Un accord de partenariat public-privé a été signé entre l'Algérie et Agbar, filiale de Suez Environnement. Ce contrat porte sur la gestion du service d'eau et d'assainissement de la ville d'Oran, l'une des trois plus grandes villes du pays. Cet accord établi entre les deux parties repose sur un transfert de savoir-faire et un plan ambitieux de formation pour les employés de la Société des Eaux et d'Assainissement d'Alger (SEAL). Ce volet se décline selon plusieurs composantes, en l'occurrence la mise à disposition des experts et managers de Suez Environnement, également porteurs du savoir-faire du groupe et de sa diffusion auprès de SEAL. Est aussi programmée l'organisation de cycles de formations qui seront mis en place pour accompagner le transfert de savoir-faire sur le terrain. Des stages de formation standard ou spécifique seront réalisés sur le site ou délivrés dans des centres de formation propres à la société. Ce contrat d'une durée de cinq ans et demi a pour objectif la remise à niveau et la modernisation du service d'eau et d'assainissement de la ville de «façon fiable et pérenne». Le groupe de services aux collectivités estime que ce contrat confirme sa stratégie de développement à l'international dans le secteur de l'eau. Il s'inspire de celui mis au point entre les autorités algériennes et Suez Environnement dans le cadre de la gestion de l'eau et de l'assainissement de la ville d'Alger en 2006. Ce nouveau contrat a ainsi pu bénéficier de la présence du groupe dans la région et vient amplifier son développement dans les pays du pourtour méditerranéen. L'objectif du partenariat à long terme entre l'Algérie et l'entreprise Suez Environnement est de créer et de développer une entreprise de service public performante, capable de répondre aux besoins de la population en matière de services d'eau et d'assainissement. Par ailleurs, le groupe Suez Environnement est présent en Algérie avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 35 millions d'euros, principalement dans des activités d'ingénierie et de travaux d'installation d'équipements. Cette entreprise avec ses multiples filiales a pris en charge la réalisation de plusieurs projets d'une très grande importance économique dans les secteurs dont le groupe est leader. Parmi eux, on peut citer à titre indicatif la construction et l'exploitation, pour une durée de 36 mois, d'une unité de dessalement d'eau saumâtre pour la ville d'Oran de 35 000 m3/jour, la construction d'une unité de production d'eau potable pour les villes du couloir Tizi-Ouzou, la construction et l'exploitation d'une unité de production d'eau potable pour la ville de Constantine de 263.000 m3/jour, la construction d'une unité de production d'eau potable pour les villes de Mila et de Constantine de 63.000 m3/j, l'étude générale sur le dessalement de l'eau de mer sur l'ensemble du littoral (1.200 km) pour le développement de l'alimentation en eau potable de la bande côtière et l'étude de faisabilité du transfert des eaux du Sahara septentrional vers le nord du pays, pour le développement de l'alimentation en eau potable des hauts-plateaux ainsi qu'une multitude d'autres projets. Un accord de partenariat public-privé a été signé entre l'Algérie et Agbar, filiale de Suez Environnement. Ce contrat porte sur la gestion du service d'eau et d'assainissement de la ville d'Oran, l'une des trois plus grandes villes du pays. Cet accord établi entre les deux parties repose sur un transfert de savoir-faire et un plan ambitieux de formation pour les employés de la Société des Eaux et d'Assainissement d'Alger (SEAL). Ce volet se décline selon plusieurs composantes, en l'occurrence la mise à disposition des experts et managers de Suez Environnement, également porteurs du savoir-faire du groupe et de sa diffusion auprès de SEAL. Est aussi programmée l'organisation de cycles de formations qui seront mis en place pour accompagner le transfert de savoir-faire sur le terrain. Des stages de formation standard ou spécifique seront réalisés sur le site ou délivrés dans des centres de formation propres à la société. Ce contrat d'une durée de cinq ans et demi a pour objectif la remise à niveau et la modernisation du service d'eau et d'assainissement de la ville de «façon fiable et pérenne». Le groupe de services aux collectivités estime que ce contrat confirme sa stratégie de développement à l'international dans le secteur de l'eau. Il s'inspire de celui mis au point entre les autorités algériennes et Suez Environnement dans le cadre de la gestion de l'eau et de l'assainissement de la ville d'Alger en 2006. Ce nouveau contrat a ainsi pu bénéficier de la présence du groupe dans la région et vient amplifier son développement dans les pays du pourtour méditerranéen. L'objectif du partenariat à long terme entre l'Algérie et l'entreprise Suez Environnement est de créer et de développer une entreprise de service public performante, capable de répondre aux besoins de la population en matière de services d'eau et d'assainissement. Par ailleurs, le groupe Suez Environnement est présent en Algérie avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 35 millions d'euros, principalement dans des activités d'ingénierie et de travaux d'installation d'équipements. Cette entreprise avec ses multiples filiales a pris en charge la réalisation de plusieurs projets d'une très grande importance économique dans les secteurs dont le groupe est leader. Parmi eux, on peut citer à titre indicatif la construction et l'exploitation, pour une durée de 36 mois, d'une unité de dessalement d'eau saumâtre pour la ville d'Oran de 35 000 m3/jour, la construction d'une unité de production d'eau potable pour les villes du couloir Tizi-Ouzou, la construction et l'exploitation d'une unité de production d'eau potable pour la ville de Constantine de 263.000 m3/jour, la construction d'une unité de production d'eau potable pour les villes de Mila et de Constantine de 63.000 m3/j, l'étude générale sur le dessalement de l'eau de mer sur l'ensemble du littoral (1.200 km) pour le développement de l'alimentation en eau potable de la bande côtière et l'étude de faisabilité du transfert des eaux du Sahara septentrional vers le nord du pays, pour le développement de l'alimentation en eau potable des hauts-plateaux ainsi qu'une multitude d'autres projets.