Le staff technique du groupement algéro-allemand du métro d'Alger (GAAMA) chargé de la réalisation et de l'achèvement du métro d'Alger a tracé les grandes lignes de son programme de travail, notamment pour ce qui est de la phase extension du métro d'Alger. En effet, selon le président du conseil d'administration de GAAMA, Fauquemberque, l'ensemble des travaux de génie civil ont été terminés à présent. Ce qui a nécessité la mobilisation de plus de 1700 employés, avides de voir l'extension de ce grand ouvrage dont la première ligne Grande Poste- Haï El Badr est déjà en voie de finition. Il ne reste plus que la pose des rails et le parachèvement des différentes infrastructures d'accompagnement. Rappelons que c'est le groupement formé par les entreprises DYWIDA International Gmbh (Allemagne), Cosider TP et Infrafer qui a été désigné adjudicataire du marché en juin 2003 après l'appel d'offres international lancé en septembre 2003. S'agissant de la première ligne allant de la Grande-Poste à Haï El Badr, distante de 4,1 km, dont les ouvrages ont été confiées à GAAMA, elle comprend les stations du Jardin d'Essai, les Fusillés, la Cité Amirouche et Mer et Soleil. En principe, si tous les délais sont respectés, elle sera opérationnelle à la fin de l'année 2008. Les travaux de la ligne Grande-Poste-Haï El Badr ont été réalisés en l'espace de 28 mois alors qu'initialement 33 mois ont été requis pour son achèvement. Un effectif composé de 30 ingénieurs algériens, 40 agents de maîtrise et plus de 1700 ouvriers spécialisés formés aux techniques allemandes de management et de réalisation a participé à ce projet. L'investissement global pour ces travaux est de l'ordre de 18 millions d'euros. Mais, pour la réalisation de la phase d'extension du métro d'Alger d'une distance de 2,8 km, une enveloppe financière de 12 millions d'euros est nécessaire pour construire les quatre stations allant de Bachdjarah à El Harrach, à savoir Bachdjarah I et II et El Harrach gare et Centre ville où il y aura un croisement entre les chemins de fer et le métro. Concernant cette phase, un viaduc de 252 m de hauteur est prévu au dessus de Oued Ouchaih et de l'autoroute. A souligner que les travaux et le tunnel long de 3,5 km, ainsi que les complexes de maintenance de la station de la place du 1er Mai et celle du Hamma ont été confiés à l'entreprise nationale Cosider qui a participé activement depuis 1982 aux différents ouvrages de ce gigantesque projet de transport, sous la direction de Issaad, ingénieur, directeur adjoint des travaux. Le volet financier de GAAMA relatif à la réalisation de la ligne 1 de la phase 1 s'élève à 14,4 milliards DA avec des droits de douane se chiffrant à 770 millions DA. Il convient de souligner que la firme allemande DYWIDAG, qui a été sélectionnée parmi quatre autres entreprises dont une chinoise et une autre portugaise, a consenti un investissement global de 215 millions d'euros comprenant notamment la formation technique des personnels, les coûts de réalisation d'excavation, de soudage, coffrage et utilisation d'autres engins (plus de 300 machines de robots, grues, centrales à béton, malaxeurs, stations de criblage et bien d'autres matériels). Le staff technique du groupement algéro-allemand du métro d'Alger (GAAMA) chargé de la réalisation et de l'achèvement du métro d'Alger a tracé les grandes lignes de son programme de travail, notamment pour ce qui est de la phase extension du métro d'Alger. En effet, selon le président du conseil d'administration de GAAMA, Fauquemberque, l'ensemble des travaux de génie civil ont été terminés à présent. Ce qui a nécessité la mobilisation de plus de 1700 employés, avides de voir l'extension de ce grand ouvrage dont la première ligne Grande Poste- Haï El Badr est déjà en voie de finition. Il ne reste plus que la pose des rails et le parachèvement des différentes infrastructures d'accompagnement. Rappelons que c'est le groupement formé par les entreprises DYWIDA International Gmbh (Allemagne), Cosider TP et Infrafer qui a été désigné adjudicataire du marché en juin 2003 après l'appel d'offres international lancé en septembre 2003. S'agissant de la première ligne allant de la Grande-Poste à Haï El Badr, distante de 4,1 km, dont les ouvrages ont été confiées à GAAMA, elle comprend les stations du Jardin d'Essai, les Fusillés, la Cité Amirouche et Mer et Soleil. En principe, si tous les délais sont respectés, elle sera opérationnelle à la fin de l'année 2008. Les travaux de la ligne Grande-Poste-Haï El Badr ont été réalisés en l'espace de 28 mois alors qu'initialement 33 mois ont été requis pour son achèvement. Un effectif composé de 30 ingénieurs algériens, 40 agents de maîtrise et plus de 1700 ouvriers spécialisés formés aux techniques allemandes de management et de réalisation a participé à ce projet. L'investissement global pour ces travaux est de l'ordre de 18 millions d'euros. Mais, pour la réalisation de la phase d'extension du métro d'Alger d'une distance de 2,8 km, une enveloppe financière de 12 millions d'euros est nécessaire pour construire les quatre stations allant de Bachdjarah à El Harrach, à savoir Bachdjarah I et II et El Harrach gare et Centre ville où il y aura un croisement entre les chemins de fer et le métro. Concernant cette phase, un viaduc de 252 m de hauteur est prévu au dessus de Oued Ouchaih et de l'autoroute. A souligner que les travaux et le tunnel long de 3,5 km, ainsi que les complexes de maintenance de la station de la place du 1er Mai et celle du Hamma ont été confiés à l'entreprise nationale Cosider qui a participé activement depuis 1982 aux différents ouvrages de ce gigantesque projet de transport, sous la direction de Issaad, ingénieur, directeur adjoint des travaux. Le volet financier de GAAMA relatif à la réalisation de la ligne 1 de la phase 1 s'élève à 14,4 milliards DA avec des droits de douane se chiffrant à 770 millions DA. Il convient de souligner que la firme allemande DYWIDAG, qui a été sélectionnée parmi quatre autres entreprises dont une chinoise et une autre portugaise, a consenti un investissement global de 215 millions d'euros comprenant notamment la formation technique des personnels, les coûts de réalisation d'excavation, de soudage, coffrage et utilisation d'autres engins (plus de 300 machines de robots, grues, centrales à béton, malaxeurs, stations de criblage et bien d'autres matériels).