Le Conseil supérieur du sport en Afrique (CSSA) «cédera ses prérogatives à l'Association des Comités nationaux olympiques africains (ACNOA), lors des prochains Jeux africains prévus à Lusaka (Zambie) en 2011, après la décision attendue, au prochain Conseil des ministres africains des sports en automne prochain, à Addis-Abéba (Ethiopie)», déclare à Alger, M. Mustapha Berraf, 1er vice-président du CSSA. M. Berraf, qui est également président du Comité olympique algérien (COA), explique à l'APS, au lendemain de la clôture des Jeux africains d'Alger 2007, qu'«il est évident que le prochain Conseil des ministres africains des sports aura la lourde tâche de confier à l'ACNOA, les Jeux africains». «Le CSSA est donc appelé certainement à transférer ses prérogatives et ses pouvoirs à l'Association des Comités nationaux olympiques africains qui se verra ainsi confier une très lourde tâche dans le contexte dans nouvel ordre sportif aux plans régional et continental», a-t-il souligné. Dans le même ordre d'idées, poursuit M. Berraf, «le COA s'est estimé très satisfait des conditions d'organisation et de la parfaite maîtrise des responsables du Comité d'organisation des Jeux africains (COJA)». La parfaite relation, fait-il remarquer, entre le mouvement associatif, le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS) et les pouvoirs publics ont été l'«instrument fondamental» de la parfaite réussite de ces Jeux africains placés sous l'égide du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. De son côté, le directeur général du Comité d'organisation des 9es Jeux africains (COJA), M. Djaffer Yefsah, avait plaidé également pour la révision des règles régissant les Jeux continentaux, celles-ci étant devenues «obsolètes». «Il faut que les joutes africaines soient qualificatives aux Jeux olympiques afin qu'elles intéressent davantage d'athlètes et de sponsors», a-t-il estimé, ajoutant qu'il faudrait que ces jeux, régis jusque-là par le CSSA, reviennent à l'ACNOA. Ainsi, les 9es Jeux africains pourront être donc les dernières joutes africaines à se dérouler sous l'égide du CSSA, dont l'Algérie assure d'ailleurs la présidence. Ces joutes passeront ainsi de la main du CSSA (association gouvernementale) à celle de l'ACNOA (association non gouvernementale). A partir de cette nouveauté, la procédure d'organisation des Jeux africains serait identique à celle des Jeux olympiques. Un appel à candidature sera lancé par les responsables de l'ACNOA et ce seront les villes africaines qui se proposeront d'organiser les jeux tout comme les sponsors de ces mêmes jeux. Et ce serait une véritable compétition avant l'obtention des jeux. La prochaine assemblée générale de l'ACNOA aura lieu au Nigeria en 2009, mais une assemblée informelle est prévue à Pékin en 2008 afin de «traiter de l'organisation des Jeux africains par l'ACNOA ainsi que des questions primaires au moment des jeux olympiques 2008». Le Conseil supérieur du sport en Afrique (CSSA) «cédera ses prérogatives à l'Association des Comités nationaux olympiques africains (ACNOA), lors des prochains Jeux africains prévus à Lusaka (Zambie) en 2011, après la décision attendue, au prochain Conseil des ministres africains des sports en automne prochain, à Addis-Abéba (Ethiopie)», déclare à Alger, M. Mustapha Berraf, 1er vice-président du CSSA. M. Berraf, qui est également président du Comité olympique algérien (COA), explique à l'APS, au lendemain de la clôture des Jeux africains d'Alger 2007, qu'«il est évident que le prochain Conseil des ministres africains des sports aura la lourde tâche de confier à l'ACNOA, les Jeux africains». «Le CSSA est donc appelé certainement à transférer ses prérogatives et ses pouvoirs à l'Association des Comités nationaux olympiques africains qui se verra ainsi confier une très lourde tâche dans le contexte dans nouvel ordre sportif aux plans régional et continental», a-t-il souligné. Dans le même ordre d'idées, poursuit M. Berraf, «le COA s'est estimé très satisfait des conditions d'organisation et de la parfaite maîtrise des responsables du Comité d'organisation des Jeux africains (COJA)». La parfaite relation, fait-il remarquer, entre le mouvement associatif, le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS) et les pouvoirs publics ont été l'«instrument fondamental» de la parfaite réussite de ces Jeux africains placés sous l'égide du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. De son côté, le directeur général du Comité d'organisation des 9es Jeux africains (COJA), M. Djaffer Yefsah, avait plaidé également pour la révision des règles régissant les Jeux continentaux, celles-ci étant devenues «obsolètes». «Il faut que les joutes africaines soient qualificatives aux Jeux olympiques afin qu'elles intéressent davantage d'athlètes et de sponsors», a-t-il estimé, ajoutant qu'il faudrait que ces jeux, régis jusque-là par le CSSA, reviennent à l'ACNOA. Ainsi, les 9es Jeux africains pourront être donc les dernières joutes africaines à se dérouler sous l'égide du CSSA, dont l'Algérie assure d'ailleurs la présidence. Ces joutes passeront ainsi de la main du CSSA (association gouvernementale) à celle de l'ACNOA (association non gouvernementale). A partir de cette nouveauté, la procédure d'organisation des Jeux africains serait identique à celle des Jeux olympiques. Un appel à candidature sera lancé par les responsables de l'ACNOA et ce seront les villes africaines qui se proposeront d'organiser les jeux tout comme les sponsors de ces mêmes jeux. Et ce serait une véritable compétition avant l'obtention des jeux. La prochaine assemblée générale de l'ACNOA aura lieu au Nigeria en 2009, mais une assemblée informelle est prévue à Pékin en 2008 afin de «traiter de l'organisation des Jeux africains par l'ACNOA ainsi que des questions primaires au moment des jeux olympiques 2008».