Cinq jours durant, Béjaïa a vécu au rythme des 5es rencontres cinématographiques organisées traditionnellement depuis 2002 par l'association Project'heurts. Plusieurs séquences cinématographiques, en courts et longs métrages, ont fait le bonheur des cinéphiles de la région, qui n'ont pas hésité à assister aux multiples projections prévues à la maison de la culture de Béjaïa. Le coup d'envoi a été donné lundi 11 juin avec le film «Houria» de Mohamed Yargui, suivi d'un hommage rendu à René Vautier, avec «Algérie, tour et détours». Le public, nombreux, a su apprécier à leur juste valeur les œuvres programmées ainsi que les séances diffusées en plein air et qui ont fait le bonheur d'une tranche de la jeunesse que la morosité des longues journées d'été commençait à agacer. Ces journées ont permis aux amateurs d'avoir «l'œil professionnel» à une époque où vouloir ne rime plus avec pouvoir. Comme le disait un des jeunes présents à ces rencontres qui, au-delà des débats et des échanges d'idées, a trouvé en cette manifestation le moyen de gagner une connaissance plus enrichissante auprès des professionnels du 7e art. Les documentaires n'ont pas été en reste cette fois-ci avec, en premier plan, «Algérie, un cinéma à tout cri» de Sihem Merad et Elodie Wattiaux, ainsi que «ça tourne à Alger» de Salim Aggar. Nos voisins tunisiens et marocains ont proposé, quant à eux, des courts métrages au public. Le vendredi, et en guise de clôture, les enfants ont eu droit à un film d'animation, avant la projection finale à 18h du film «Roma walla n'touma», un long métrage de Tarik Teguia. Rendez-vous sera pris pour 2008 avec les 6es rencontres cinématographiques de Béjaïa, pour lesquelles l'association Project'heurts promet de nouvelles surprises. Cinq jours durant, Béjaïa a vécu au rythme des 5es rencontres cinématographiques organisées traditionnellement depuis 2002 par l'association Project'heurts. Plusieurs séquences cinématographiques, en courts et longs métrages, ont fait le bonheur des cinéphiles de la région, qui n'ont pas hésité à assister aux multiples projections prévues à la maison de la culture de Béjaïa. Le coup d'envoi a été donné lundi 11 juin avec le film «Houria» de Mohamed Yargui, suivi d'un hommage rendu à René Vautier, avec «Algérie, tour et détours». Le public, nombreux, a su apprécier à leur juste valeur les œuvres programmées ainsi que les séances diffusées en plein air et qui ont fait le bonheur d'une tranche de la jeunesse que la morosité des longues journées d'été commençait à agacer. Ces journées ont permis aux amateurs d'avoir «l'œil professionnel» à une époque où vouloir ne rime plus avec pouvoir. Comme le disait un des jeunes présents à ces rencontres qui, au-delà des débats et des échanges d'idées, a trouvé en cette manifestation le moyen de gagner une connaissance plus enrichissante auprès des professionnels du 7e art. Les documentaires n'ont pas été en reste cette fois-ci avec, en premier plan, «Algérie, un cinéma à tout cri» de Sihem Merad et Elodie Wattiaux, ainsi que «ça tourne à Alger» de Salim Aggar. Nos voisins tunisiens et marocains ont proposé, quant à eux, des courts métrages au public. Le vendredi, et en guise de clôture, les enfants ont eu droit à un film d'animation, avant la projection finale à 18h du film «Roma walla n'touma», un long métrage de Tarik Teguia. Rendez-vous sera pris pour 2008 avec les 6es rencontres cinématographiques de Béjaïa, pour lesquelles l'association Project'heurts promet de nouvelles surprises.