Dans le cadre de la coopération entre l'université de Jijel et des universités françaises, une délégation d'universitaires français, composée de plusieurs spécialistes, dont des diabétologues, des cardiologues et des sociologues, est attendue prochainement à l'université de Jijel, pour un séjour qui s'étalera sur sept jours (du 30 octobre au 5 novembre prochains). Selon les déclarations faites à l'APS par le Dr Abdenacer Bensaoula, biologiste à l'université de Nancy et qui sera en compagnie du groupe français, l'éventualité du lancement d'une faculté de médecine à Jijel sera discutée au cours de leur visite qui s'inscrit dans le cadre du développement de l'enseignement et des activités scientifiques au sein de l'université de Jijel. Durant leur séjour, les universitaires français effectueront aussi un déplacement au Sud algérien dans l'objectif de mener, avec l'appui de l'université de Jijel, une étude relative aux aspects de l'émigration clandestine. En effet, le Dr Bensaoula avait déjà conduit, en mai dernier, un groupe de spécialistes français en biologie et physiologie du comportement, et en sociologie, à l'université de Jijel dans le cadre de l'accord de coopération signé en avril passé à Strasbourg entre le recteur de l'université de Jijel, le Dr Abdelmalek Zennir, et ses homologues des universités de Strasbourg et de Nancy. Cet accord porte sur des échanges d'expériences et d'enseignants dans de multiples domaines, notamment la médecine et la sociologie comportementale, qui devient, selon les experts, une branche nécessaire à introduire dans nos universités, particulièrement dans les régions qui ont souffert du terrorisme, telle que Jijel. L'Université de Jijel avait accueilli également une seconde équipe de chercheurs venant du département de l'expertise sociologique de l'Université de Metz. D'après le Dr Bensoula, l'université de Béjaïa bénéficiera pour sa part de l'apport scientifique de ce groupe de chercheurs. A l'instar de l'accord cité ci-dessus, l'université de Jijel a signé ces dernières années d'autres conventions de partenariat avec des universités françaises, à savoir Henri-Poincaré de Nancy et Paul-Verlaine de Metz ainsi qu'avec le Centre régional d'études et d'actions pour inadaptés (CREAI) et avec l'Institut régional du travail social (IRTS). Malgré la spécificité de chacune de ces conventions, elles s'unissent toutes sur le même axe, qui est celui d'intensifier les échanges de coopération dans la perspective de créer à Jijel un centre régional d'études et d'actions sociales ayant une large compétence sur des thèmes d'actualité (précarité sociale, instabilité familiale, toxicomanie…). Le Dr Bensaoula a indiqué également que l'université de Jijel et l'IRTS s'engageront ensemble pour la mise en route d'une licence professionnelle dans le domaine social et médico-social. Dans le cadre de la coopération entre l'université de Jijel et des universités françaises, une délégation d'universitaires français, composée de plusieurs spécialistes, dont des diabétologues, des cardiologues et des sociologues, est attendue prochainement à l'université de Jijel, pour un séjour qui s'étalera sur sept jours (du 30 octobre au 5 novembre prochains). Selon les déclarations faites à l'APS par le Dr Abdenacer Bensaoula, biologiste à l'université de Nancy et qui sera en compagnie du groupe français, l'éventualité du lancement d'une faculté de médecine à Jijel sera discutée au cours de leur visite qui s'inscrit dans le cadre du développement de l'enseignement et des activités scientifiques au sein de l'université de Jijel. Durant leur séjour, les universitaires français effectueront aussi un déplacement au Sud algérien dans l'objectif de mener, avec l'appui de l'université de Jijel, une étude relative aux aspects de l'émigration clandestine. En effet, le Dr Bensaoula avait déjà conduit, en mai dernier, un groupe de spécialistes français en biologie et physiologie du comportement, et en sociologie, à l'université de Jijel dans le cadre de l'accord de coopération signé en avril passé à Strasbourg entre le recteur de l'université de Jijel, le Dr Abdelmalek Zennir, et ses homologues des universités de Strasbourg et de Nancy. Cet accord porte sur des échanges d'expériences et d'enseignants dans de multiples domaines, notamment la médecine et la sociologie comportementale, qui devient, selon les experts, une branche nécessaire à introduire dans nos universités, particulièrement dans les régions qui ont souffert du terrorisme, telle que Jijel. L'Université de Jijel avait accueilli également une seconde équipe de chercheurs venant du département de l'expertise sociologique de l'Université de Metz. D'après le Dr Bensoula, l'université de Béjaïa bénéficiera pour sa part de l'apport scientifique de ce groupe de chercheurs. A l'instar de l'accord cité ci-dessus, l'université de Jijel a signé ces dernières années d'autres conventions de partenariat avec des universités françaises, à savoir Henri-Poincaré de Nancy et Paul-Verlaine de Metz ainsi qu'avec le Centre régional d'études et d'actions pour inadaptés (CREAI) et avec l'Institut régional du travail social (IRTS). Malgré la spécificité de chacune de ces conventions, elles s'unissent toutes sur le même axe, qui est celui d'intensifier les échanges de coopération dans la perspective de créer à Jijel un centre régional d'études et d'actions sociales ayant une large compétence sur des thèmes d'actualité (précarité sociale, instabilité familiale, toxicomanie…). Le Dr Bensaoula a indiqué également que l'université de Jijel et l'IRTS s'engageront ensemble pour la mise en route d'une licence professionnelle dans le domaine social et médico-social.