d'une hausse des prix de l'ovin qui dépasse, dans certaines régions du pays, 20 % Le sous-directeur de la santé animalière à la direction des services vétérinaires au ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Amalou Kaci, a affirmé que "la pandémie du corona n'a aucun impact sur la hausse des prix des sacrifices", expliquant que "plus de 4 millions de têtes à vendre sont soumises à la demande". Hier, Amalou Kaci a confirmé, à son arrivée en tant qu'invité à la Radio nationale, que la "question de la hausse des prix reste une question d'offre et de demande", soulignant "l'adoption de 768 points pour la vente des ovins en Algérie en prévision de l'Aïd al-Adha". Nécessité de respecter les mesures préventives Amalou Kaci a expliqué qu'un "vétérinaire surveillera tout le bétail qui entre dans les points de vente et isolera les cas suspects ou malades". Il a appelé les citoyens, qui se déplacent vers ces zones de vente à "respecter les mesures préventives contre le Covid-19, notamment la distanciation sociale et le port d'un masque de protection", ajoutant que "tous les points de vente pour les sacrifices peuvent être identifiés via le site Web elfirma.dz". Concernant le processus d'abattage, le responsable du ministère de l'Agriculture a souligné la nécessité d'"appliquer la distanciation sociale pour limiter au maximum la propagation de virus". Il préconise de se rendre sur les lieux désignés pour l'abattage, notamment les abattoirs, compte tenu de la disponibilité de toutes les conditions techniques et sanitaires dans ces lieux avec la présence des vétérinaires. 250 abattoirs sont mobilisés à l'échelle national avec une équipe de 500 vétérinaires, en plus des équipes mobiles qui assureront le processus d'abattage dans de bonnes conditions.