Les statistiques élaborées par la direction de la communication de la Gendarmerie nationale sur la population délinquante indique clairement que le chômage (2.799 personnes sans profession impliquées dans divers délits) et l'oisiveté (1.689 personnes dont l'âge varie entre 18 et 29 ans, interpellées) sont, en grande partie, à l'origine de la criminalité, toutes formes confondues. Les statistiques élaborées par la direction de la communication de la Gendarmerie nationale sur la population délinquante indique clairement que le chômage (2.799 personnes sans profession impliquées dans divers délits) et l'oisiveté (1.689 personnes dont l'âge varie entre 18 et 29 ans, interpellées) sont, en grande partie, à l'origine de la criminalité, toutes formes confondues. Les statistiques élaborées et relatives au mois de juin indiquent également que parmi la population délinquante, comme la qualifie ce corps de sécurité, et estimée à 3.829 personnes, figurent les activités libérales. En effet, et outre l'implication de fonctionnaires (137 cas recensés), celui des 426 cas de personnes exerçant des professions libérales vient se placer en haut du tableau. Ces chiffres illustrent parfaitement l'implication de cette catégorie (médecins, notaires ou autres commis de l'Etat) dans des affaires criminelles. Ces statistiques indiquent que sur les 3.829 personnes classifiées dans la population délinquante, 2.505 d'entre elles ont été écrouées au terme de procédures judiciaires. Parmi les différentes catégories de crimes et délits constatés et à la lecture des chiffres véhiculés par ces statistiques, la criminalité du droit commun occupe le haut du tableau. A ce titre, pas moins de 2.287 affaires ont été traitées par les services de la Gendarmerie nationale et qui ont conduit à l'arrestation de 2.646 personnes dont 2.046 écrouées. Ces personnes étaient impliquées dans des délits contre les personnes, les biens, la famille et les bonnes mœurs, le faux et l'atteinte à l'économie nationale. Les vols (638 cas), coups et blessures volontaires (557 cas), associations de malfaiteurs (57), faux documents administratifs (27), destruction et dégradation de biens (104), menaces (153), homicides volontaires (30 cas) et autres viols (34) et violations de domicile (39) sont les infractions prédominant dans les statistiques élaborées. A ce sujet, il est fait état de 1.724 affaires recensées et traitées qui ont conduit à l'arrestation de 1.874 personnes dont 1.490 écrouées. Concernant le crime organisé, la contrebande et le trafic de stupéfiants devancent les autres délits relatifs à l'immigration clandestine et à la fausse monnaie. Ainsi et à l'issue d'investigations dans le traitement des 311 affaires de contrebande, 195 individus ont été interpellés dont 64 placés sous mandat de dépôt. 44,87 tonnes de produits alimentaires, 383 bouteilles de boissons alcoolisées, 4.4511 cartouches de cigarettes, 61.136 litres de carburant et 103 têtes ovines et capelines ont été saisis. Par ailleurs, la gendarmerie a constaté et traité 157 affaires de stupéfiants et arrêté 262 personnes dont 202 ont été écrouées. Au terme de perquisitions, 741,298 kg de kif traité (cannabis) et 15.734 comprimés psychotropes ont été réquisitionnés. En outre, le récurrent phénomène de l'immigration clandestine est quotidiennement traité par cette institution qui, durant ce mois et au terme du traitement des 105 affaires, a réussi à interpeller 465 personnes de nationalités étrangères. A la lumière des chiffres, force est de constater que, parmi les personnes arrêtées, les nationalités nigérienne (139) et malienne (146) sont prédominantes. 74 d'entre ces derniers ont été écroués, 9 libérés et 382 refoulés vers leurs pays d'origine. Il est une certitude aujourd'hui que le phénomène de l'immigration clandestine est directement lié au délit de fausse monnaie. A ce sujet, et suite à la prise en charge des 16 affaires de fausse monnaie, 9 sur 17 personnes arrêtées ont été mises sous les verrous. En un mois, la Gendarmerie nationale a également réussi à arrêter 123 personnes dont 7 écrouées, impliquées dans 93 affaires de trafic de véhicules. Les statistiques élaborées et relatives au mois de juin indiquent également que parmi la population délinquante, comme la qualifie ce corps de sécurité, et estimée à 3.829 personnes, figurent les activités libérales. En effet, et outre l'implication de fonctionnaires (137 cas recensés), celui des 426 cas de personnes exerçant des professions libérales vient se placer en haut du tableau. Ces chiffres illustrent parfaitement l'implication de cette catégorie (médecins, notaires ou autres commis de l'Etat) dans des affaires criminelles. Ces statistiques indiquent que sur les 3.829 personnes classifiées dans la population délinquante, 2.505 d'entre elles ont été écrouées au terme de procédures judiciaires. Parmi les différentes catégories de crimes et délits constatés et à la lecture des chiffres véhiculés par ces statistiques, la criminalité du droit commun occupe le haut du tableau. A ce titre, pas moins de 2.287 affaires ont été traitées par les services de la Gendarmerie nationale et qui ont conduit à l'arrestation de 2.646 personnes dont 2.046 écrouées. Ces personnes étaient impliquées dans des délits contre les personnes, les biens, la famille et les bonnes mœurs, le faux et l'atteinte à l'économie nationale. Les vols (638 cas), coups et blessures volontaires (557 cas), associations de malfaiteurs (57), faux documents administratifs (27), destruction et dégradation de biens (104), menaces (153), homicides volontaires (30 cas) et autres viols (34) et violations de domicile (39) sont les infractions prédominant dans les statistiques élaborées. A ce sujet, il est fait état de 1.724 affaires recensées et traitées qui ont conduit à l'arrestation de 1.874 personnes dont 1.490 écrouées. Concernant le crime organisé, la contrebande et le trafic de stupéfiants devancent les autres délits relatifs à l'immigration clandestine et à la fausse monnaie. Ainsi et à l'issue d'investigations dans le traitement des 311 affaires de contrebande, 195 individus ont été interpellés dont 64 placés sous mandat de dépôt. 44,87 tonnes de produits alimentaires, 383 bouteilles de boissons alcoolisées, 4.4511 cartouches de cigarettes, 61.136 litres de carburant et 103 têtes ovines et capelines ont été saisis. Par ailleurs, la gendarmerie a constaté et traité 157 affaires de stupéfiants et arrêté 262 personnes dont 202 ont été écrouées. Au terme de perquisitions, 741,298 kg de kif traité (cannabis) et 15.734 comprimés psychotropes ont été réquisitionnés. En outre, le récurrent phénomène de l'immigration clandestine est quotidiennement traité par cette institution qui, durant ce mois et au terme du traitement des 105 affaires, a réussi à interpeller 465 personnes de nationalités étrangères. A la lumière des chiffres, force est de constater que, parmi les personnes arrêtées, les nationalités nigérienne (139) et malienne (146) sont prédominantes. 74 d'entre ces derniers ont été écroués, 9 libérés et 382 refoulés vers leurs pays d'origine. Il est une certitude aujourd'hui que le phénomène de l'immigration clandestine est directement lié au délit de fausse monnaie. A ce sujet, et suite à la prise en charge des 16 affaires de fausse monnaie, 9 sur 17 personnes arrêtées ont été mises sous les verrous. En un mois, la Gendarmerie nationale a également réussi à arrêter 123 personnes dont 7 écrouées, impliquées dans 93 affaires de trafic de véhicules.